La Huna au service des coach(s) Principe N° 2

Je vous propose aujourd'hui d'aborder le deuxième principe de la sagesse hawaïenne :

KALA : il n'y a pas de limite, tout est possible.

L'absence de limite fait écho à nos croyances limitantes ou encore au SURMOI, limites souvent inconscientes issues de notre éducation afin de nous intégrer, de se sociabiliser, les fameux "il faut", "je dois"... ce sont les "garde-fou". (ce qui me garde de la folie, c'est le bénéfice inconscient)

En tant qu'adulte le GBS, "Gros Bon Sens" cher à mon ami Mario Rastelli, c'est de changer mes croyances (limitantes), si je veux changer mes expériences, de se poser la question : "De quelles croyances je pourrai me libérer maintenant ?" afin de vivre plus en phase avec moi-même.

C'est là qu'intervient le coaching ontologique, lorsque le client cherche à redonner du sens à sa vie, dans cette demande il n'y a pas d'objectif clair, mesurable. Le coach va amener son client à se questionner sur les causes profondes de ce point de rupture afin de redonner du sens, de se proposer d'autres choix, des nouvelles options plus en harmonie avec là où j'en suis dans ma vie.

Il y aussi dans ce principe un autre aspect relié aux lois universelles, parfois nommées lois d'attractions, ces lois proposent que nous sommes sur un plan subtile tous reliés par un champ quantique ou énergétique. Par exemple je rédige cet article et d'ici quelques minutes il va me mettre en relation avec ceux qui vont le lire, réagir, voir être influencés et pourquoi pas évoluer dans leurs croyances :

" Ah oui ça me parle, du coup si je met en perspective, cela voudrait dire que je suis libre de mes choix ?" Et du coup "responsable", c'est à dire "apte à répondre" aux événements de la vie. Waouh c'est ouf, car dans ce cas je suis vraiment libre ? En effet le principe "KALA" dans sa compréhension étendu veut aussi dire liberté.

En d'autres termes chaque individu influence le monde et en retour le monde dans ses évolutions nous donne de nouvelles conditions de vie, c'est "n'attends pas que le monde change, soit le changement" de Ghandi, en opérant des changements en ayant cette conscience que nous sommes tous reliés, nous offrons au monde et à soi cette contribution.

En observant l'actualité de la crise des gilets jaunes (crise veut dire risque et opportunités), celle-ci offre à notre société et à chaque citoyen d'être plus responsable pour aller vers une politique plus participative, si ce gouvernement le prend vraiment en compte cela pourra amener un changement majeur à notre pays et en rêvant un peu au monde.

En conclusion je suis relié au monde, à l'univers entier, je suis libre de mes choix, de revisiter les limites que je me suis fixé souvent inconsciemment, me donner comme cap d'être, d'agir en me mettant au service de l'ensemble, tout en m'incluant est je crois le sens de la vie.