Invité à soutenir une famille devant une commission de la CDAPH
Ce qui pousse une famille à rechercher tout ce qui fera du bien à un enfant autiste, ce qui pousse encore des familles pour une plus grande exigence dans la prise en charge individuelle de l'enfant, à développer eux-même un programme éducatif à la maison, tout cela fait face à un "ce n'est pas dans les recommandations de la HAS et de l'ANESM" devant une commission de la CDAPH. Mais la sécurité de ce parti pris discuté par Laurent Mottron au Canada comme en France, comment tiendra-t-elle à la postérité et surtout à la prise de parole de plus en plus forte des personnes autistes elles-mêmes ?