Eloge de la connerie

 Une fois n’est pas coutume, je quitte mon domaine de prédilection,

Le dommage corporel

Dans un post récent,

j’ai abordé le thème du con

j’ai utilisé le mot « oser »

en le galvaudant

Réaction épidermique et réponse à la volée

Face à cette propension gauchiste

à brandir les mots « racisme » et « fascisme » à tout va

vous traiter de raciste et/ou de fasciste

pour vous culpabiliser et vous déstabiliser

mon sentiment vis à vis de ce politicien, objet de ma flèche

n’a pas changé

mais

Ne sommes-nous pas tous le con d’un autre ?

parce qu’on ne partage pas leur opinion , leurs choix…

Etre con, c'est alors 

• oser la différence
• oser le changement
• oser le progrès …

C’est ici que Romain Rolland vient contredire Audiard :

« Quand on ose, on se trompe souvent.

Quand on n’ose pas, on se trompe toujours. »

On aborde là le problème du risque

Et je me tourne volontiers vers Rudyard Kipling que j’adore,

Car son poème « If » peut être une balise comportementale

Mais aujourd’hui, je vous propose

Risquer :

Rire, c’est risquer de paraître fou...

Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental...

Tendre la main, c'est risquer de s'engager...

Montrer ses sentiments, c'est risquer de s'exposer...

Faire connaître ses idées, ses rêves, c'est risquer d'être rejeté...

Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour...

Vivre, c'est risquer de mourir...

Espérer, c'est risquer d'être désespéré...

Essayer, c'est risquer de défaillir...

Mais nous devons en prendre le risque !

Le plus grand danger dans la vie,

c'est de ne pas risquer...

Celui qui ne risque rien

Ne fait rien... n'a rien... n'est rien !

Alors, in fine, soyons cons

Osons, risquons dans l’intérêt de nos victimes

Comme je vous le proposais il y a peu