L'ESPOIR N'EST PAS UN VAIN MOT
La violence de part et d'autre devrait donner un coup de frein . Avant qu'il n'arrive le pire . Un mort dans une manifestation et c'est la grande débacle assurée .
Les gens sont en colère ..La pauvreté continue de grimper , certains n'en peuvent plus et il sont en nombre . Ce bras de fer je pense est dû à un changement de modèle et de société qui passe difficile et au forceps . Mais parler de cela et dire cette société est mourante qu'ne autre ressucitera meilleure . L'ennui c'est que personne ne crois plus ni aux leures , ni aux mensonges !
Le climat est venu s'installer avec ses peurs et ses angoisses . L'information elle , à participer à instruire , à connaître ; On est au courant ! dit-on souvent alors que l'information vient juste de tomber . Les réseaux ont participer et participent beaucoup à une forme de connaissance un peu anarchiste , et très diversifiée . .
La violence elle est toujours apparue quand la misère est venue .
On n'a rien inventé , c'est juste une réalité . L'antisémitisme et les problèmes divers dans ce cas se cristalisent autour ! Comme avant guerre .
La question est pourquoi et comment en ait-on arriver là . Tout changement de société produit ses effets . Toute évolution est une complexité . Mais justement là ou l'on pouvait prétendre croire une nouvelle évolution de société possible d'autres problèmes fond retomber le soufflé . Il faut se rendre compte de la dureté de la vie , de la déshumanisation de cette société en proie aux angoisses du lendemain !,Ses violences qui ces dernières sont des cris , des appels au secours qui remplacent , la discussion et les mots . On devient pauvre ! On a peur !
Sans doute faudrait-il inventer un Ministère de la médiation de la société . Des traducteurs du language et de la condition des hommes , dans les quartiers et les campagnes , ou manque désormais les moyens , ou des Maires démissionnnent de leur fonctions , impuissants devant tant de demandes , tant de problèmes à résoudre . alors que la communication entre les hommes s'appauvrit , Tout ce qui fait qu'une société peut se trouver en paix tende à diparaître ou à se tranformer ! On est sans cesse aux aguêts de se qui va se passer .. encore !
Lorsque j'ai écrit PARIS MORVAN là où nous étions en 1968 au fin fond d'une campagne . Là-bas on pouvait discuter avec le boucher , au café du village , chez la postière . La campagne était joyeuse et florissante et si des barricades se dressaient à Paris . L'Espoir lui ,n'était pas un vain mot .
PATRICIA COINTE LAURENT