Le réchauffement de la planète une réalité galactique, la pollution une matière première
Monsieur Werner Munter qui annonce que les modifications climatiques seraient dues aux variations de l’intensité du rayonnement solaire subit un tas de critiques de la part d’écologistes carbonophobes et de nombreux scientifiques/climatologues gouvernementaux (du GIEC en particulier).
Les écologistes, mêmes ex-ministres en retraite ou en vacance ont-ils une compétence scientifique ? Pas toujours à ma connaissance.
Les autres scientifiques ont-ils raison parce qu’ils sont plus nombreux à penser autrement ? Il suffit de demander à Galilée critiqué par la majorité des scientifiques et condamné par l’inquisition pour affirmer que la terre n’était pas le centre de l’Univers !
Un scientifique et même ex. Ministre de la recherche, Monsieur Claude Allègre géochimiste docteur ès sciences physiques avait été contesté plus que reconnu par ses confrères pour des observations similaires. Mais ces affirmations aux traits forcés (comme celles de Werner Munter d’ailleurs) dans son langage pour le moins « vert » ont eu le don d’irriter la pensée politiquement correcte. Par exemple en assurant que la taxe carbone serait « inutile climatiquement, injuste socialement, nuisible économiquement » il ne s’est pas fait que des amis dans le pays aux 270 taxes (dont une bonne partie coûte plus cher qu’elle ne rapporte à l’Etat) ! Le franc- parler caricatural à la Bigeard dérange le BOBO, les coups de gueule exagérés ont toutefois un pouvoir pédagogique d’éveil et de réveil incontestable.
En tant qu’observateur de ¾ de siècle, un peu scientifique et raisonnablement écologique je me range à 80 % aux côtés de Messieurs Munter et Allègre.
Bien entendu je n’encourage pas les pollutions mer/terre/air quelles qu’elles soient. Je suis pour la lutte contre ces pollutions et pour leur utilisation en tant que matière première (le CO2 par exemple est nécessaire à la vie et peut être recyclé). Mais leur influence sur le climat est, à mon avis aussi, négligeable par rapport à celles du soleil, de notre galaxie et notre Univers.
Les phénomènes extrêmes essentiellement endogènes (dérive des continents, tremblements de terre, volcans, tsunamis, dérive des pôles magnétiques ….) causés par les mouvements naturels et la fusion du noyau de la terre ont un rôle important sur les modifications climatiques. On ne peut pas lutter contre mais on doit s’adapter.
Le plus important, peu saisissable à court terme (« ici et maintenant ») est probablement l’influence du soleil, mais aussi de ses planètes, des autres étoiles de la galaxie, de son éloignement du big bang et de l’expansion de l’Univers.
Le soleil, notre source de lumière, de chaleur, de synthèse et transformation du vivant, a une vie tumultueuse. Il surfe sur les vagues du Big Bang de fréquences harmoniques. Les cycles les plus importants et vérifiables sont de 10 ans, 100 ans, 1000 ans (harmoniques géométriques de raison 10). L’activité solaire varie donc périodiquement avec des sommets de chaleur et de froid. Toutefois, le soleil manquant de plus en plus d’hydrogène pour sa fusion nucléaire va le chercher sur des couches de plus en plus éloignées de son centre et viendra assécher la terre dans 1 à 2 milliards d’années et la « mangera » dans 5 à 6 milliards d’années. Bon, ça n’est pas demain mais c’est irrémédiable et une vrai tendance de réchauffement. L’urgence est donc de trouver les moyens de s’éloigner du soleil en allant habiter sur Mars (trop petite) et/ou d’autres planètes et stations interplanétaires ! Quelques grandes entreprises privées commencent enfin à s’y intéresser.
De plus la position directionnelle de notre galaxie en rotation et son écartement du Big bang ont évidemment une influence sur le réchauffement de la planète à long terme.
En attendant, que faire ?
Vis-à-vis du réchauffement de la planète, s’adapter et se préparer à la fuir. Les théories de couche d’ozone, d’effet de serre semblent désuètes au regard des concentrations des molécules concernées (émises par l’homme) dans la stratosphère (voir rappel de Werner Munter concernant le CO2). Il y a aussi un effet non négligeable de la pollution mais c’est à court terme et gérable.
Vis-à-vis de la pollution donc, bien entendu il faut tout faire pour la réduire intelligemment (l’impact carbone est-il meilleur avec des éoliennes, des batteries chimiques … fabrication / entretien / élimination ?), en se méfiant des raccourcis par exemple concernant le vol des avions dont la pollution à 9000 m fait bien rire l’Univers (par contre effectivement au décollage et à l’atterrissage il y a des choses à faire). Il faut aussi changer de paradigme vis-à-vis des punitions, taxes (généralement détournées) qui finissent par énerver les créateurs de valeur ajoutée. La limitation doit aussi s’accompagner de l’utilisation des polluants en termes de matières premières. Par exemple le gaz carbonique (CO2), le méthane (CH4), vus comme des tueurs, sont en fait riches en Oxygène (demandez aux arbres), en Hydrogène (enfin considéré comme élément énergétique majeur, non polluant), en eau (tant nécessaire) et en carbone (base du tant recherché graphène stockeur d’énergie, ou qui traité par des éclairs à très haute intensité donne des diamants … comme sur Jupiter). Les nanoparticules ne sont-elles pas des nanomatériaux très recherchés dans les nouvelles technologies ? Plus largement, tout peut être recyclé et la recherche ainsi que nos ingénieurs devraient prioriser leurs études sur les méthodes « écologiques » de transformation des déchets. Faire de la pollution non pas une ennemie mais une source valorisable.
Open lecturer at France
5 ansVoici l'article de Werner Munter https://bit.ly/2tNzRtN