Et c’est à toi que je pense...
Et c’est à toi que je pense ...
Je n’ai pas le droit, nous n’avons pas le droit de nous laisser percer la panse à la terrasse d’un café ou dans un lieu pour écouter de la musique.
Alors comme tu grandis et que toi aussi tu vas aller écouter de la musique et prendre un verre avec tes amis, je n’ai pas envie d’être ce pauvre père en pleure dont les larmes ne peuvent plus couler et devant attendre 15 jours que le corps de sa fille lui revienne…
Nous n’avons pas le droit de rester sans rien faire devant ceux qui financent la mort de prés ou de loin.
Ne nous trompons pas de cible, ce n’est pas celui qui porte une kalachnikov en bandoulière, une ceinture explosive, ou un lance-roquette qu’il faut viser, mais bel et bien ceux qui ont les moyens d’armer ces cerveaux lavés et ces âmes perdues.
La question que nos gouvernants doivent se poser dés aujourd'hui, c’est de ne plus sous couvert économique et financier, pactiser avec n’importe quels états, organisations,sociétés...Sous prétexte qu’ils ont les moyens de financements.
Notre liberté est à ce prix !