La gestion intégrée et le change management

Le changement fait partie intégrante de notre vie de TOUS les jours, de TOUS les instants (1) ...

Une entreprise est assimilable au fonctionnement d'un organisme vivant et la logique d'une gestion dynamique induit naturellement à l'identification des processus "vitaux" pour en connaître leur fonctionnement tout en réalisant bien que le maximum de performances est atteint quand les dits processus "vitaux" fonctionnent ensemble de manière bien coordonnée. Autrement ...

Le pire étant que, "dans la réalité", on cherche toutes voies pour faire en sorte que "personne" ne se rende compte de ce qui se passe réellement!

Par contre, si tout va (relativement) bien, on peut se contenter d'en améliorer les performances par la recherche et l'implémentation de moyens -hommes, machines, systèmes- qui optimaliseront les capacités actuelles. En cas de difficultés, il faudra en rechercher les causes et y remédier.

Une intégration est un changement et s'imposent alors la concertation, la collaboration voire, aussi, l'accompagnement !

Une intégration sous-entend des modifications de structure et de mentalité à tous les niveaux. C'est pourquoi on qualifiera ce changement de transformation. Elle met globalement en mouvement des techniques de gestion trop souvent considérées comme isolées (ce qui n'empêche nullement le recours ponctuel à l'une d'entre elles) qui ont trait aux risques, à la sécurité, la portabilité, la connectivité, le commerce électronique, la mobilité, les accès, le virtuel, les autorisations, la formation, les banques de données et sans doute le Big Data, les systèmes d'exploitations, le marketing relationnel et ses diverses autres spécialisations, etc ... que l'on associera aux "traditionnels" outils de gestion à l'intérieur d'un programme de travail dynamique radicalement neuf, susceptible de s'adapter aux techniques en cours d'élaboration!

L'éventuel recours aux conseils extérieurs fait la preuve d'un réalisme certains: les conditions d'insécurités humaines, techniques, matérielles, financières dans un marché mondial ultra compétitif impitoyable sont des éléments déterminants à suffisance.

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UNE INTÉGRATION EST UN CHANGEMENT

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Autres choses d'importance: l'époque menace-t-elle les activités ET ne voit-on pas se profiler des complications susceptibles de faire perdre le contrôle de la gestion?

Si l'entreprise n'y prend pas garde ou lorsqu'elle précipite l'occurrence de cette perte, évoquée dans le titre, par une ou plusieurs prises de décisions qui vont très sensiblement modifier des équilibres et réordonnancements spontanés, la force de l'habitude, l'indifférence croissante à l'égard des erreurs et manquements, et d'autres ... feront partie de ces mécanismes pervers que l'on constate habituellement dans des cas comme ceux-là.

Inversement, cela veut dire que tout changement significatif appliqué à une structure entrepreneuriale ne participera au succès que si la base se mobilise pour le vouloir avec sa direction.

La conclusion devient évidente quand on réalise que l'individu, inséré dans son tissus relationnel professionnel doit pouvoir s'y RÉVÉLER de manière contributive à LUI-MÊME et aux performances de l'entreprise.

En d'autres termes, ne pas en prendre considération, signifie qu'il est illusoire de compter sur des résultats susceptibles de croissance puisque l'"organisme" n'aura pas été "soigné" tel qu'il le mérite.

Le capital humain est le plus précieux. Une valeur considérable sur laquelle les dirigeants doivent miser  -ce qui veut dire beaucoup-  sans discontinuer (1)(2).

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(1) voir aussi "L'actualité brûlante du changement"

(2) voir aussi "Employees considered as profit centers"

Daniel C. Renson (5D Future-Based Enterprises Coach)