Les énergies renouvelables :
Aujourd’hui plus que jamais, les énergies renouvelables prennent une place de plus en plus importante, et ce pour plusieurs raisons :
Les enjeux climatiques :
Ne pouvant que constater l’urgence climatique à laquelle notre planète fait face aujourd’hui, la France souhaite réduire considérablement l’émission de gaz à effet de serre en se donnant pour objectif d’atteindre d’ici 2030 +40 % d’installations à son mix énergétique (répartition des différentes sources d’énergies renouvelables) contre seulement 20% aujourd’hui. Nous pouvons traduire cette nouvelle comme un véritable regain d’espoir ainsi qu’une augmentation 2 fois plus importante qu’à l’initiale et ce sur un horizon de moins de 10 ans.
La santé :
Comme pour tout changement, la transition énergétique prévue aura un effet bénéfique sur la situation sanitaire : chaque année, la responsabilité de la pollution de l’air est impliquée dans plus de 48 000 décès prématurés. Ce chiffre demeure impressionnant et pourrait largement être évité.
Notre économie :
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En 2028, il est prévu que les énergies renouvelables représentent 21 milliards d’euros de valeur ajoutée brute en France, soit 10 % de la valeur ajoutée créée actuellement par le secteur industriel.
Encore un secteur en pleine structuration mais néanmoins complet, plus le domaine des énergies renouvelables se développera et prendra de l’importance dans notre société, plus ses coûts seront en baisse.
Pour notre indépendance :
Les énergies renouvelables jouent un rôle important dans la maîtrise à long terme de la facture énergétique de la France. Elles permettent de relocaliser notre production d’énergie, en produisant et valorisant les ressources locales plutôt que d’importer des énergies fossiles.
Aujourd’hui, la France importe énormément on retrouve par exemple: 98,5 % de son pétrole, 98 % de son gaz naturel, 100 % de son charbon et 100 % de l’uranium. Grâce au développement des énergies renouvelables, le déficit de la balance commerciale lié aux importations d’énergie pourrait être réduit de 60 % en 2035.