ET SI ON ESSAYAIT DE CRÉER NOTRE PROPRE LUMIÈRE DANS LES TÉNÈBRES

ET SI ON ESSAYAIT DE CRÉER NOTRE PROPRE LUMIÈRE DANS LES TÉNÈBRES

Avec l’effondrement de l’économie, le gaspillage de nos ressources et le manque de politique sereine, la jeunesse africaine est laissée de plus en plus en rade sans aucun accompagnement concret ; se battant tout seul pour sa propre survie dans une société ancrée dans ses mauvaises habitudes et qui joue souvent les victimes.

Avec un taux de chômage de plus de 40% et une politique de création d’emplois quasiment inexistante ou inefficace si elle existe vraiment ; ce qui se passe dans ce pays est extrêmement exaltant.

Quand la rigueur s’interprète comme une folie, que la compétence se définisse par des liens de parenté et de cousinage, que le rêve devienne amer et rarissime et que l’espoir semble lointain, c’est qu’on a perdu l’élément fondamental de notre société et qu’on est atteint d’une cécité intellectuelle, sociale, psychologique et identitaire.

Heureusement pour nous les jeunes, le rêve reste toujours gratuit malgré son caractère illusoire. Et tant qu’il le restera, y aura toujours une lueur d’espoir pour autant que les idées qui en découlent soit réalistes au point de devenir une solution potentielle face à nos soucis quotidiens. Oui, nous faisons tous d’un moment à l’autre de l’entrepreneuriat forcé.

L’entrepreneuriat est devenu une alternative face aux multitudes de problèmes socio-économiques que rencontre le continent africain. Pas parce que c’est la nouvelle tendance ni du fait que le monde en a besoin mais pour la simple et bonne raison qu’on ne peut pas éternellement attendre que l’état nous vienne en secours. De toute façon, ils viennent rarement à notre secours.

 Il est temps que nous cessons d’attendre que le gouvernement change nos destins. C’est nous le changement. Nous avons l’obligation de tester nos limites en tant que des ambitieux et de contribuer à notre propre développement avec ou sans facilitation de l’Etat.

Cet entrepreneuriat forcé découle purement de notre instinct de vouloir survivre. En conséquence, cette nouvelle tendance se constate dans tous les secteurs et dans tous les domaines et est la principale raison de la sur-concurrence et de l’augmentation considérable du nombre de copiage.

C’est la raison pour laquelle aussi que nous avons plus de vendeurs que d’acheteurs, plus de parleurs que de faiseurs et plus de démarcheurs que d’influenceurs car nous cherchons tous à survivre plus que nous cherchons à impacter.

En d’autres termes, la masse est plus intéressée à tirer des profits que de fournir un service de qualité ou à répondre vraiment à un besoin. Ce concept de « Get the Money First » fait que tout le monde veut encaisser sans jamais fournir, s’engager sans jamais finaliser et démontrer sans jamais montrer.

La notion de satisfaction est perdue et le client est méfiant et le système est biaisé du fait que le marché est plus composé de survivants avec qui tous les moyens sont bons, des opportunistes avec qui tous les coups sont permis et peu de porteurs de vision et de changement (entrepreneurs).

Les survivants : ceux qui vendent tout avec tous les moyens pour survivre en espérant que la loi de l'univers saurait remercier leurs efforts et en attendant d’être embauché pour avoir un revenue sécurisé ;
Les opportunistes : ceux qui créent un besoin éphémère et lui trouver une solution temporaire ou illusoire pour s’offrir un billet d’entrée dans une entreprise avec une carrière toute rose à leur portée ;
Les porteurs du changement : ceux qui créent une solution durable face à une problématique avec l’intention de faciliter la vie des autres et de révolutionner le système.

Nombreux sont ceux qui réussissent à avoir un boulot pour assurer leur survie sur le court-terme et rare sont ceux qui arrivent à avoir une carrière digne dans une structure. Il est encore plus rare de voir un entrepreneur conscient de tous les défis du continent et qui est orienté plus ‘’Solution rentable’’ que ‘’Money first’’.

Je n’éprouve ni de la défaite pour ceux qui essayent de survire et ni de la victoire pour ceux qui arrive à faire une belle carrière en améliorant les performances de leur structure et en concentrant leur qualité de leader et de manager uniquement à la réussite de leur boite. En plus, je suis tout à fait convaincu qu’il y ait une dose de chance et de destin déjà tracé sur le parcours des personnes qui répondent à l’appel de l’univers au moment le plus opportun et pendant que le monde en ravale.

Ils n’ont pas créé quelque chose qui n’a pas été dite ou réalisée, ils ont juste eu le mérite d’avoir changé leur angle de tir et d’avoir une grille de lecture différente pendant que tout le monde regardait ce que tout le monde voyait.

Et croyez-moi ! Vous pouvez le faire aussi. Rien n’est impossible. Que vous soyez en quête de boulot ou en recherche de carrière, vous pouvez toujours impacter positivement et faciliter la vie des autres. Je vais vous montrer à quel point le chemin est typique en vous donnant trois astuces phares et simples (3 laws of becoming a great entrepreneur) qui résument le parcours de toutes les grandes entreprises. Pour vous aider à mieux comprendre ces 3 actes, nous allons étudier en guise de référence les trois organismes suivants :

Cependant, la seule condition inébranlable pour ces actes, c’est votre volonté de vouloir impacter la vie des autres tout en gardant en tête que la bonne intention est toujours récompensée pécuniairement. C'est-à-dire, la satisfaction avant le prix, Customer Focus avant Money First

Acte 1 : Commencez avec une idée simple

A moins que vous pensez à créer des idées révolutionnaires à la hauteur des voitures électriques créées par la compagnie Tesla d’Elon Musk ou des smartphones munis d’une intelligence artificielle comme Iphone et autres, toutes les grandes idées sont simples et se basent sur des outils et moyens déjà existants.

Les grandes entreprises de ce monde ont tous fait leur début de cette manière. Pour vous exprimer la puissance de la simplicité et vous démontrer qu’il ne s’agit pas d’être un fils d’Einstein pour comprendre les principes de fonctionnement et les secrets de réussite, Nous allons vous présenter le parcours des trois grandes entreprises Amazon, Payall et Uber.

Donc, la prochaine fois que vous avez une grande idée et que vous comptez réellement laisser votre impact, commencez d’abord par la simplifier. Comme disait Einstein « Si vous ne pouvez pas expliquer votre concept à un enfant de six ans, c’est que vous ne le comprenez pas complètement »


IDEE AMAZONE : Créé par Jeff Bezos y a 23 ans et maintenant l’un des leaders du monde dans le secteur e-commerce, l’idée de début de l’entreprise se limitait à mettre en place un site web, d’acheter en gros les livres les plus sollicités sur tous les domaines, de les exposer sur le site sous forme d’annonces et de permettre aux amoureux de la littérature de payer en ligne pour acheter, emprunter ou consulter un livre.

Malgré que l’idée soit innovatrice, elle reste toujours simple. Bien qu’il ait eu le mérite d’avoir pensé en premier à l’importance de la bibliothèque numérique, tous les moyens étaient déjà à sa portée. L’internet qui constitue le socle de son business était déjà créé et la poste qu’il utilisait pour livrer ses colis à ses clients l’était aussi.

Et la partie technique, Jeff n’est même pas ingénieur. Et il suffit de suivre quelques cours sur Youtube ou de payer un informaticien pour qu’il vous fasse un joli site-web avec des fonctions et paramètres qui remplissent exactement vos besoins et attentes. Ce n’est pas du tout aussi diable que ça.

IDEE PAYALL : Créé par l’entrepreneur Serigne Malick TALL. Il a fait ses débuts comme un vendeur détaillant de crédits téléphoniques aux boutiques des quartiers dans les rues de Dakar. Et puis de boutiques en boutiques, il est devenu le grossiste qui approvisionne des milliers de boutiques. Le fondement de son business est simple. Il est juste un vendeur exceptionnel qui a bien compris les besoins et attentes de ces clients à l’instar de nos pères de Baol-Baol. Il existe des milliers de détaillants. Pourquoi lui ? Parce qu’il sait que vendre juste un produit ne suffit pas. Il faut de la valeur ajoutée pour se différencier. Son succès repose uniquement sur sa réactivité et son aptitude à fournir du crédit au moment demandé quel que soit le réseau de télécommunication utilisé.

N’y a aucun secret. Les gens qui valorisent leurs clients et les considèrent comme des partenaires arrivent toujours à vendre plus que ceux qui font que discuter des prix.

IDEE UBER : une entreprise américaine actuellement évaluée à des milliards de dollars fondée sur la base d’une idée très simple et qui constitue tout simplement à permettre les propriétaires & particuliers de transformer leur voiture en taxi occasionnel et les professionnels du secteur du transport aussi à multiplier leur clientèle grâce à une plateforme simple de géolocalisation ou ces derniers peuvent s’y inscrire et les tiers y accéder gratuitement pour commander une course.

Un système trop simple pour être vrai surtout que dans un pays ou les données géographiques sont répertoriées et mises à jour régulièrement.

Acte 2 : Développez l’idée en profondeur et en largeur

Une fois l’idée cernée, il est temps de le développer davantage sur la profondeur et sur la largeur. Un business est sensé créé un flux d’argent. Et pour que ça puisse continuer d’exister, il faut qu’il y ait des revenues.

 A moins que vous soyez un philanthrope qui aime donner des dons à des causes et idées humanitaristes ou un adepte du service publique qui cherche à équilibrer ses dépenses avec ses encaissements, votre idée doit être théoriquement et techniquement applicable pour répondre à un besoin et rentable sur une période bien déterminée. Le seul moyen de savoir c’est de le développer et de le tester.

Cette phase appelée la phase de développement et qui peut prendre 2-3 ans consiste à raffiner l’idée de base pour développer votre modèle économique, identifier votre cible et définir vos différentes catégories de produits et services. En d’autres termes, faites votre business plan.

 Avec une vision simple, claire et un modèle de business formulé, il ne reste qu’à attaquer le marché et trouver des clients. Rappelez-vous toujours que ce qu’il faut pour gagner de l’argent n’est rien d’autre que le courage. Le courage d’aller frapper la porte des inconnus pour présenter votre solution, le courage de prendre des risques mesurés, le courage d’être prêt à être rejeté et à être manipulé dans un monde ou la course vers l’enrichissement est de plus en plus déloyale ; pour autant que la vision sur le long-terme, votre culture et vos valeurs personnelles soient toujours gardés au viseur.

DEVELOPPEMENT D’AMAZON : 

Avec une idée de départ de bibliothèque numérique, Amazon ne s’est pas arrêtée simplement. Il a amélioré ses services en profondeur en permettant à ses clients amoureux de la littérature de pouvoir avoir leur propre coin numérique de lecture en ligne ou ils peuvent stocker les livres qu’ils achètent et les lire quand ils veulent.

En plus, plus qu’un client reste un client et ses besoins ne se limitent pas seulement à lire, il s’est aussi développé en largeur en étendant son secteur d’activités pour attaquer le marché de vente en ligne de tous produits et services que le client aura forcément besoin d’une manière ou d’une autre. En même temps, il permet aux vendeurs et aux prestataires de services d’avoir leur propre boutique ou agence numérique et de vende en ligne aussi.

Amazon est devenue un méga hyper marché numérique qui satisfait les besoins de ces usagers au moment présent et dans l’avenir dans tous les secteurs et domaines.

DEVELOPPEMENT DE PAYALL :

Continuer d’approvisionner à distance n’allait pas rendre les boutiquiers autonomes. Qu’en diriez-vous de digitaliser les boutiquiers et de leur permettre eux-mêmes de s’auto-approvisionner sur place, d’accepter des paiements, de gérer leurs dépenses en temps réel ?

Malick a développé une application d’agrégation d’achat de crédits et d’acceptation de paiement. Une application simple d’utilisation avec une interface simple et illustrative compréhensible par tout le monde, même pour les analphabètes.

Une solution qui facilite est toujours un produit rentable d’où l’importance de développer son business avec l’envie d’impacter et de faciliter le choix aux clients et non juste pour se faire payer. Si non, votre stagnation est garantie.

DEVELOPPEMENT D’UBER :

Uber pouvait juste se contenter de mettre en contact le client qui souhaite commander une course avec le particulier le plus proche de la zone et s’en arrêter là. Mais, la notion de développement, de diversification et de multiplication est tellement importante pour n’importe quel business au point qu’Uber a créé, en plus de la catégorisation de ses véhicules abonnés, son service professionnel (Uber Business) destiné à assurer le transport des entreprises, le service de transport de marchandises ou d’autres objets lourds (Uber Fred), son service de livraison de repas à domicile (UberEats),…...

Vous voyez ! Rien n’est compliqué. Jusque-là, ils se sont complètement basés sur des outils et moyens existants. Rien de révolutionnaire, il suffit juste de négocier avec les acteurs et de de trouver un terrain d’entente gagnant-gagnant avec l’ensemble des parties prenantes tout en respectant les réglementations en vigueur.

Et sa stratégie de développement en largeur constitue tout simplement à applique ce même modèle dans les pays européens et asiatiques et partout dans le monde.

Rappelez-vous, le meilleur investissement n’est pas de gagner d’argent. C’est de gagner de nouveaux clients tous les jours. Votre clientèle représente votre investissement

Acte 3 : Révolutionnez l’idée

Qu’est-ce-qu’il vous faut pour redéfinir les limites de l’impossible si vous avez déjà un business qui marche et une large base clientèle satisfaite prête à vous suivre grâce à la bonté de votre vision et la clarté de vos objectifs ? Rien du tout !

Maintenant que vous avez des rentrées colossales et régulières de liquidités et que vous avez compris comment le secteur marche, vous pouvez vous permettre d’investir sur des recherches et de développement, sur des études poussées de compréhension de vos clients et mettre en test vos idées les plus démesurées.

Soyons clair, vous ne pouvez pas vous permettre de perdre de l’argent quel que soit le cas. Assurez-vous que vos actes et vos orientations sont stratégiques et permettront même s’ils vont prendre 20-30 ans de booster et de rendre votre entreprise plus performante et plus productive.

Cette phase de révolution a pour but de donner les entreprises en croissance leur autonomie et de gagner une part de marché trop importante à tel point qu’elle peut influencer tout son secteur d’activités.

Une fois la révolution semée et la grandeur de la vision réclamée, il reste qu’à préparer son entrée en bourse et faire partie de ceux qui impactent positivement ou négativement.

J’espère que vous allez impacter positivement vous !


Le fondateur d’Amazon est actuellement en train de réaliser ses rêves d’enfants les plus fous et toutes les grandes idées compliquées et superficielles qu’il avait et qu’il ne pouvait pas se permettre de réaliser dans les débuts. Pas parce que ça fait fun. Mais, parce qu’il veut que son entreprise atteigne son autonomie et fasse partie de ceux qui façonnent l’avenir.

AmazonPay : Après avoir utilisé plusieurs années le service Paypal et les autres agrégateurs de paiement en ligne, Amazon a développé son propre service de paiement sécurisé. Il n’a plus besoin de recourir aux autres services. En d’autres termes, les 3% de frais de transaction qu’il payait à Paypal et les autres entrent maintenant dans ses comptes. Plus d’autonomie, plus d’argent et plus de maîtrise.

Amazon BlueOrigin : C’est un programme de recherche et de développement financé par le fondateur d’Amazon et qui a pour but de développer des véhicules simples de transport interplanétaires à des coûts raisonnables pour les masses une fois que les derniers réglages sur la planète Mars sont achevés. Un projet très avancé et qui portera ses fruits dans l’avenir surtout que les ressources naturelles existantes sur la planète Mars est 10 000 fois supérieures à celle de la terre. Ce qui veut dire que, dans 50 ans voir 100 ans, Mars sera le prochain hub industriel et que toutes les grandes entreprises auront certainement leur filiale là-haut.

Et qui pensez-vous assurer le voyage interplanétaire de leurs employés une fois qu’ils s’y seront installés ? Ce ne sera sûrement pas les avions de SpaceX qui coûte 500 000$ par voyage (225 000 000 FCFA). Ce seront forcément les voitures d’Amazon.

Washington Post : Pendant que le fameux journal était en faillite, Jeff l’a acheté. Pour un businessman, avoir sa propre plateforme de propagande équivaut à entrer en contact direct avec la masse, de les orienter et de les influencer inconsciemment sur des choix et méthodes de pensées similaires à votre vision et qui auront forcément un impact sur la notoriété de votre business. En d’autres termes, le pouvoir de l’influence et de manipulation.

Avec des milliers de boutiques et d’espaces de ventes qui utilisent l’application et un chiffre d’affaires de plus de 500 millions, l’entreprise est en train de développer son propre volet d’assurance destiné à ces clients boutiquiers et vendeurs. Avec ça, ils seront les premiers sur cette niche de marché et ils pourront collecter suffisamment de fonds pour rivaliser les autres systèmes d’assurance. Et pourquoi pas lancer son propre agrégateur de paiement numérique destiné aux commerces électroniques ?

En s’appuyant toujours sur les particuliers et professionnels du transport, Uber sait bien que cette manière de faire ne pourra pas continuer d’exister pour longtemps vu que, si cette tendance ascendante continue, non seulement l’offre sera supérieure à la demande ; mais les gains seront diminués et le travail des chauffeurs de taxi sera particulièrement impacté financièrement pour autant qu’ils vont partager leur gagne-pain avec des particuliers qui ont déjà un boulot et qui cherchent des revenus supplémentaires.

Même si que les bonnes et simples idées n’ont pas de date d’expiration, ils rencontreront forcément des obstacles d’où l’importance de travailler sur des idées alternatives. Révolutionnaires ou pas, c’est une question de survie.

Otto Motors : un projet phare d’Uber de fabrication de véhicule autonome sans chauffeurs qui soulage les entreprises des transports et déplacements de matériels et d’objets lourds dans les sites de production tout en augmentant leur productivité et diminuant ainsi les risques d’accidents et de problèmes ergonomiques.

Acquisition de DeCarta : Uber est entrain d’acheter toutes les petites start-ups de conception de cartographies et d’analyse de données géographiques telles que DeCarta pour booster son algorithme de calcul du montant des trajets en fonction de la zone, de la circulation, des heures de pics et d’autres éléments de circonstances ; histoire d’augmenter ses marges de bénéfices.

Résumé :
Le but de cet article est de vous faire comprendre que l’école ne vous donne pas assez d’outils pour que vous soyez indépendants et nous enseignent non plus comment créer du business, ni comment faire de l’argent et non plus comment gérer l’argent.
En réalité, l’école vous garantit juste la possibilité d’avoir un salaire qui, dans la majeure partie des cas, est fait pour pour vous garantir une valeur alimentaire de moins d’un mois. Elle vous enseigne la dépendance. Rajouté à cela notre culture africaine et vous saurez que nous sommes anti-indépendance.

Que vous soyez étudiant ou salarié, jeune ou vieux, désespéré ou motivé, je tiens à ce que vous sachez que le chemin vers la réussite n’est pas unidirectionnelle et qu’il existe plusieurs moyens de gagner dignement sa vie et de se lancer dans vos propres aventures.

Pour autant que les idées et les principes de fonctionnement des personnes de succès et des grandes entreprises ne révèlent pas de la magie ni de la spiritualité, ils sont tous parti sur des bases simples.

Pas la peine d’être un surdoué pour comprendre. C’est simple. Il suffit d’avoir une idée, de le mettre en application en se basant sur les outils existants, de la développer avec les moyens du bord et de la révolutionner après avec votre vision et les recettes réalisées.

Cependant, il est important de s’assurer que votre solution est importante sur le plan professionnel et scientifique. Rappelez-vous bien que tous les problèmes ne méritent pas d’être résolus. Pour qu’il soit digne de votre précieux temps et engagement, vous pouvez vous baser sur la matrice des 4U :

  • Unworkable ;
  • Unavoidable ;
  • Urgent ;
  • Underserved (sous-exploité).

C’est seulement que si la réponse à toutes ses questions est affirmative qu’il faudra se lancer.

Et qu’attendez-vous ? Maintenant que vous avez la bonne expérience, il ne reste qu’à commencer votre propre expérience.


  

Modou Abib SALL

Responsable qualité chez TotalEnergies | Gestion de projet | Entrepreneur | Podcasteur

6 ans

Thanks bro

Seydina Issa Laye THIAW

Flight Operations Officer chez Air Sénégal S.A | Opérations aériennes

6 ans

Absolutely Brilliant !

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