DEMOCRATIE VS TECHNOCRATIE
La démocratie devient-elle une technocratie gérée par des politiques et leurs alliés ne voulant plus faire analyse juste et sensée envers une véritable économie sociale de marché ; ayant réelle attention envers une Démocratie Républicaine attachée à la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice… ?
Le peuple serait-il, en ces instances, destitué des moyens législatifs et outils institutionnels dans un existentialisme injouable, avec un pragmatisme de classe ; en clans de technocrates désengagés de l’essence même d’une rhétorique affichée à une vision humaniste envers les enfants oubliés de la République ?
Leur paradoxe entre matérialisme et essentialisme est-il devenu le diktat de statuts liberticides entre l’utilitarisme de positions voué à dispositions d’accaparement sans véritable sens de la Démocratie ?
Cette singularité philosophico-politicienne n’est-elle que gestion administrative et technique d’écosystèmes, biosystèmes et ressources humaines intrinsèquement vouée à la gouvernance par les nombres, et non à celle d’une valeur ajoutée par étude faisant sens à l’existence du et des vivants dans le monde naturel… ; devenu précipitation envers un productivisme irrationnel au nom d’un consumérisme endiablé… ; ayant, peut-être ; oublié la posologie du discours entre les sciences et les arts…
Et en cette période de TRANSITION – Une partie de ses DEBUTS trouve sa SOURCE après les TRENTE GLORIEUSES, terminées dans la période attenante aux années 70 et l’AVENEMENT DE L’OUTIL informatique des ANNES 80… ; dont les effets du changement de PARADIGME ont commencé à se faire RESSENTIR au passage du XXIème siècle, et notamment en 2008 avec cette CRISE ECONOMICO-FINANCIERE venue, entre autres ; d’outre ATLANTIQUE et alimenté par la SPHERE MONDIALISTE du capitalisme FINANCIER non régulé, par les INSTANCES ETATIQUES NATIONALES et EUROPEENNES.
Voir : Album A COEUR DE LIVRES sur Journal FB : Michel ASTI
Les délégations de compétences ne sont pas équitablement réparties sur le territoire national. Organisation politique du territoire et organisation de la représentation politique sur le territoire sont les deux faces d’une même pièce. En les séparant on fait offense à l’intelligence politique des électeurs.
ATTICUS
Comment est-il possible de CROIRE à la SINCERITE d’un homme POLITIQUE… ; fut-il ECRIVAIN ?
Avant la révolution française de 1789, l’économie était, en principale, seigneuriale et royale. Après cette révolution, l’économie devint politique, puis à partir de la 3ème République, en séparation de pouvoir entre l’Etat et la Religion, elle devient soi-disant laïque. Mais, elle n’a sous aucun régime été neutre !
Où sont donc les gardiens des lumières, chevaliers et amazones des temps passés ?
Humanistes et intelligences en bienveillance et bienséance ?
Cette flamme s’est éteinte sous coups monétisés.
Suite sur : LE JOURNAL D’UN RSAYSTE
N’AYONS PAS PEUR DES MOTS !
J’ai l’impression, chez certains groupes d’individus et communautés, que cette maxime est devenue une quête insolvable, asthénique, stérile et donc inutile par son exercice, mais acceptée dans une posologie, contractée aux contre poisons des bagagistes chargés d’illusions ; embarquée et emmenée par des voyagistes en veule marchandising, sans lumières…
Tenez, par exemple : ‘’JE NE T’AIME PAS!’’
J’ai le droit de penser que je n’apprécie pas ta ‘’GUEULE’’, tes actions, réactions, comportements et dire que je ne t’aime pas !
Tu imagines que tu es une personne plaisante, sympathique et attentionnée… ???
Et ben non !
Cela pourrait, éventuellement s’arrêter là. Mais non !
Car, en FIN de COMPTE, ce n’est pas que je trouve que des DEFAUTS à ton VERBALISME, j’en ai certainement dans ma TEXTUALITE de REBELLION perpétuelle…
Certes, moins que toi… ; et surtout plus objective.
Mais surtout je ne t’aime plus et ne t’ai jamais véritablement prisé. Depuis des mois tu me fais CHIER, et certainement AUTRES que je ne connais pas, avec tes MOTS d’une CONNERIE trop PESANTE. Tes SARCASMES en vindicte perpétuelle n’abordant aucune OBSERVATION et ANALYSE ATTENTIONNEE, envers petites gens ; m’irritent. Et dans ta MEDISANTE parole : ces FAINEANTS, ILLETRES(ES) et ces RIENS qui ont qu’à traverser la rue pour TRAVAILLER.
Tout pour ta gueule, tes poches et celles de ton clan de filous…
Tout cela avec un NARCISSISME de précieux indécent.
Tu rejettes toutes ces personnes ou communautés ayant quelques différences avec tes us, coutumes, ORTHODOXIES. Et tout cela avec ton SAVOIR de PRETENTIEUX. Sauf, bien évidemment pour celles et ceux en appartenance de ton CERCLE d’opportunistes de CAVE et autres empruntés(es) en courbure de POSITIONS…
Quels PROFESSEURS(ES) as-tu eu ?
Lesquels t’ont formé à la REALITE sociale-économique ? Cette et ces personnes, de savoir, ont elles eu peur de te dire les MOTS VRAIS ?
Sont-elles venues avec raisons LOUABLES, valables et collectivement monnayables pour ménager tes ECARTS de conduite et SUPERIORITE INDIGENTE ?
En ces INSTANCES PROFESSORALES, si c’est le cas, elles eussent été de meilleures efficiences en te précisant que tu étais déjà, à cette époque, un petit bonhomme narcissique.
Certes, CES PROCHES t’ont certainement aidé dans ta COURSE au POUVOIR inique. Tu ne l’avais pas encore à ce moment-là de ta VIE ? Hormis celui d’un petit BOURGEOIS de PROVINCE ?
Mais tu avais déjà les DENTS qui rayaient le bois du PLANCHER des ESTRADES POLITICIENNES. Et depuis quelques années, ça ne S’ARRANGE malheureusement pas ! Certes pas pour ton GROUPE de Méphistophélès, mais pour les classes moyennes, petites et précaires, assurément. Ta vindicte personnelle signée aux thèmes d’une HERMENEUTIQUE en pouvoir STOÏCIEN de FILOUS et CALOMNIATEURS, envers tout à chacun et chacune, est d’une séance didactique INDIGNE de cette extraordinaire LANGUE FRANCAISE.
Je pense, sans ambages et ronds de jambes politiquement correct, que tu es un petit pervers narcissique qui n’a eu et n’obtiendra certainement aucun résultat probant potentiellement apte à maintenir quelques équilibres sociaux-économiques et communautaires auprès de ses congénères, CORPS INTERMEDIAIRES, collectifs CITOYENS et SYNDICATS de tous bords, dans les territoires de France.
Mais surtout, par tes paroles à ne jamais oublier d’enfreindre, sans aucune forme de respect patriotique ; en toutes circonstances voyagistes les règles des mots dignes teintés aux verves d’acceptables honorabilités partagées dans une rhétorique d’homothéties distanciées aux thèmes d’une juste valorisation accrochée au véritable sens de la sociologie humaine et des DROITS de l’HOMME, de la FEMME et de l’ENFANCE. Toute cette agitation d’Etat arquée de cynisme envers la citoyenneté et gérée par une MONARCHIE en BELLICISME ANTIGAULOIS est devenue trop IRRESPECTUEUSE pour y percevoir quelques formes de syntaxes en dérision humainement ACCEPTABLE.
Alors oui, je ne t’apprécie sous aucune de tes facettes, facultés et propriétés ! Je n’ai jamais eu petite condescendance envers ta façon de traiter les autres n’appartenant pas à ton gargarisme ERIGE aux vocalises du ‘’VEAU D’OR’’ en Etat de RUISSELLEMENT coupé de toutes bienveillances et devoirs en résonnance de réserves nationales. De ta tour ‘’pas belle’’, ne perçois-tu pas cette fracture entre RATS des VILLES et RATS des CHAMPS, en train de gonfler aux HORIZONS de ce beau pays affiché à ces extraordinaires paysages naturels teintés aux couleurs de la diversité, entre terre et mer, où malheureusement la JUSTICE sociale-économique n’a plus que l’apparence d’une STATUE DISLOQUEE. Tu n’es qu’un petit bonhomme frappé au sceau d’un cheval de Troie furtif stupide, sans vision éthique.
INSURRECTION ENTRE ATTACHEMENT ET EGALITE…
INSURRECTION, ce mot qui colle si bien aux harangues des extrêmes, s’est dissocié de son sens révolutionnaire, issu de la déclaration des droits de l’homme de 1948, et de son édiction marxiste, plongé dans l’idée de classe. La plus probable des formes de rébellion contre le pouvoir politique est aujourd’hui une espèce d’insurrection de saturation, où le ‘’n’importe quoi’’ social-économique a pris ses quartiers dans ce nouveau paradigme liberticide qu’est l’ultra-ordo-libéralisme dans une culture du capitalisme financier impérieux, outrancier et international.
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