Les fées vrillées pour mars et après. Culture(s) emboitée(s).

C'est une affaire entendue, les enjeux croisés des #JO Paris 2024 et des municipales de Paris, Lyon, Marseille en 2026 sont énoncés. Et bien conseillés en communication les maires présentent leur bilan à mi-mandat, ce qui est sage et même présage des vrilles, en piqué et des montées en chandelle avant décrochage et atterrissage après diverses figures de style. Bravo les artistes.

Si petit c'est beau, cela peut aussi voir grand, comme notre inscription "en même temps" de plusieurs offres et événements sportifs, artistiques, culturels, économiques et sociaux dans un paysage lu comme un tout articulé qui s'octroie l'ambition du sens commun. Du sens et de la fabrique du commun quand par les facéties de gouvernance les morceaux épars seraient en soi signifiant d'une finitude satisfaisante pour la gestion, la comptabilité et même la compatibilité. Cette riche et belle miniature, avec le voisinage immédiat des "autres" s'offre à nous avec cerise sur le gâteau le tout conduit sous la férule de l'Agence nationale pour la cohésion des territoires (ANCT) et avec les lumières de l'Institut national des études territoriales (INET). Et j'en passe et des meilleurs. Projecteur de poursuite sur la scène primale, des cris, nous sommes suivis.

L'art de la composition.

Les arts vivants dans cet enchevêtrement d'organisations et de gestion des affaires publiques font leur part d'exploration "Du noir dedans", avec une "Tentative d'épuisement d'un lieu parisien", avec des "Rencontres de boites" et un duo de jeux de cartes "DOBBLE"et "GAMberges" pour penser et compenser, des "Paysages : entre représentation et imaginaire".

Le kaléidoscope.

Bref maintenance et réparations de l'arrêt publique, pour rouler, pour ne pas choir comme du vélo quand nous arrêtons de pédaler.

Cette brève traversée avec des fées vrillées, comme les débouchés de nos autres facéties nous laissent entrevoir des lumerottes au bout du tunnel.

Si déjà la disparition des lucioles vaut indicateur de passages de nature à culture, envisager "Le noir dedans" poétique de Thomas Vinau comme un éclairage sur "Tentative d'épuisement d'un lieu parisien" de Georges Perec, quand des "Rencontres de boites" trouvent grâce avec le recours à "DOBBLE" et à "GAMberges" pour faire "Paysages", nos fées vrillées dans leur bienveillance servent un salon d'essayage de JADE - Jadis, Aujourd'hui, DEmain, comme les gardois nous en firent cadeau en juillet 2023 au Centre national des écritures de spectacles en la Chartreuse de Villeneuve-les-Avignon pour les 50 ans de Centre international de Rencontres.

Une étonnante mise à l'eau du Rhône avec GAMberges avec la Compagnie nationale du Rhône, quand en l'Abbaye Saint-André voisine l'AG de l'association Forêt Méditerranéenne s'attachait la complicité du ruissellement de "Forêt, sol et eau ; trois alliés naturels", la RELIANCE dans tous ses états (naturels), comme fées de culture.

Tous les arts confondus, le coup des pets dans l'eau,

ne serait pas vain levain,

pour faire lever la pâte,

en cuisine,

pour des plats plus ou moins...

et pisser.

Rencontres de boites pour jeux de maux,

la clinique de la dignité

avec "Ethique de l'accompagnement en éducation, santé, formation . Agir coopératif - Savoirs et pratique en dialogue" Université François Rabelais Tours.

Un petit tour en culture partagée, incarnée, physiologique, avec François Rabelais.

Le care.

Rencontres de boites et la posologie associée au pilulier.

Contorsions, essai de navigation pré-olympique "Sur les traces du GR9" .

WAGabONd'âges avec "La Vi(ll)e mode d'emploi",

pari sur l'avenir de l'intelligence des territoires,

conduite en état d'hybridité,

JO 2024 - Européennes - Municipales 2026,

l'arrêt public avec effets-mères et gains collatéraux,

Des rencontres de boites qui font et colent.