Facturation des freelances : et voici le RÉDACTAUX !
Emmanuel LATOUCHE✒️🚀
✒️🚀 Concepteur rédacteur freelance SENIOR et FIABLE, je crée des contenus print et web à haute valeur ajoutée pour les agences et les services com des entreprises ✍️ ⎮ Fondateur LERÉDAC.COM
Amis freelances qui ne savez pas combien facturer, amis clients qui vous demandez combien payer… Ne vous creusez plus le ciboulot : j’ai créé pour vous le RÉDACTAUX© (j’ai mis un copyright car je n’en suis pas peu fier, mais en vrai rien n’est déposé, tout le monde peut donc profiter de ma géniale idée).
Certains camarades freelances, surtout parmi les plus jeunes, me demandent régulièrement à quel taux journalier moyen (TJM) facturer. Et invariablement je réponds que cela dépend… En même temps, ai-je fini par me dire, tout cela n’est pas bien compliqué, et il devrait être possible de proposer un barème de facturation cohérent, homogène et juste.
Je me suis donc amusé à imaginer une équation toute simple qui permettrait d’établir une fois pour toutes le tarif horaire d’un concepteur rédacteur freelance.
Et cela a donné (Tsoin ! Tsoin ! Sonnez trompettes, résonnez tambours ! )…
Le RÉDACTAUX© que voici :
150 + (Ax10xC)
150 est le coefficient de base.
A = Le niveau d’expérience du rédacteur exprimé en années.
Recommandé par LinkedIn
C = Le niveau de complexité du sujet, soit 1 pour les tâches simples (relecture, rédaction de fiches…), 2 pour les tâches demandant un travail plus poussé (rédaction de textes professionnels, conception rédaction publicitaire), 3 pour les travaux nécessitant une expertise forte (plateforme de marque, stratégie éditoriale…).
Par exemple :
150 + (5x10x1) = 200 euros la journée.
150 + (15x10x2) = 450 euros la journée.
150 + (20x10x3) = 750 euros la journée.
Libre à vous de l’adapter cette proposition, en modifiant le coefficient de base si vous estimez par exemple qu’un rédacteur même junior devrait être un peu plus rémunéré.
Notez enfin que les rédacteurs juniors optent le plus souvent pour le statut de micro-entrepreneneur et ne sont donc à ce titre imposés qu’à 21,2%. Les concepteurs rédacteurs plus expérimentés créent en général leur société (SASU ou EURL) et doivent s’acquitter de charges bien plus élevées (environ 40%), dont ils doivent bien évidemment tenir compte au moment de facturer.