les échecs thérapeutiques en oncologie
LES ECHECS THRAPEUTIQUE EN ONCOLOGIE Les échecs thérapeutiques en oncologie sont ,en conséquence , : -a°)- à la suite de développement thérapeutique non fondé sur un mécanisme biologique recouvrant toutes les étapes du processus e l’oncogenèse . – b°)-et par manque des modèles d’études précliniques représentatif de la pathologie , et prédictif de l’efficacité du candidat-médicament .
Pour remédier à ces conséquences inappropriées , j’ai procédé au développement d’un modèle d’étude préclinique représentatif de la pathologie et prédictif de la réponse clinique chez l’homme , : « Mieux , développer et caractériser le modèle préclinique , c’est réduire d’avantage l’échec thérapeutique en clinique .
Le modèle préclinique , étant construit par « Retro – Développement » à partir d’un médicament déjà connu dans l’occupation d’un espace pharmacologique validé , avec des valeurs de toxicité et biodisponibilité connues chez l’homme .
LES ARGUMENTS à L’APPUI : 1°)-Les cellules tumorales portent des nombreuses mutations ( multiplicité des altérations oncogéniques ) et que l’inhibition d’une seule altération moléculaire concourant à l’oncogenèse d’une tumeur , ne saurait suffire à la mort de la cellule tumorale ; c’est le signe de l’insuffisance de la thérapeutique ciblée à lutter contre l’accumulation des altérations oncogéniques impliquées dans l’oncogenèse de chaque tumeur .IL serait alors nécessaire d’envisager de façon systémique de cibler simultanément toutes les altérations moléculaires impliquées dans l’oncogenèse de chaque tumeur .( Référence : Article Jaques Robert , laboratoire de pharmacologie des médicaments anticancéreux Université Victor Sigalen Bordeaux 2 )
L’analyse des succès et des échecs des thérapeutiques ciblées montre clairement , que l’avenir de développement des nouveaux médicaments , devrait être fondé sur le mécanisme biologique couvrant toutes les étapes du processus de l’oncogenèse.
2°)-Les arguments de la manque de modèles précliniques non représentatif et par conséquent non prédictif : LE cancer est une maladie très complexe , très hétérogènes et imprévisible . Chaque tumeur est unique par son profil génétique et moléculaire lui conférant un comportement biologique spécifique . Plusieurs mutations peuvent donc être rapportées au sein d’une même tumeur , rendent la modélisation de celle-ci difficile et peu fiable dans un modèle animal (Fichtner et al 2008 , Cheon et Orsalic 2011). Les modèles animaux utilisés dans l’évaluation thérapeutiques : les modèles implantables ou de greffe , dans lequel la culture de cellule humaines (Xénogreffes ) ou murins (Allogreffes ) ou des explants tissulaires sont greffés sur les souris immuno-déficientes ou immuno- compétentes restent le modèle animal le plus couramment utilisé dans le développement et la découverte des médicaments en oncologies . Ces modèles sont largement utilisés pour la recherche académique et par celle de l’industrie pharmaceutique , dans les stratégies de priorisation de choix de modèles à tester en clique. Malheureusement ces modèles se comportent différemment du cancer humain .Des nombreuses molécules montrent une activité anticancéreuse cohérente et convaincante dans les systèmes spécifiques aux modèles implantables , mais malheureusement , souvent échouent dans les étapes ultérieures de développement cliniques . ( Teicher BA . Tumor models for efficacy determiation Mol Cancer ther 2006 ; 5 ( 10) : 2435-43.
Article publié le 2020-10-16 et signé par Garbaya.sghaier@hotmail.com