La stratégie pour l'intégration et le maintien en emploi des personnes handicapées, le ministre Jean Boulet veut financer des entreprises ghettos
Réflexion sommaire :
Le ministre Jean Boulet veut financer notamment :
La création de 250 postes dans les entreprises adaptées pour permettre à de jeunes personnes handicapées de vivre une première expérience de travail significative (7,8 M$).
La création de 400 postes permanents dans les entreprises adaptées (41,9 M$).
Ainsi plaît-il de constater que le gouvernement de monsieur François Legault persiste et signe — après le maintien des centres de soins de longues durées (CHSLD) et des autres assimilées y incluant la création en devenir des maisons des aînés — celui-ci veut maintenir ou créer des postes das des entreprises adaptées « ghettos » en y injectent environs 50 000 000, 00 $ de dollars.
Par ailleurs, ladite politique de maintient et d’intégration en emploi des personnes en situation de handicap ne précise pas si les corporations comme le géant Walmart pourront continuer de conclurent des attentes secrètes avec les centres de réadaptation en déficience intellectuelle (CRDI) afin de faire travailler des personnes vulnérables et sans défense pour cinq (5) dollars par jour. Alors, que lesdites personnes demeurent malgré tous prestataire du programme de la solidarité sociale lequel leur impose moult interdits, non-droits et privation pour des prestations mensuelles dont le montant maximum est inférieur au seuil de pauvreté établi par le gouvernement du Québec.
De plus, cette politique prétendument « nationale » ignore » les personnes en situation de handicap âgées de plus de 45 ou 50 ans.
Qui plus est, le ministre Jean Boulet veut améliorer l’offre de services en matière d’activités socioprofessionnelles et communautaires (13 M$). Or, ce genre d’activité n’ont rien avoir avec l’acquisition de connaissances, de compétences et d’habilité en lien avec le vrai marcher de l’emploi — soit les emplois reconnus au sens du Code du travail.
En outre, le ministre veut soutenir et accompagner des personnes handicapées qui participent à des stages ou à des plateaux de travail (4,8 M$). Or, au Québec les stages dédiés aux personnes en situation de handicap peuvent durée vingt-ans (25) ans et la presque totalité de ceux-ci ne sont pas rémunérés. Tandis que les plateaux de travail sont des ghettos implantés au sein de diverses entreprises dites « normales » toutefois les travailleurs de ses plateaux ne reçoivent pas un vrai salaire et n’ont pas le statut d’employés au sens du Code du travail du Québec. En conséquence, lesdits « faux travailleurs » ne sont jamais protégés par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) ou les syndicats présents des entreprises concernées. Lesdits faux travailleurs n’ont pas davantage accès à l’assurance-emploi (chômage).
Tristement, le gouvernement du Québec continu à ignorer la portée des termes constituants les dispositions et les provisions des divers traités et conventions de l'ONU lesquelles exposent les droits et libertés que les personnes en situation de handicap ont droit. Le gouvernement du Québec brasse de l'air pour étourdir le peuple…..L'art de faire du cosmétique….