Le dilemme de la production d'énergie électrique

L'#éolien, c'est pas beau,

Les #hydrocarbures, ça pollue

Le #nucléaire, c'est dangereux,

Le #solaire, c'est trop peu

L’#hydraulique, c'est limité

La #méthanisation, ça pue

Les #maréesmotrices, c'est insuffisant

Les #hydroliennes, ça saccage les fonds marins

Bref il n'y a pas de consensus malgré une demande accrue liée aux besoins que nous ne soupçonnions même pas avant que le système commercial nous y éveille et l'accroissement de la population, sans parler du dérèglement climatique qui nous titille de plus en plus souvent. Faut faire autrement, mais comment ? « Heu, joker ! »

Solution N°1 : ne pas chercher le consensus par l'imposition d'un ou plusieurs moyens de production ; par exemple, le nucléaire peu importe les déchets qu'on ne sait toujours pas résorber. C'est à dire qu'on continue comme aujourd’hui, bref on poursuit notre auto destruction … le rationnement du gaz conduit à la réouverture des #centralesàcharbon, preuve qu’un grain de sable dans la machine commerciale met tous les plans par terre.

Solution N°2 : diminuer les besoins en les limitant à ce qui est absolument nécessaire; par exemple, les deux pieds sur la pédale de frein du commerce et de la pub (son alliée), nous vivons en occident comme des nababs alors que la terre n'en a pas les moyens ; devenir raisonnable en supprimant beaucoup de confort, « aïe ! » C'est à dire moins de déplacements, moins de revenus ou plus de dépenses pour les besoins élémentaires, soit plus rien pour un ciné, encore moins pour les vacances même en famille dans le Cantal ... « c’est trop dur comme solution », bref c’est pas gagné. 

Solution N°3 : diminuer la population ; par exemple une bonne guerre, de préférence, là-bas, pas chez nous ; quitte à rééditer la méthode couramment afin que le confort ne soit partager qu'entre quelques uns. Attention ici, il s’agit de plusieurs milliards de personnes à éliminer, pas aussi peu qu’à la 2nde guerre mondiale. C'est à dire qu'il faut un permis de droit de vie, « moi, mais pas toi », un virus par ci, une bombe par là … comme dans les films d’anticipation. C’est ça, anticipation. « ça craint ! ».

Solution N°4 : Espérer que la technologie future qui reste à découvrir, puisse nous sortir de notre pétrin, par une sorte de miracle salvateur. On ne sait ni quoi ni comment, mais on va y arriver. Cela tient plus de la méthode Couet que de la réalité, comme un conte de fée. Là, c’est le domaine des politiciens, une promesse agréable à entendre plutôt que de prendre le taureau par les cornes. Bien sûr que ce n’est pas facile de faire des choix impopulaires, mais on parle de la survie de l’humanité pas de choisir entre des haricots ou des carottes. « Régner c’est prévoir », alors au boulot ! « Heu, va y avoir de la manif là, non ? »

Solution N°5 : Decouvrir une nouvelle source d’énergie qui ne pollue pas, zéro déchets. Cela rejoint la solution 4, et reste du domaine du mythe. Actuellement, on va droit dans le mur et on accélère, mais d’ici à le percuter on aura trouver le moyen de le traverser sans dommage. #That’sallfolks ! – musique des looney tunes -

Solution N°6 : Une intervention extérieure à la planète pour remettre celle-ci d’aplomb, par des extra terrestres bienveillants ou par une intervention divine … « on rêve ou quoi ? » Bien des gens prient en ce sens depuis des milliers d’années ! On espère « dans le vieux sergent pépère, mais ce n’est que Richard Gere. » Eh oui, Hollywood a quelques longueurs d’avance ! 

Solution N°7 : La solution N°7. Je pense qu’on ne dispose uniquement que de ce que nous savons aujourd’hui. Espérer que d’ici 5 ans nous ayons la solution qui permette de ne rien changer de notre mode de vie est illusoire, c’est le domaine du marketing. Faire rêver d’avoir quelque chose qui donne envie d’autre chose … ça vous rappelle une chanson ? Attendre que quelqu’un d’autre que nous arrive pour nous sauver et donc nous déresponsabiliser de ce que nous avons produit, reste du domaine de la croyance. Chaque croyance s’appuyant sur une foi et non des faits démontrables, nous ne sommes pas prêts de voir le bout du tunnel. « Où est ce sauveur de l’humanité je n’en vois pas la trace dis ? » Tiens encore une chanson. Seraient-ce les poètes qui auraient la solution ? Au point où on en est, pourquoi ne pas explorer cette voie ?

Voilà ! Quelle société que la notre, qui essaye encore et encore de ménager la chèvre et le choux. « Moi j'veux des sous, des sous et encore plus de sous » ; « moi j'veux vivre , seulement vivre, mais avec un smart phone, Netflix, les îles paradisiaques, etc ». Ah, oui ! J'oubliais les « j'm'en fout, j'fait c'que j'veux ! ».

Si vous avez une solution qui fonctionne pas trop mal, écrivez au GIEC ou à JM Jancovici qui ous répondra, ou encore à nos dirigeants qui y seront peut être sensibles entre deux lobbyistes. Bonne chance !

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