Comment les nouvelles techniques de sauvegarde des données clients peuvent-elles participer à la relance de la croissance d’IBM ?
En 1895, les frères Lumière réalisaient le premier film au monde, “L’Arrivée d’un Train en Gare de la Ciotat”. 122 ans plus tard, le film revient sur le devant la scène en tant que premier film jamais stocké sur un brin d’ADN de synthèse.
Arte a diffusé, il y a quelque temps, un reportage qui m’a interpellée, portant sur les nouvelles techniques de stockage des données. Suite à ce visionnage, j’ai commencé à m’interroger sur le sujet. En effet, notre société est de plus en plus connectée. En avril 2017, 51 % de la population mondiale utilisait internet et 39 % de la population était inscrite sur les réseaux sociaux. Cette digitalisation de la société implique de nouveaux enjeux. Pour les entreprises notamment, il faut s’assurer de mettre en place des processus efficaces au sein de leur organisation pour gérer ces flux digitaux internes et externes. Le stockage fait notamment partie de ces processus. Il s’agit, d’après le Mag IT, du « moyen ou l'endroit où les données sont conservées sous forme électromagnétique ou optique, afin d'être ensuite mise à la disposition d'un processeur. » Nous utilisons actuellement des techniques de stockage allant du CD-Rom au disque dur en passant par des centres de données. Correspondent-elles réellement aux besoins des entreprises et aux enjeux de la digitalisation ?
Poussons encore la réflexion plus loin : si demain Google fait faillite et que les centres de données sont rachetés, qu’adviendra-t-il des données ? Les techniques de stockage que nous venons d’évoquer, sont-elles capables de stocker le volume de données que nous produisons ?
Existe-t-il des alternatives optimales pour le stockage des données face à ces questions ?
IBM est un géant de l’informatique dans son intégralité. L’entreprise est une référence dans de nombreux domaines, dont le stockage. Cependant, la concurrence est très rude dans ce secteur, il est donc nécessaire pour une entreprise telle qu’IBM d’innover pour ne pas se laisser rattraper par la concurrence. De plus, IBM est actuellement dans une phase de ralentissement de son activité. J’ai alors fait le lien entre le reportage d’Arte et la situation actuelle d’IBM. N’y aurait-il pas une opportunité pour l’entreprise d’innover dans le milieu du stockage ? À la manière du lancement de l’Intelligence Artificielle Watson, IBM n’aurait-elle pas une opportunité de croissance en lien avec ces nouvelles techniques de stockage ?
C’est une conviction personnelle d’avancer qu’IBM pourrait relancer sa croissance grâce à ces nouvelles techniques de stockage des données. Mais ce n’est pas un constat personnel de dire que si IBM ne remonte pas la pente, ce sont 350 000 emplois qui sont menacés. En effet en 2016, 5 000 licenciements ont été opérés, et 14 000 supplémentaires annoncés.
La question que je me pose est alors la suivante :
Comment les nouvelles techniques de sauvegarde des données clients peuvent-elles participer à la relance de la croissance d’IBM ?
N'hésitez pas à me contacter si vous souhaiter en savoir plus sur mon mémoire de fin d'études !