‘’CREER, C’EST RESISTER.RESISTER, C’EST CREER.’’
Après 36 ans d’activité professionnelle, dont 33 dans les domaines de l’industrie et du bâtiment, j’ai acquis le statut de ‘’chômeur de longue durée’’. Adhérent au Pôle Emploi depuis 44 mois, ma recherche d’emploi est restée vaine et non à venue. J’étais devenu ‘’RSAyste’’ à plein temps. Suis-je incompétent, inutile ou mes aptitudes intellectuelles, connaissances et savoirs faire professionnels sont-ils mal vus ? Et incompatibles avec la société de biens et services marchands ? Ou peut-être pour les individus de peu de réflexion, envers les citoyens et citoyennes dotés(es) de véritables professionnalisations et justes savoirs-être dans le système socio-économico-culturel, alliés d’une néfaste asthénie inapte à engendrer de meilleures politiques nationales, autorisant quelques mises en lumière des meilleures formes de liberté, d’égalité, de fraternité et de justice dans la République Démocratique à obédiences laïques ; quelques dénis envers ‘’l’art des gens’’, au profit de la possession absolue de biens matériels, avec ‘’pure’’ certitude en celle de croire que tous les ‘’RSAystes’’, autres ‘’sans emploi’’ et chômeurs, de toutes convenances non souhaitées, sont des couleuvres profitant d’aides sociales et de par ce déterminant délétère, des incompétents dopés à la fainéantise… ???
Néfastes esprits, vous complaisant dans l’inculture universelle et dans la déconsidération vous oubliez, par narcissisme et cupidité, qu’il existe dans cette armée des ombres quelques intelligences de cœur, assujetties aux attentions et curiosités de bon aloi mobilisées par la pensée cognitive.
De même que les aficionados et autres serviteurs de la division et de la soustraction des justes valeurs ajoutées affiliées aux bons acteurs, actrices, imprésarios et réalisateurs de la grande scène française, dont leurs impostures sont proches du genre ‘’mammipho-humanoïde’’ dénué d’analyse et de possible compréhension, dans la dimension de la logo-médiation médicamenteuse insolvable à la véritable liberté d’expression inhérente à meilleures théories sémiologiques ayant pourtant potentiel à s’émanciper de la fracture antirépublicaine, anti-démocratique et anti-laïque, où dans cette agitation intellectuelle de peu de raison ‘’humanisante’’, les mauvais esprits se délectent des destructions communautaires, du sectarisme, de l’obscurantisme et du chaos…Tout en faisant fi des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant… Hors de leurs clans teintés aux couleurs désuètes du spiritisme des Dévots, et autres sons discordants émis par les serviteurs du ‘’Grand Argentier’’.
‘’Toute belle valeur ajoutée se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la belle conscience lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un ‘’art’’ de vivre… Pour les générations arrivantes !... Et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes ! Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que celui du désespoir… De la rancœur… Et de l’indifférente violence… Psychologique…
En ce début d’année 2013, la ‘’VIE‘’ m’avait emmené dans une dimension où le temps devenait plus respectueux des limitations de vitesse du mien. Après cinquante-quatre ans passés dans cet ‘’endroit’’ où j’avais fait de mon mieux dans l’apprentissage et l’application des règles et lois dictées par celles d’avant et ceux de maintenant, je finis par franchir la ‘’porte’’ de l’exclusion de ce système sociétal. Il ne me restait plus que la vision de mes trois ‘’devenirs’’, plus une ‘’p’tite apprentie’’, et l’accompagnement de cette petite voix tel un doux murmure. Elle disait cette voix : Continus et fais comme l’enfant qui apprend à marcher, tombe et se relève, jusqu’à temps qu’il apprenne l’art d’aller vers d’autres espaces plus loin que le sien. Et à ce moment-là, tu percevras le beau, le bleu et le bon sens du vent en tous ces signes de moi…
Après une enfance passée en Afrique, il s’installe en France avec sa mère et son frère. Il emmagasine les théories éducatives destinées à tous, il entre dans la vie active à 16 ans, fonde une famille, se plie aux règles de vie en société, mais n’y trouve pas cette paix intérieure, signe d’un possible ‘’bonheur’’. Il se met alors à chercher les ‘’clés’’ ouvrant des portes sur d’autres vérités… Dans cette quête éperdue, il cherche ‘’pourquoi’’, ‘’comment’’ et surtout, ‘’où’’ résidait cette fabuleuse force d’attraction, celle qui unissait tous ces ‘’petits grains de matière organique’’ dotés de la bonne conscience et des belles pensées… Extrait de ‘’Au-delà des quarante malencontreuses’’
Mais plus le temps passait, plus j’avais cette triste et omniprésente sensation, que l’Homme ‘’moderne’’ dans son conditionnement sociétal grégaire général délaissait certaines connaissances ontologiques, philosophiques, morales, psychologiques, épistémologiques, et surtout la pratique oubliée de ce langage séide de la poésie et au romantisme permettant de souscrire aux beautés naturelles du monde caché sous les brouillards des infortunes matérielles, où malheureusement certaines dimensions touchantes étaient en train d’être destituées de leurs bénéfiques pluralités, dans de néfastes ‘’espaces temps’’ fractals menant invariablement à l’état de déliquescence physique, biophysique et psychologique par l’obscurantisme intellectuel et la sectorisation des esprits, dans la logo-médiation aseptisée.
Malgré cette sensation je souhaitais vivement continuer ces extraordinaires exercices de lecture, d’écriture et de recherche, m’autorisant à percevoir de meilleures lumières envers cette espèce humaine teintée aux furieuses voix du paradoxe entre l’attachement et la liberté.
Le souhait de compréhension et le déni…
L’éducation sectorielle marchande et la culture universelle…
Le libre-arbitre et la liberté d’expression…
Par les liens du discours entre les sciences et les arts, autorisant par justes analyses, l’éloignement des incompréhensions sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes…
Grâce aux langages de l’attention et à curiosité bien fondée…
Avez-vous remarquez la chose suivante ? Ces êtres doués de ce langage tel La Fontaine, Molière, Diderot, Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Proust, Jules Verne, Aragon, Apollinaire, Victor Hugo, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Edgar Allan Poe (Poète américain, dont quelques textes furent traduits par Baudelaire), Edmond Rostand, Jacques Prévert, et bien d’autres encore, philosophes, écrivains et poètes amoureux des signes-mots… Compris pour celles et ceux à qui il va être enseigné, par ceux et celles qui vont l'enseigner, par activité de reproduction; il a été raconté et bien souvent admis par raison de nécessité, puisque c'est la seule raison qu'ils, elles penseront pouvoir interpréter, car cette raison d'avant sera forcément celle d'après , peut être légèrement modifiée, par association d'appartenance, sauf à qui ce langage transmis ne serait plus la reproduction exacte ou légèrement modifiée de cette apprentissage, par volonté d'en exprimer un autre étonnamment, originalement et intimement différent, né d'une pensée d'un autre ‘’ailleurs’’, où la force principale serait celle qui perle parfois de nos yeux tels des ‘’signes d'eau’’ marqueurs de notre tristesse, mais signes de joie lorsque ces ‘’gouttes’’ invisibles de loin, se retrouvent accompagner par tous ces rires espiègles, et malicieux, colportés par ‘’leurs’’ sons émis avec douceur, réceptionnés avec attentions et renvoyés avec cette tendresse, qui permet d'en faire une petite symphonie, et où le nombre de musiciens ne peut être inférieur à deux, afin que ces quelques possibles belles notes émises soient écoutées par plus, et renvoyées par toujours plus.
Ces mots écrits ont toutefois cette force négative, certes moins importante que les mots dits, opposés à la force positive que je viens d'évoquer. De cette force opposée, naît la formulation d'une certaine violence, qui a son apogée par ses serviteurs en, avec et par la haine, engendrée par l'incompréhension, le refus et la rancœur. Cette violence paraît atténuer dans l'écriture, car majoritairement, les mots ajoutés les uns aux autres le sont dans le cadre d'une certaine réflexion, possible par notion de temps plus long et par ces moments de ‘’solitude’’, empreints d'un peu plus de passion raisonnable, afin d'exprimer ce que nous ressentons avec le moins de cette violence possible, lors de rendez-vous avec nous même, alors que les mots dits, sont souvent émis dans des lieux où il ne peut régner cette sensation de calme et possible écoute, ne serait-ce que de par la propre émission sonore de la parole, empreinte de toutes ces passions et émotions, bonnes ou mauvaises, exprimées dans l'instant et renvoyées par leur écho souvent déformé, de tous ses sens ‘’premiers’’.
L’écriture est la représentation matérielle extérieure de tout ce que nous avons à l'intérieur, il ne sert donc à rien de sortir les ‘’armes lourdes’’ contre la craie, le crayon ou les touches du clavier de l'ordinateur, ou encore l’acier tranchant, le feu et les balles pour annihiler une pensée mise en mots, car ces objets physiques n’ont pas ce pouvoir, ils ne coexistent pas dans le même lieu, la même dimension, le même espace-temps attaché aux mécanismes de la cognition, quelle ineptie, résultat de notre misérable condition qui consiste à enfermer la pensée infinie dans un morceau de matière pétri de croyances, de subjectivités et d’incertitudes, alors qu’elle est beaucoup mieux posée sur quelques feuilles ; ou autres supports ‘’solides’’, où sa trace peut en être conservée plus longtemps, afin d’avoir temps suffisant pour une possible juste compréhension, au rapport de l’émission… Alors même, si nous considérons cette pensée ‘’déraisonnable’’, confrontons là à autres par l'expression écrite de préférence, elle est toujours plus compréhensible que la parole à partir du moment où le langage écrit a été assimilé par la pensée, ne serait-ce que par la possibilité d'y revenir autant de fois que nous le souhaitons. Et peut-être à terme, cette pensée ‘’déraisonnable’’, se fera une raison plus ‘’raisonnable’’. Et surtout, exprimons la de cette façon, juste comme nous la ressentons, par ces mots écrits, peu importe l'ordre dans lequel ils sont mis, il y aura toujours, tôt ou tard, autres pour les réceptionner, et comprendre qu'ils sont bien souvent l'expression de notre ignorance et de notre incompréhension sur la raison de notre existence ici.
Alors oui, exprimons les signes, mots, expressions et symboles représentants, de nos convictions, de nos peurs, de nos souffrances, de notre déraison, de nos incertitudes, plutôt que de les transfigurer par certains de nos mauvais actes et fausses certifications, en étant conscient que si nous ne le faisons pas de cette façon, par nature, de toutes ces pensées nées de la partie ‘’noire’’ de notre ‘’conscience’’, surgira parfois, un ’’monstre’’ qu'aucune raison extérieure ne pourra apaiser, et dans ce cas d’extrême résurgence sombre, la seule moins mauvaise solution serait ‘’d’annihiler’’ ou de mettre la ‘’bête’’ dans un espace dans lequel nous aurions la certitude de la non propagation de ses actes, mais pas de la ‘’mauvaise pensée’’, car celle-ci n'est pas non plus soumise à l'espace, ni au temps…
En conclusion, exprimons ce que nous pensons, croyons et ressentons avec ces mots écrits, même, si cela est la représentation de notre incompréhension, de nos mauvais sentiments, ou fausses croyances, et ne laissons pas en nous s'installer secrètement nos suppositions, elles deviendront notre vérité, nos valeurs, voire notre destinée et si ces suppositions s'avèrent fausses, notre vérité le sera obligatoirement.
Où le premier fondement sociologique, voire philosophique, se trouve invariablement dans les communes ‘’rurales’’, proposant cultures à tailles animales et humaines ; et supportables par le juste bien-être…. Et la deuxième constituante essentielle, nécessaire et utile, s’envisage sans équivoque proche de la retransmission des justes connaissances et savoirs par celles et ceux d’avant, et ceux et celles de maintenant, pour les ‘’vies’’ d’après… Dans toutes les communautés de communes, régions, territoires, cités et contrées…
Par conséquent, par mes écrits je tiens à faire savoir que j’ai toujours soutenu et soutiendrai encore sans aucune restriction ces deux ‘’indispensables’’…
Petite notification : En 1992, j’avais 33 ans, j’étais technicien SAV en froid et climatisation, mon salaire était en équivalent euros d’environ 2 000€ net par mois. Chercher l’erreur… Actuellement, à même fonction le salaire net est compris entre 1300 et 1 600 €. Alors qu’il me semble bien que les conditions de vies sociales-économiques ont quelque peu changé depuis 1989, après la chute du mur de Berlin, puis le changement de monnaie où la valeur de l'euro est vectorisée par les sorciers de la finance à 6,55957 Francs en janvier 2002… Soit une multiplication de l’argent ‘’Franc’’ par plus de 6 … Du jour au lendemain. Irréalité monétaire, prétention économique européenne ou machiavélisme financier ?
En 24 ans, où est passée toute cette valorisation nationale manuelle, technique et obligatoirement intellectuelle ?
Déficience de l’EU… ?
Dumping social économique par le déclassement des savoirs faire… ?
Incompétences et défaillances politiciennes en matière de sciences économiques… ?
Elle a été thésaurisée par ces gestionnaires de produits économico-financiers, pour leurs gueules ?
Par destitution de meilleurs savoirs être… ???
Dans la fantasmagorie de la monnaie scripturale…
Où la pluridisciplinarité, autorisant les accords entre les discours des sciences et des arts est devenue le culte de l’inattention philosophique et ontologique, avec pour singularité, en celle que la curiosité envers la sémiologie didactique des imprésarios de la dramaturgie communautaire est une triste farce dopée à l’inculture économique et sociale des mauvais clowns, de la starisation politicienne…
Michel Asti
La contradiction entre l’homme et le citoyen fait la misère humaine.
J.J Rousseau
La puissance publique pense que son rôle est d’assurer le bonheur privé des personnes avant même de garantir la sécurité et de réaliser la prospérité collective. Aussi bien a-t-elle échouée à peu près en tout… Sauf à avoir entraîné un individualisme exacerbé…
Mais je continue à essayer d’assouvir mon inextinguible curiosité envers le ‘’Monde’’ et ses habitants, tout en étant lucide de la nécessaire utilité à être attentionné aux choses de la nature, organismes vivants et gens alentours, proches ou un peu plus éloignés de moi… Où les trois valeurs sociétales de bases en sont depuis bien longtemps, dans les pays civilisés, le ‘’travail soumis à juste rémunération’’, ‘’l’esprit fraternel’’, et les ‘’droits de l’homme, de la femme et de l’enfant’’… Même si certaines personnes, parfois très proches, ont été soumises à quelques incompréhensions, envers ma singulière identité qui pourtant me semble-t-il, n’est pas fondamentalement différente de celle de mes congénères ! Sauf peut-être chez ceux et celles possédant les quelques obscurs dogmatismes suffisants et nécessaires à éloigner la pensée humaniste des ‘’masses’’, vers le refuge nationaliste ‘’absolu’’, ou sa pire forme est celle juste après le sectarisme engendré par les peurs identitaires, la division des identités-culturelles… Décelables pour parties en et par tous conflits sociétaux, puis révoltes civiles et autres rebellions… Voire plus…‘ Où parfois, trop d’inutiles croyances, inhibent l’esprit logique et ne permettent plus d’entrevoir cette extraordinaire capacité d’être simplement humain dans le Monde Naturel Vivant… Et tout cela, accompagné par une certaine forme d’allégeance intergénérationnelle, par ouverture d’esprit suffisante et utile à la retransmission des meilleures connaissances et justes savoirs par celles et ceux d’avant et de maintenant, au nom de la possibilité de bien-être pour les générations arrivantes dans ce monde naturel minéral, végétal et organique, teinté aux plus extraordinaires pensées transmises et véhiculées par le discours entre les SCIENCES et les ARTS…
JE TE FICHE MON BILLET
A la perdition, vanité fit jeux homolatéraux
La prescription se crût synopsis des grâces morales
La presqu’île de lemme s’y fige sous les oboles
La manie nie coquine, les aiguilles piquent au vif
Je te fiche mon billet qu’idolâtrie est mesquine
Aux envies abasourdies, hermine fuit justice fortuite
Sans lèche vitrine, les psalmodies s’amollissent sous ruine
Vies inutiles dans la city, dépriment la composition cynique
Bien caché sous les buis, les fleurs de liberté se terrent
Je te fiche mon billet que la posture est liberticide
A l’empirisme d’antan, l’image copine avec félonie
Corpus universaliste devise sous matérialisme
Les jalousies se ravivent dans les ravines de façades
Le vernis de papier aseptise les feuilles mortes
Je te fiche mon billet que l’essence est plastique
Les paons et les gorgones vocifèrent sur les colonnes
Les postulats perfides succèdent aux chants des innocents
Les fauteuils d’hémicycle sont devenus articles miteux
Les disputations des justes se meurent sous transactions
Je te fiche mon billet que les ténors nichent capital
Loin des simulacres, sur des landes de terres encore vierges
Après avoir rejeté, les restes du service fraternel démystifié
Avoir vu attentions entre estime et liberté
Les bourgeons des vieux chênes tomberont encore sur Gaïa
Je te fiche mon billet que les amphitryons iront bon temps
Michel Asti