ENTRE LA DICTATURE D'OCCUPATION & LA TRANSITION POLITIQUE. « N’AYONS PAS PEUR PEUPLE CONGOLAIS »
R.D.CONGO,
ENTRE LA DICTATURE D'OCCUPATION & LA TRANSITION POLITIQUE.
« N’AYONS PAS PEUR PEUPLE CONGOLAIS »
La propagande fonctionne durablement seulement lorsqu’elle est en phase avec l’imaginaire de la population destinataire, et dés lors qu’elle n’est pas trop décalée avec la réalité sensible, mais le peuple Congolais commence a comprendre.
Au regard de l’évolution récente que connaissent la résistance des Congolais et ceux de la diaspora, marquée contre la dictature des institutions d’une fausse démocratie, le non dynamisme du pluripartisme et une fausse alternance politique, le Congo peine manifestement dans son processus de démocratisation.
Permanence d’une position de force du MP e FCC la vie politique comme à la direction des institutions publiques et faiblesse de la société civile singularisent l’inertie culturelle et politique, bien que la mobilisation citoyenne qui s’est affirmée en amont des fausses élections générales de décembre 2018 avorter, pourrait marquer une nouvelle étape sur ce point de la transition sans Kabila et son système.
Dans ce contexte d’apparente démocratique, induite par la dictature atroce, des rapports de forces, une sociologie particuliers, il est important d’interroger le changement culturel et politique dont le processus de transition « par en haut » sera porteur.
La résistance contre les élections à la con souffle un puissant vent d'espoir sur les braises sociales qui se sont allumées, au Congo, qui va renverser le système et la dictature de Kabila à bout de souffle, incapables de répondre aux aspirations d'une jeunesse nombreuse et désœuvrée.
Un mouvement insurrectionnel se propage partout au Congo d’où l’éveil de la population est au feu rouge et rien ne pourra stopper ceci.
Cet épisode remet étrangement au goût du jour le célèbre "N’AYEZ PAS PEUR!" lancé par Jean-Paul II, dont nous disons « N’AYONS PAS PEUR PEUPLE CONGOLAIS » afin de conquérir notre liberté, la démocratie, le système politique et économique.
Notamment en ce qui concerne la relation au passé, dès lors que la dictature a été une des pièces maîtresses du système d’encadrement et d’enfermement de la population.
Il s’agit ainsi d’interroger à travers la confrontation entre la structure et l’événement, dans quelle mesure un changement de régime politique peu induire un changement de régime à la bonne gouvernance démocratique sereine et participative.
Autrement dit, en quoi la fin de la dictature et le processus de transition seraient-ils marqués par une évolution dans la relation que la société Congolaise nouerait avec son présent et son passé chaotique ?
Et comment, le glissement d’un régime à un autre pourrait-il conduire à des ajustements, voire à une transformation du passé/présent ?
Dans un premier temps on portera l’attention sur les tensions entre histoire officielle et mémoire collective sous la dictature afin de définir le régime d’historicité propre à cette culture, avec la perspective d’étudier dans une deuxième partie comment la chute de la dictature pourra aider des changements dans le rapport que la société Congolaise entretiendra avec son passé et son futur.
La notion d’histoire des crimes officiels ont pris pleinement son sens au Congo, dans la mesure où les régimes autoritaires successifs ont exprimé officiellement leur position en faveur d’une version de l’histoire, et décidé de mesures politiques pour l’imposer.
Confrontés à l'échec des guerres, des assassinats les militaires de la Kabilie, la force de la population de sa diaspora soutenue par les amis du Congo, va faire chuter la dictature Kabilie, au pouvoir depuis de 18 ans, et sera l’instauration de la transition au régime démocratique qui débouchera sur la modernisation politique, économique et culturelle du Congo.
Signé : Sa Majesté Dr Dieudonné PRINCE AGOUMOUSSE
DEMANDHE WIZAMO...
L’homme de la providence pour un Congo nouveau.