Le défi d'une sportive, atteinte de polyarthrite rhumatoïde juvénile

Le défi d'une sportive, atteinte de polyarthrite rhumatoïde juvénile

Jeune trentenaire atteinte de polyarthrite rhumatoïde juvénile, je me suis fixé un objectif : réaliser la grande traversée du Jura (GTJ) en 14 jours en autonomie. A travers ce défi sportif je souhaite avant tout mettre en lumière cette maladie dite "invisible" qui reste trop peu connue. Grâce à l'évolution de la recherche médicale et avec votre soutien je peux aujourd'hui envisager de réaliser de tels défis.

Qui suis-je ?

Marion Perrin, originaire de l'Ain plus précisément dans la Bresse, j'ai grandi à la ferme entre vaches et champs qui réveilleront en moi l'amour des grands espaces et un lien particulier avec la nature.

La polyarthrite rhumatoïde s'est manifestée à mon adolescence mais il aura fallu plusieurs années avant que le diagnostic soit posé. Après de nombreux traitements avec des résultats insatisfaisants j'ai entamé un traitement via la biothérapie qui s'est avéré efficace. Cela a permis de stabiliser la maladie et de pouvoir savourer les bienfaits de la randonnée depuis 5 ans maintenant. Progressivement j'ai appris à déplacer des montagnes pour aller de plus en plus hauts et atteindre des sommets.

De nature audacieuse j'ai années après années cherché sans cesse à relever de nouveaux challenges qui m'ont permis de me sentir telle une personne normale. Mais avec l'incertitude quant à mon état de santé à venir j'ai aujourd'hui le souhait de relever ce défi qui est la GTJ.


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Qu'est-ce que la GTJ ?

Au départ de Mandeure dans le Doubs (25) il s'agit d'une traversée d'une longueur de 400km au travers du Jura (39) qui s'achève à Culoz dans l'Ain (01). La difficulté est d'une part sa distance mais également son dénivelé cumulé qui avoisine presque les 15 000 mètres.

La durée recommandée pour cette traversée est de 16 à 20 jours, mon souhait serait de la réaliser en 14 jours. Pour seule compagnie lors de ce périple : mon sac à dos et mes fidèles chaussures de randonnée.

Pourquoi la fondation Arthritis et pas une autre ?

M'associer à la fondation Arthritis me tiens à cœur du fait de ses actions menées pour l'avancée médicale sur les maladies articulaires et notre motivation commune pour une recherche en mouvement. Ainsi l'enjeu est double : faire connaître cette maladie au plus grand nombre de personnes et aider la recherche médicale.

Je compte sur le partage de cette expérience pour réunir le plus de dons possibles qui seront entièrement reversés à la fondation Arthritis qui je l'espère pourront aider à améliorer le quotidien de chaque personne.

Pour suivre les aventures de Marion, rendez-vous sur son Instagram ou sa page Facebook !

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