"La solitude du dirigeant" mais alors serions-nous tous devenus "dirigeants"?
Non mais plus sérieusement, si vous laissez un peu traîner vos oreilles, ou que vous faites preuve d'une écoute attentive, ce sentiment de solitude, assez paradoxal avec le déconfinement, est dans l'air ambiant...
Serait-ce un effet contradictoire du retour au travail en présentiel?
Le creux de la troisième vague serait-il à prendre au sens propre et figuré?
Certes, dans l'ensemble, il y a le plaisir retrouvé des terrasses au soleil (enfin mi- nuageux plutôt), l'enthousiasme des réunions "physiques", et un sentiment nouveau de libertés. Et il y a aussi peut-être un contre effet du pseudo fantasme "quand on reviendra à la vie normale, ce sera mieux"...
La quantité de travail n'a pas fléchi, les stratégies sont toujours aussi corrélées à un environnement économique incertain et les inactifs ne se sont pas évaporés.
Retour à la réalité !
Même si la quantité de relations a repris du poil de la bête, la qualité n'est pas forcément au rendez-vous.
Quand ce sentiment de solitude affecte la performance et/ou l'engagement, il est temps d’agir !
Deux options selon que vous observez ce sentiment pour vous-même ou chez vos collaborateurs :
Option 1 - Solitude du manager/dirigeant...La suite en cliquant ici sur mon blog