Découvrez la face cachée du temps et relaxez
Si vous vous sentez à la course ou obligé.e de prendre le train de l’économie qui roule à toute vitesse sans nécessairement l’avoir choisi, si vous vous sentez déconnecté.e, incohérent.e, dispersé.e, proche du chaos, c’est parce que nous somme entraînés dans l’illusion du temps.
« Le temps, c’est de l’argent »
Voilà le postulat dans lequel nous sommes enfermés. Plus on est efficace, plus on gagne de l’argent. Mais pour cela, il faut produire toujours plus. Le temps est proportionnel à l’argent que l’on gagne. Voilà la pression du système capitaliste.
Découvrir la face cachée du temps
Voyons le temps sous un autre angle. Non par rapport à une donnée ou un résultat matériel mais en fonction de nos dimensions profondes.
Le temps, ce n’est pas de l’argent. C’est d’abord là par où circule le flux de nos énergies mentales. De ce fait, chacun de nous est doté d’un réservoir inépuisable d’énergies créatrices et réparatrices. Ce sont des forces primordiales qui n’attendent qu’à émerger.
Connecter le temps à notre richesse intérieure plutôt qu’à une richesse matérielle basée sur l’argent change totalement la donne. Le temps devient créatif et non plus soumis au diktat bancaire.
Facile à dire, je sais ! Mais si nous établissons sérieusement une différence entre l’énergie reliée à l’argent et celle de notre essence intérieure, nous fortifions notre être, ce qui lui donne de la valeur, de la confiance et une conscience plus large.
Une conscience qui rêve n’a aucun pouvoir individuel
La raison pour laquelle nous ne parvenons pas à sortir du système de la dette vient du fait que notre pouvoir de création est généré par notre imagination plutôt que par notre capacité mentale de créer. Alors le flux de nos énergies mentales nous échappe.
Ce qui signifie que nous dépendons des autres et que nous acceptons de diriger nos énergies vers l’extérieur. Cette dynamique affaiblit les circuits énergétiques de notre être.
Admettons-le, c’est facile de récupérer des gens qui rêvent dans un système où on vous raconte des histoires, pour que vous cédiez vos énergies à quelqu’un d’autre. Les marchands de rêve entretiennent la dévitalisation de l’être en jouant sur les sentiments.
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Sortir du rêve pour sortir de la dette
À défaut de se connaître intégralement dans toutes ses dimensions, de se connaître vraiment, l’être humain s’en remet au rêve. Il lui permet d’espérer. Dans une conscience étroite, ce besoin est vital pour survivre psychologiquement à la domination de systèmes qui l’obligent à faire des choses à contresens de ses intérêts.
Ainsi, le système monétaire entretient bien l’imaginaire. Il raconte des histoires pour pousser les gens à investir sur la base de leurs sentiments. Ce modèle est construit sur l’insécurité, la peur et sur une conscience de plus en plus étroite de soi.
Ainsi, l’humain qui rêve donne ses énergies mentales à des intérêts dont il ne comprend pas la source. Et ce système repose sur une dette perpétuelle (les uns envers les autres, envers les ressources planétaires) dans le but illusoire de produire une croissance économique infinie à partir de matière finie.
Pourquoi détruisons-nous le vivant lorsque nous imaginons le monde ?
Se transformer pour produire une richesse sans dette
L’étroitesse de notre conscience nous empêche de voir deux choses : notre valeur humaine et notre capacité à voyager dans le temps.
C’est dans nos dimensions profondes que se trouvent les informations régénératrices de l’être, et non destructrices du vivant.
Savoir pénétrer les dimensions multiples de soi, du plan mental à la vie concrète, témoigne d’une conscience éveillée.
Développer sa conscience supramentale permet de ne plus fragmenter ses intérêts énergétiques, au contraire d’une conscience restreinte à l’imagination.
Sans compromis, une conscience éveillée peut gérer mentalement l’énergie de la pensée de sorte qu’elle reste intégrale, de son plan d’origine jusqu’à sa matérialisation. Ce processus donne un réelle puissance à la volonté de création.
La face cachée du temps se situe dans cet espace intime, là où réside le réel pouvoir, la véritable force de l’individu.
Le temps, ce n’est pas de l’argent, c’est le pouvoir de voyager dans le corridor du réel où puiser un flux d’énergie mentales sans fin.
L’être humain EST la richesse du monde.