La puissance du PRESENT
« La plus grande partie de la souffrance humaine est inutile. On se l'inflige à soi-même aussi longtemps que..., et à son insu, on laisse le mental prendre le contrôle de sa vie ». On le laisse repartir en arrière, se refaire les films, on l'alimente de colère pour des actions sur lesquelles nous n'avons plus la main. Notamment, au travail ; elles sont déjà passées, rien ne sert de les ressasser en réunion. De même, avec les projections futures, on se crée le souci et on l'appelle à se voir se réaliser dans la densité alors même qu'il n'est qu’à l'état de pensée. Ne pas oublier que seule la pensée est créatrice. Il est essentiel de comprendre qu'on peut la choisir délibérément. Si un problème surgit, on se concentre sur la solution et plusieurs cerveaux valent mieux qu’un. C’est là que commence le vrai travail d’équipe.
Marjorie Botella