démons
Démons, premiers fidèles de MAHOMET !
Dans le Coran, nous trouvons un verset nommé DJEN (démon) et comme MONSIEUR MAHOMET lui-même l’a confirmé, les DJENS furent les premiers à devenir musulmans.
Lorsque MONSIEUR MAHOMET prononça l prophétie, il essaya de trouver des alliés en dehors de sa ville natale, La MECQUE. Il savait qu’il allait avoir des problèmes avec sa tribu, c’est pour cela qu’il chercha un refuge à l’extérieur. Comme MONSIEUR MAHOMET l’a raconté, un jour, il sortit négocier avec un village proche de La MECQUE. La négociation ne lui permit pas d’ouvrir un bureau officiel ou une succursale de son mouvement dans son village. Il reprit donc la route de sa ville natale. La veille de son arrivée, il fut interpellé par un groupe de démons (DJEN). Il les informa qu’il était le prophète d’ALLAH, de la statue qui est la mienne. Les DJENS le crurent et l’acceptèrent comme prophète. MONSIEUR MAHOMET a donc commencé à faire sa première prière en groupe avec eux.
A l’époque d’OMAR, 2ème calife, un voyant arabe (marabout) lui rendit visite. OMAR lui demanda s’il était toujours voyant et s’il avait des contacts avec les démons. Il répondit positivement. OMAR lui demanda donc si ses démons l’avaient informé de la prophétie de MONSIEUR MAHOMET . L’arabe dit « oui » et continua : « Un mois ou un an avant la proclamation de l’Islam par MOHAMMAD, mon démon est venu me voir en me disant : Tu ne vois pas que le monde va changer ? Et un nouveau prophète va arriver. »
Cette histoire se retrouve évidemment dans le Coran. Il s'agit de la Sourate 72, intitulée "AL-JINN" (LES DJINNS)[1] et que l'on date d'avant l’Hégire. Cette sourate comprend 28 versets que nous reproduits ci-dessous :
"Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
- Dis : «Il m'a été révélé, qu'un groupe de Djens (démons) prêtèrent l'oreille, puis dirent : «Nous avons certes entendu une Lecture [le Coran] merveilleuse,
- qui guide vers la droiture. Nous y avons cru, et nous n'associerons jamais personne à notre Seigneur.
- En vérité notre Seigneur - que Sa grandeur soit exaltée - ne S'est donné ni compagne, ni enfant !
- Notre insensé [Iblis] disait des extravagances contre Allah.
- Et nous pensions que ni les humains ni les djinns ne sauraient jamais proférer de mensonge contre Allah.
- Or, il y avait parmi les humains, des mâles qui cherchaient protection auprès des mâles parmi les Djens (démons) mais cela ne fît qu'accroître leur détresse.
- Et ils avaient pensé comme vous avez pensé qu'Allah ne ressusciterait jamais personne.
- Nous avions frôlé le ciel et Nous l'avions trouvé plein d'une forte garde et de bolides.
- Nous y prenions place pour écouter. Mais quiconque prête l'oreille maintenant, trouve contre lui un bolide aux aguets.
- Nous ne savons pas si on veut du mal aux habitants de la terre ou si leur Seigneur veut les mettre sur le droit chemin.
- Il y a parmi nous des vertueux et [d'autre] qui le sont moins : nous étions divisés en différentes sectes.
- Nous pensions bien que nous ne saurions jamais réduire Allah à l'impuissance sur la terre et que nous ne saurions jamais le réduire à l'impuissance en nous enfuyant.
- Et lorsque nous avons entendu le guide [le Coran], nous y avons cru, et quiconque croit en son Seigneur ne craint alors ni diminution de récompense ni oppression.
- Il y a parmi nous les Musulmans, et il y en a les injustes [qui ont dévié]. Et ceux qui se sont convertis à l'Islam sont ceux qui ont cherché la droiture.
- Et quant aux injustes, ils formeront le combustible de l'Enfer.
- Et s'ils se maintenaient dans la bonne direction, Nous les aurions abreuvés, certes d'une eau abondante,
- afin de les y éprouver. Et quiconque se détourne du rappel de son Seigneur, Il l'achemine vers un châtiment sans cesse croissant.
- Les mosquées sont consacrées à Allah : n'invoquez donc personne avec Allah.
- Et quand le serviteur d'Allah s'est mis debout pour L'invoquer, ils faillirent se ruer en masse sur lui.
- Dis : «Je n'invoque que mon Seigneur et ne Lui associe personne».
- Dis : «Je ne possède aucun moyen pour vous faire du mal, ni pour vous mettre sur le chemin droit».
- Dis : «Vraiment, personne ne saura me protéger contre Allah; et jamais je ne trouverai de refuge en dehors de Lui.
- [Je ne puis que transmettre] une communication et des messages [émanant] d'Allah. Et quiconque désobéit à Allah et à son Messager aura le feu de l'Enfer pour y demeurer éternellement.
- Puis, quand ils verront ce dont on les menaçait, ils sauront lesquels ont les secours les plus faibles et [lesquels] sont les moins nombreux.
- Dis : «Je ne sais pas si ce dont vous êtes menacés est proche, ou bien, si mon Seigneur va lui assigner un délai.
- [C'est Lui] qui connaît le mystère. Il ne dévoile Son mystère à personne,
- sauf à celui qu'Il agrée comme Messager et qu'Il fait précéder et suivre de gardiens vigilants,
- afin qu'Il sache s'ils ont bien transmis les messages de leur Seigneur. Il cerne (de Son savoir) ce qui est avec eux, et dénombre exactement toute chose».
[1] Voir Sourate LXXII, Les Djinns. Le Coran II, traduction Denise Masson. FOLIO classique, Editions Gallimard, Paris, 1967; pages 721-723 et les notes afférentes.