La mémoire, la langue et la communication –trinité d’humain vivante terrestre ?...
La mémoire, la langue et la communication –trinité d’humain vivante terrestre ?...
Brecht, "Ceux qui ne luttent pas, ont déjà perdu"
La vérité révoltée exige son autopsie post-mortem pour y en être se rattacher à nouveau aux survivants, ayant vécus dignement le (au ou au-delà) monde sans fin de Hadès…
La plume dans ce cas-là ne sert pas comme le pouvoir des mots, mais elle est leur seule et unique arme de reconstruction de leurs vies, de leurs identités à rassembler les cendres restant.
Donc, par la suite de définition vérité, absolue ou divine, la Pureté est la compatibilité tournant de sa spiritualité. (Une évaluation de jugement des valeurs de Nietzsche valorisé avec au-delà de dieu de Platon.)
Aristote reconnait la vérité divine de dieu en singulier, malgré l’héritage spirituel des divinités sentimentaux à travers de la complexité du monde donnant par et avec ses composants vivants.
Ainsi que, dans ce cas-là, la radicale pure de pureté ne pourrait-il jamais y être conditionnée seulement avec la propreté physique, sachant que celui-là est aussi le porteur matérialiste de ses valeurs corporel devenant par la suite la spiritualité de sa mystification. (L’évaluation de jugement des valeurs, selon Nietzche…)
Homère, à travers de transmission de l’Iliade et de l’Odyssée, nous décrit un monde complexe au-delà de sa simplification complète.
D’abord, la construction spirituelle et celle à matérielle ne sont que l’indispensabilité réciproque, destiné par leurs cohabitations tournantes, sous la valorisation par la gouvernance voyante plaçant là, à transmettre le destin avec la construction pareille au-dessus d’au-delà.
Donc, l’Olympe est la gouvernance en question prise à y être dans ses (re)présentations occasionnées, ayant par son évolution de jugement le monde déjà configuré de bien et du mal par une référence de début dans une ancienneté, sans datte connue oser à se reveler pa ses propres données.
Hélas, malgré ses efforts et ses volontés recueillies par et au-delà, cette gouvernance ne peut pas y être opposée seulement à ses terrestres mais à elle-même aussi, car sa divinité est extrêmement vulnérable allant dans une vulgarité extrêmement égoïste mettant en œuvre les cristallites de leur divinité.
Commence à naitre l’image désiré d’une trinité terrestre ayant leur vu propre de soi en moi par UNI particulier.
La besoin à oser se découvrir ?
La nécessité de se reconnaitre après long temps de disparition de gout ?
La mémoire simplement, comme un déjà vu lointain ?
Donc, La mémoire, La langue suivie les par un chemin continu à son vivant indispensable la communication.
Bref, dans une ligne droite impactées l’une à l’autre dans une réciprocité singulière d’une particularité commune construise aux frontières sans frontières se visualise donc, la Mémoire, la (les) langue(s) et leur communication.
Ces années en cours, sur lesquelles plongent les perdures n’est que la mémoire du début catastrophique humaine du siècle dernier, donc la 100ème année de première guerre mondiale, la cause de tous les douleurs et souffrances consécutives suivant les uns aux autres sans frontières berçant par l’égoïsme.
La trinité se trouve à vivre sa stérilité, dont que la langue, la vocation de sa parole et la sagesse de ses pensées se sont allés participés volontairement à leur propre enterrement sans y être engagés les funérailles indispensable de l’autopsie demandée.
Donc, la langue est devenue impuissante face à ses interlocuteurs???!!!…
Difficile à croire dans le jugement étonné???!!!
Le rapport étroite de ces liens réciproques indispensables, atroces et sans valeurs de vivre l’un à l’autre, pourrait-il la continuité de l’oubli de la mémoire de ses anciennes formes de communication???!!!…
Hélas, l’humain du pouvoir, naissant de ces oublis, devient le maître légitime de ses changements imposés dans un berceau spécial d’une récidivité harcelante à la suite réservée de l’héritage de mémoire et de son développement.
Donc, il en y a le lieu de l’oubli, comme une composante inévitable de la communication???!!!…
Non et oui…
La programmation de cet inattendu NON indésiré par une inspiration venue de certitude inconnue, n’est que la suite programmée du changement violent de la langue parlée depuis tous le temps sur les lieux de la mythologie des dieux divins, embrasant d’aèdes de l‘Homère du berceau pélasgiquo-sémite. Semite, c'est une définition conventionnée par les chercheurs de XVIIIème siècle, référencié à l'honneur de Sam, fils ainé de Noé. Dans ce cas, SAM est tourné en déclinaison de son propre adjective.)
Hélas, la langue est devenue que l’outil mesuré d’une communication «vulgaire», rejetée brutalement comme l’histoire du peuple à travers de sa culture au-delà de sa folklore et de sa tradition en mouvement…
Ainsi que la langue n’est que la personnalité fidèle de l’accompagnement à travers de sa dureté de la vie d’un peuple et de son entourage.
La fin de cette horrible guerre désirée par les peuples est devenue le début de la tombe de nuit sans lune et sans étoiles sous un rideau inédit couvert par la nouvelle définition de la langue inventée, LA BALKANISATION.
La tombe étouffante pour le peuple de Georges Castriota Scanderbeg, les albanais, commence dans une nouvel ère inédite et sans pitié en lui détruisant sa culture sa langue, et, à avoir vu, divisé le berceau pélasgique de nos aïeux, désormais sous l’harmonie, de la Balkanisation. (Plutôt une officialisation des actes jugées, commencées par les hardis de barbarie ottomans, prisant ces territoires de relais des civilisations, comme l’empêchement de leur propre guerre de civilisation…)
Les valeurs du chercheur pour révéler cette culture de cet horrible enterrement vivant à travers de sa linguistique, se mêlent dans les tas «tissés » assez épais de cette guerre sans pitié à travers de laquelle, pour retracer la paix il faut passer dans la grande avenue de l’héritage restant aux pensées de nos premiers ancêtres.
Donc, mes recherches sous l’assermente de la seule et unique interprétatives philologique je préfère à évoquer parmi nous, un ancien chercheur de la philologie et de la linguistique connu de la maison des philologues, le doyen de la faculté de lettres de Dijon, Louis Benloew.
Dans son ouvrage, L’analyse de la langue albanaise, lui cite:
«Je crois être parvenu avec l’aide de la linguistique, à établir si non l’identité des anciens Pelasges et des Albanais de nos jours, au moins l’extrême vraisemblance de ce fait considérable:
Que les aïeux des Skipetar ont tenu une large place parmi les premiers habitants de la presque ile du Balkan…..;
Puis -toujours selon Bonloew, il faut désespérer de convaincre des gens qui n’admettent rien dans l’histoire de la haute antiquité que sur la foi d’anciens textes ou d’inscriptions datant du IXème ou Xème siècle avant notre ère. Hélas, ce n’est qu’après le XIème siècle âpres Jésus-Christ qu’il est fait mention pour la première fois des ALBANAIS, et leurs traditions nationales ne semblent commencer qu’avec Skanderbeg. »
Donc, par la suite lui souligne par une grande importance les deux grande conclusions issus de ses recherches, que la langue albanaise n’est pas une langue indo européenne dans le sens strict étroit du mot et que des formes et de tournures singulières en eux même, mais propre à l’idiome albanais se retrouvent comme égaré dans le bulgare, le roumain, dans quelques dialectes italiens et néo Grec…
Par les recherches de la documentation étatique la définition ALBANAIS, semble-t-il s’être apparue assez tardivement, et que laquelle comme lui souligne, commence à creuser « la déclinaison » de nomination de ce peuple, à travers de ses mouvements démographique à travers des temps et ses impositions.
Le peuple albanais, s’appelle SHQYPTAR, pareillement comme les différentes nominations des Allemands/Germanique/Deutch.
Face ces deux faits traversant de nos temps, me parait-il indispensable de rappeler l’écrivain de l’antiquité Tuqididi, qui dans son ouvrage de guerre de Péloponnèse, se fait révéler pour une autre antiquité plus ancienne…
Je reprends, le personnage du début de modernité de l’histoire de mon peuple Illyrien, évoqué avec tant de dignité de Benloew, Skanderbeg, le prince de l’Épire et le sauveur de l’Europe de l’invasion inhumaine des hardies ottomanes. Donc, Skanderbeg, avait un casque assez singulier à sa particularité, plaçant au-dessus d’elle, la tête de la chèvre avec ses cornes, en nous faisant rappeler la chèvre AMALTHEE la nourrissante (allaitement) de Zeus, pendant le temps caché par sa mère Rhéa à le protéger de l’avalement de son père Cronos, suite d’une prédiction.
N’est pas le hasard ou une simple coïncidence prise de Skanderbeg, suite de ces rencontre révélant, le choix de l’AMALTHEE, sachant qu‘il est un otage depuis son enfance à la cour du Sultan de l‘empire Ottoman, lequel sous ces barbaries écrasaient sans pitié les cultures de chaque peuple battu…
Donc, il est hautement importante pour faire remonter en surface les valeurs de l’explication de la langue de mon peuple, il faut se référer à l’Étymologie, et la sémantique de leur et à se tourner en eux même, à travers de l’importance de déclinaison extrêmement irrégulière.
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Les œuvres d’Homère, apparaissant dans le binôme philologique de leurs pensées Philosophiques à la philosophie de ces pensées, se sont mis en étude obligatoire du programme scolaire de chaque éducation nationale aux pays de l’Europe (au moins) et dans aucune ligne l’étymologie de ses personnages, de ses toponymes ne sont guère soulevés.
Comme j’en ai souligné par rapport de l’Amalthée Ἀμάλθεια, je souhaiterais bien à rester dedans et commencer à ouvrir l’importance vivante de la divinité de sa sémantique tournante à être formé (crée) dans l’harmonie pareille de fusionnement des syllabes-mot.
Aux années de l’illuminisme du XIXème siècle au début de XX, la linguistique comparée venait être découverte comme une branche de la linguistique, et selon les chercheurs en question énumérant dans l’ouvrage de Benloew, la comparaison se faisait entre la langue sémite et celle la pélasgique, l’ancêtre du Shqyp. Donc, vu l’état de nos jours, que la langue shqyp est passeé par la soumission administrative en 1972 avec les congres soit disant, par l’occupation de la dictature, en lui detruisant soit le fond lexical soit sa structure grammatical, avec une standardisation à éloigner par sa définition littéraire, fusionnée soit disant en soit à travers et avec ses deux grandes dialecte, gueges et toskes.
Suite de cette destruction, de cette cohabitation inédite expérimentale en créant une nouvelle langue plutôt, la langue shqyp est devenue désormais, hélas, comme un soldat au milieu du champ de combat désarmé, sans épée ou son épée se trouve seule au milieu de ce champ de bataille sans son maitre.
Je reprends, Amalthée; donc dans le corps de construction sémantique de sa définition nous pouvons relever que les virtus maternelle sont assez large dans une complexité harmonieuse entré son amour protectives et ses devoirs valant. La mère de Zeus Rhéa, laquelle a lui donné la vie, pas seulement par la naissance biologique mais aussi à faire le renaitre en trompant son mari cruel possédant par l’égoïsme de prédiction.
« Une maman/épouse face à un mari pareil choisi d’en y être plus la maman.
Donc, l’humain de l’époque d’Homère était dans une rupture totale avec son créateur divin, celui que Zeus citerait à sa maitresse Yo de rendre les comptes ?
Ou, peut être naturellement la vivacité d’une imagination au-delà de tels sentiments ? »
Elle, donc Rhea, est une mère mettant en premier place son devoir maternelle devenant extrêmement protectrice.
Donc, sa mission a des limites frontalières, décrivant aux sortes de conditionnement d’une mise en cause par la similitude d’une mise en œuvre d’accomplissement du destin connu d’elle autrement.
Elle doit s’arrêter là pour avoir pris le relais avec l’Amalthée, laquelle devient la MAMAN de Zeus bébé en le nourrissant, en lui restant proche, en le voyant à se grandir en le protégeant à construire sa personnalité de demain.
Et la nomination d’Amalthée, trouve son explication tournante à travers de fusionnement différencié, ou plutôt dans le mariage simultané syllabique suivant l’ordre compréhensibles de définition adjective donnée.
Ama-l-thé, n’est que la première coupure;
Ama, est un dérivât du verbe « donner » dans la forme de la relation harmonique à avoir quelque chose attendu et promise à être destiné, comme: « Ama mua, bre » (Donne le moi, donc) Et le mot BRE, signifie l’exclamation de la prier par l’amour.
Le deuxième sens de l’Ama, même aujourd’hui en shqyp est la forme décliné de MAMAN, comme en génitif « E ama e tij » (sa mère) en guegue et en Tosk « E ema e tij ». La transformation radicale de la voyelle de guegue en tosk, remonte à une nouvelle valeur de cette langue, étant assez joueuse et de se porter extrêmement créative plus qu’infantile à la sagesse, de jouer avec ses voyelles.
« L’ » je reprendre plus en bas.
« Thée » (θε), n’est que le verbe Dire, à la deuxième personne du passe simple (Unë Thashe, Ti Thé, Ai Tha)
Le même THE (θ) se trouve à Athéna, mais pas dans sa forme conjuguée.
Je reprends « L », lequel dans la forme du verbe conjugué ou de son infinitif accompagnant avec l’article-adverbe de la déclinaison de l’accusatif en guegue « ME LE » (Naitre) lorsque en tosk se trouve son infinitif avec la même forme de son accompagnement mais dans un autre cas, ce de benéactif « PER TE LINDUR »
La question se pose que la civilisation héritée par les écrits d’Homère, est tellement civilisé est bien organisée aux pensées sage de l’humain.
Nous pouvons être capable à libre interprétation d’arriver à une conclusion que l’Amalthée est la maman laquelle à faire revivre Zeus.
J’ai cité le « The », de l’Athéna en analysant l’Amalthée, dont que les deux, sont assez proche affectives et possessives avec Zeus, la première sa maman-nourrisse et la deuxième sa fille. Dans cette dernière, le verbe Dire (Thé) «θ », est le nom de même famille dans sa forme féminine. (E THENA).
Athéna, a dans son début, le même « A », comme l’Amalthée.
Cette voyelle dans ce cas se fusionne autrement, pas dans la forme de l’AMA, mais n’est que la tombe de sa consonne T suivant, donnant le mot AT’H (Ἀθ) signifiant en shqyp le père, le patriarche honoré de la famille noble et élargie par ses biens qualitatives. At’h fusionnant avec Thena oblige que la rencontre de la même consone au début du mot successives à faire tomber la même pareille dans la précédente, pour faciliter la phonétique quotidienne pendant son utilisation journalière est de permettre la sémantique de prendre la place de son pouvoir.
Bref, sachant aussi que l’Athéna est vu être née par la tête de son père Zeus, ne peut pas trouver une autre explication nette, de son étymologie sémantique, la parole donné de « dieu » d’Olympe.
Encore dans nos jours, les shqyptars se tiennent par cette parole donnée, disant BESA, où dans un mouvement plus patriarcale, est bien souligné, « BESA E BURRIT » (La parole donné de l’homme).
Dans la trilogie Amalthée-Zeus-Athéna, n’est pas assez négligeable de remarquer que l’homme est tourné par les sentiments doux de la femme (la maman et sa fille).
Rajoutant aussi que le nombre des dieux de l’Olympe est dans une égalité Homme et Femme, je puis à dire que la société d’Homère n’est que dans une cohabitation de sa parité équilibrée, dont que la femme vu la violence de ces nouveaux éléments préfère se reculer en arrière de la force masculine pour se protéger et réciproquement que l’homme veut bien protéger la mère de ses enfants.
Au verbe « Me le », de l’Amalthée, soulignant qu’en Guegue l’article-adverbe ME d’être en accusatif.
Zeus, dans sa forme nominatif, ZE, n’est que la voix en shqyp.
Justifiant, donc, une autre forme de ses dires, que même si la forme morphologique de son corps grammatical change radicalement pendant sa déclinaison le sens sémantique ne perdure rient de tous ses valeurs vantant.
Ainsi que, sa forme ZE (Tosque) ZA (guegue) se sert à nouveau pour former une autre définition féminine « ZANA », les déesses ou les nymphes bienfaisantes et protectrices plutôt dans les montagnes proches des forets ou des sources (la vie de la nature en la protégeant, c’est une forme antique de l’écologie moderne), des voyageurs tardif et tardif fortuné ou rejeté du destin.
Et la deuxième partie syllabique de ZANA n’est que NA(NANA) la forme de maman en guegue)
Aussi, Zeus, un nom propre, à l’accusatif se donne Dia (Δία), dont que l’accusatif en sa forme grammatical marque l'aboutissement de l'action, exprimant le complément d'objet direct (COD), qui se subit à l’action prise à son exercice par le sujet d'un verbe transitif direct actif.
Dans cette forme prise, DIA, ZEUS le roi de l’Olympe, n’est pas seulement le roi suprême mais aussi y soumettre par une volonté active les sujets tournant de son temps.
Je souligne ici le phénomène DI.
Sa forme de Di est trouvée à APHRODITE (Ἀφροδίτη)
Aphrodite la déesse de l’amour, est la composition des mots AFR (adverbe) (O) et DITE (nom, Féminin). En shqyp même dans nos jours, AFER -proche et DITE-le jour. Selon ses qualités et ses envieux de la beauté indispensable pour l’humanité, n’est pas seulement proche de jour, mais sa beauté n’est comparable qu’avec l’aube du lever du soleil.
Et n’est pas suffisant, l’O, au milieu de la composition de ces deux mots, n’est que l’exclamation de l’appel de sentiment à la possession proche du sujet concerné, à son libre choix de verbe en question extrêmement active.
Ce Di se trouve même dans le Didascales, soulignant le savoir…
Di, en Tosque est aussi le chiffre deux, que je l’estime les deux personnages présente du temps, l’homme et le divin…
Comme le Benloew a souligné, le but de ces recherches devait se servir la renaissance et le rétablissement de la culture de nos premiers ancêtres, LES PELASGES, les aïeux des shqyptars….
La culture pélasgienne enterrée vivante… ( ?, !)