COVID-19, la nature te dit MERCI
A l’heure où l’Etre Humain compte le nombre de personnes infectées, tente de faire appelle au sens civique de chacun, certains grincent des dents et à juste titre, en raison de la baisse significative voir drastiquement dangereuse de leur gagne pain.
Mais voilà, alors que nous percevons les limites tolérables de la mondialisation, d’un principe de vie basé sur de la spéculation économique, sur une valeur arbitrairement donnée fixée par... l’offre et la demande (vraiment ?), il en est une qui en sort grandement gagnante ; cette belle et magnifique sphère qui nous permet d’être à sa surface, la Terre (que nous occupons sans remord, pris pour argent comptant et estimons avoir le droit de la façonner comme bon nous semble).
On ne se ne risquerait pas à épiloguer sur une révolution complète d’un système qui, se faisant entendre de plus en plus fort, nous mène droit au mur. Mais sans trop s’avancer, on dirait bien que nous avons pris un méchant nid de poule et qu’il serait certainement opportun d'en tirer les bonnes leçons et de modifier la destination sur notre GPS de vie.
Aujourd’hui, la technologie. Depuis les années 2000, le développement dans ce secteur a tout l’air d’avoir pris une pente ascendante à une vitesse vertigineuse. Sur un petit objet à la surface vitrée qui y projète des textes, des images, nous pouvons y écrire un message, l’envoyer à l’autre bout de la planète à une personne ayant le même appareil ou similaire. Tout ça en moins d’une seconde.
Ça nous semble tellement normal de pouvoir assister à une visio conférence avec des partenaires à Singapour alors que nous sommes en Suisse.
La technologie va vite, à une vitesse bien plus grande que nous sommes physiquement capable d’aller. Malgré cela, au lieu de garder en tête qu’il s’agit d’outils que nous avons créé pour nous facilité la vie, nous sommes dépassés par cette rapidité et nous nous acharnons à courir derrière. Plus fort, plus vite, plus haut.
La situation que nous vivons, nous donne l’opportunité de reprendre les reines de nos actions. D’utiliser les outils technologiques de manière réfléchie et pondérée. En pensant bien évidemment à l’efficacité mais avant tout au confort de vie que cela peut apporter à tout un chacun. Certainement pas au nom du profit mais plutôt sous l’égide du mieux vivre.
La société est tellement à notre image qu’elle montre le côté positif et le côté négatif. Faisant partie intégrante de cette dernière, il nous appartient de rechercher l’équilibre qui nous fera avancer sans risquer de se retrouver ébranler au point de tomber à nouveau.
De part et d’autre de la planète, nous assistons à des mouvements de solidarité. Nous voyons en oeuvre les plus grandes facultés de l’être humain ; l’adaptation et l’entraide.
Tout le monde a déjà lu ou entendu ceci quelque part : « Tout seul nous allons plus vite. Ensemble nous allons plus loin. »
Nous sommes des être (bien) pensants, alors mettons la pensée collective au profit d’une cohérence de vie pour tous (ou plutôt globalement, tout ceux vivants sur cette planète).
Tiré du texte de l’Etre bien pensant