De la note de service au référendum, quand les salariés s’en mêlent
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De la note de service au référendum, quand les salariés s’en mêlent

Écrit par A Conseil

« Si tout le monde devait penser en dehors du cadre, peut-être que c’était le cadre qui avait besoin d’être réparé »[1] Malcolm Gladwell, What the Dog Saw. Repenser « le cadre », c’est exactement le sujet qui motive tous ceux qui réfléchissent autour des modèles d’entreprises libérées, d’holacratie, ou encore autour de processus de décisions plus horizontaux et démocratiques comme le référendum d’entreprise.

Les enjeux sont multiples : développer l’intelligence collective de l’organisation, impliquer et motiver les salariés, gagner en agilité, devenir plus créatif, innovant, etc. En bref, les modèles d’organisations bureaucratiques selon Mintzberg, rigides, pyramidaux et fondés sur une longue ligne hiérarchique n’ont plus la côte, ils cèdent le pas à des modèles plus souples, capables de s’adapter à un environnement devenu liquide[2].

« … développer l’intelligence collective de l’organisation, impliquer et motiver les salariés, gagner en agilité… »

Des exemples célèbres témoignent des atouts de ces démarches. Au bord de la cessation d’activité dans les années 80, Harley-Davidson a en ce sens bénéficié d’une dynamique exceptionnelle : un système de proposition d’idées pour les salariés a notamment conduit à la création de nombreuses innovations techniques… jusqu’au club de motards Harley-Davidson qui diffuse depuis l’image de la marque dans le monde.

Aujourd’hui, ces démarches s’appuient sur les technologies numériques. Celles-ci ouvrent radicalement le champ des possibles en matière de décentralisation, ouvrant la voie aux consultations diverses et variées, aux discussions voire aux débats, etc.

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