Comment surgit et peut se contrôler le mal d’Alzheimer.
Les symptômes les plus évidents du mal d'Alzheimer sont:
- Une perte de mémoire progressive.
- Un caractère qui va en se détériorant.
- Une production de fibrilles, ou neurofibrilles, qui apparait et va en augmentant avec l'âge. Étant celles-ci composées de véritables enchaînements de neurones morts.
- L'habileté et la coordination musculaire, diminuent constamment.
De là que, l'être humain qui souffre ce mal voit ses capacités de mémorisation et de rappel se réduire considérablement au fil du temps et au fur et à mesure que meurent ses neurones cérébraux. Pour cela, durant ses dernières années de vie, apparaît la démence, l'apathie et l'épuisement.
Pour l'auteur le symptôme le plus important du mal d'Alzheimer est la formation de fibrilles; en raison de qu'elles le caractérisent et ne se manifestent dans aucune autre maladie mentale.
Pour comprendre les raisons de cette formation, il est important, en premier lieu, savoir pourquoi succède la mort des neurones qui les conformes. Car, quand c'est le cas, en général au cours de la sénescence, on pourrait penser que c'est le vieillissement même de ces neurones qui cause leurs morts. Mais, étant donné que le mal d'Alzheimer peut surgir préalablement à la vieillesse, on ne peut pas supposer que ce facteur constitue être sa seule origine.
À cette occasion on observe que, durant ce XXIe siècle, se trouvent des personnes âgées de plus de cent ans qui ne le souffrent pas. Chose qui montre que les neurones cérébraux peuvent perdurer sans problèmes majeurs, un laps de temps très long après avoir passé les soixante-cinq ans. Ce qui signifie que, malgré qu'elle joue un rôle important dans l'apparition de cette maladie, ce n'est pas seulement la vieillesse qui tue réellement ces neurones.
En plus, dans certains cas, ce mal peut supposer être héréditaire. Mais, grâce à que pas tous les enfants des personnes qui l'ont souffert le souffre à leur tour, on peut affirmer que l'hérédité ne représente pas jouer un rôle prépondérant dans son apparition. Sinon qu'elle peut indiquer une tendance.
Pour comprendre la véritable origine du mal d'Alzheimer, selon l'auteur, il convient tenir compte de deux facteurs fondamentaux, qui sont:
- Il existe une époque dans la vie de tout être humain, au cours de laquelle se produit une grande mortalité non traumatique de ses neurones cérébraux. En effet, il a été constaté que, pendant la première phase de son développement, juste après sa naissance, succède la destruction non traumatique de beaucoup de ses neurones; ce qui, pour l'auteur, se produit en raison de l'établissement des connexions interneuronales.
- Les mémoires à long terme de tout type d'éléments sont composées de véritables chaînes de neurones.
Pour comprendre comment et pourquoi se développe le mal d'Alzheimer, il faut prendre en compte qu'au fil des ans les appendices neuronaux continuent de se développer. Comme ces appendices se développent au hasard, certains entrent en contact avec des neurones qui sont traversés par des courants énergétiques qui vont dans le sens inverse de ceux d'où ils proviennent; ce qui cause un effet semblable à un court-circuit. Par conséquent, lorsque l'individu est nouveau-né, l'élaboration de l'énergie, que réalisent ses neurones cérébraux, est optimale. Pour cela la plupart des synapses concernées est détruite, en général, avant que se détruisent les neurones impliqués. Mais, quand ces synapses, qui peuvent être appelées «préjudiciables », sont trop nombreuses à établir conjointement ce genre de contact, les neurones concernés meurent. Ensuite, au fil du temps, quand augmente l'âge de la personne, sa production d'énergie à niveau neuronal se ralentit et ses synapses continuent de se développer. Dans ce cas, comme l'énergie transmise à travers ces contacts est très faible, les courts circuits qu'ils peuvent provoquer ne sont pas de très intenses. Souvent, tout simplement, la plus élevée de ces énergies diminue.
Lorsque ce type de contact préjudiciable entre deux neurones se limite à une seule synapse, comme la quantité d'énergie ainsi transmise est infime, cette dernière peut ne pas se désintégrer, ce qui ne nuit pas excessivement aux neurones concernés. Mais lorsque ces contacts continuent de se multiplier, le potentiel de l'énergie ainsi transférée s'accroît, et ils deviennent très préjudiciables. Dans ce cas, cela nuit au neurone qui transmet l'énergie la plus faible; car il reçoit une énergie supérieure à celle qu'il génère, dans le sens contraire à sa circulation normale. Chose qui s'assimile à un véritable court-circuit qui le détruit. En outre, tous les autres neurones qui sont connectés avec celui-ci et le suivent, pour transmettre l'énergie qu'il émet, se voient être également affectés. Quand se multiplie ces contacts, il arrive un moment durant lequel de nombreuses chaînes de neurones sont littéralement anéanties. Chose qui explique pourquoi se forment ces fibrilles. Dans ce cas, quand continue de se produire cette classe de processus, les neurones encéphaliques se nécrosent jusqu'à ce que décède l'individu concerné.
En vue que le mal d’Alzheimer provient de la croissance des axones et dendrites des neurones cérébraux, il est entendu que celui-ci est provoqué par l’absorption des protéines nécessaires à leurs développements. Pour cela on comprend qu’un régime alimentaire pauvre en protéines ralentit ou même peut arriver à le stopper. De là qu’un régime végétarien peut prévenir ou empêcher l’apparition de ce mal, en attendant que l’on découvre ce qui permettra d’y remédier définitivement.
Pour bien comprendre cet article, il faut lire ceux que Philippe L.E. Panchout a publiés précédemment. Celui-ci participe de l’ouvrage « Altérations de la conscience », dédiés à l’étude des perturbations qui peuvent altérer le fonctionnement du cerveau humain, lequel a été rédigé sur la base de son œuvre « Le fonctionnement du cerveau », publié par amazon.com/books, où se trouvent résumées les recherches et découvertes effectuées et démontrées par celui-ci.