Les disparus de 2016 partent, sans laisser toutes leurs traces...

Les disparus de 2016 partent, sans laisser toutes leurs traces...

Tous ces gens qui nous quittent, connus et inconnus, emportent avec eux la mémoire de leur vie. Au cours de ces vies ils ont participé, inventé, créé, produit, et partagé. Mais maintenant qu’ils sont ‘au-delà’, que reste-t-il?

Si les acteurs du monde culturel nous laissent, des toiles, des enregistrements, des livres; si les entrepreneurs et créateurs, laissent des entreprises des édifices des concepts ou des idées; où va la masse d’informations créées par chacun des acteurs de ses organisations? Qui conserve l’histoire de ces activités? Est-ce important ou conforme?

Il est probablement temps de songer à une vraie gestion de la connaissance. En cette époque où nous parlons d’intelligence artificielle, il faudrait, ainsi, parler de l’intelligence de la connaissance, ce qui est probablement, vu au travers de la langue anglaise, une espèce de pléonasme…

C’est cette connaissance qui, au passage contribue à la reconnaissance envers les individus, va construire l’histoire avec plus d’exactitude et ainsi permettre de mieux bâtir l’avenir

Pensons-y, mieux, maintenant.


Philippe Goupil

Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire

Autres pages consultées

Explorer les sujets