Le Stress : Est-ce la Réalité ou Votre Croyance ?
La manière dont nous croyons que le stress affecte notre santé peut-elle influencer notre espérance de vie ? Une étude fascinante menée par Keller A, Litzelman K et coll., publiée en 2012, révèle que nos croyances sur l'impact du stress peuvent avoir des conséquences plus profondes que le stress lui-même.
1. Comprendre l'étude
L'étude a suivi 30,000 adultes aux États-Unis sur une période de huit ans, examinant leur niveau de stress perçu et leurs croyances sur l'impact de ce stress sur leur santé. Les résultats sont révélateurs : ceux qui se considéraient comme très stressés et croyaient que le stress avait un impact négatif sur leur santé présentaient un risque de mortalité accru de 43% par rapport à ceux qui ne croyaient pas à l'impact négatif du stress.
2. Le pouvoir des croyances
Cette recherche souligne le rôle puissant que jouent nos croyances dans la gestion de notre santé. Ceux qui croyaient que le stress pouvait avoir des effets bénéfiques ne montraient pas de risque accru de mortalité, démontrant que la croyance peut parfois être aussi cruciale que la réalité tangible.
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3. Transformer notre approche du stress
Comment pouvons-nous modifier nos croyances sur le stress pour en réduire les effets néfastes ? Voici quelques stratégies :
4. Conclusion
L'étude de Keller et ses collègues nous invite à réévaluer notre rapport au stress. En changeant nos croyances sur le stress de "menace" à "défi", nous pouvons non seulement améliorer notre bien-être, mais aussi potentiellement prolonger notre vie.
Executive Coach ICF - Psychologue - Certifiée Innermetrix - Formatrice en transformation et RH
7 moisLe travail sur les croyances et pensées reste pour moi central dans la gestion émotionnelle… et c’est une vraie bonne nouvelle car si nous faisons le scénario, nous avons aussi le super pouvoir d’en « écrire » un autre ;)
Responsable Entité conception et déploiement de programmes Académie Groupe CDG
7 moisIntéressant 👌
Intéressant de considérer comment nos représentations et la façon dont nous nommons les choses influent sur la réalité. Une étude qui renforce l'approche constructionniste.