LETTRE
À CEUX QUI N’ONT PAS FAIT LE DEUIL DE LA VÉRITÉ

LETTRE À CEUX QUI N’ONT PAS FAIT LE DEUIL DE LA VÉRITÉ

Mesdames Messieurs,

 

Me permettez-vous, ô sœurs et frères en humanité, dans la gratitude pour la fraternité à laquelle vous ne vous refusez pas, d’avoir le souci de notre juste gloire et de vous dire que notre étoile, si souvent entachée, est à nouveau menacée par ceux qui font honte à notre commune condition?

Nous ne sommes pas sortis sains et saufs des basses calomnies : la Libre Parole a trouvé son prolongement dans der Stürmer, les vociférations des foules les ont menées aux pogroms puis à l’extermination industrielle ; l’affaire Dreyfus n’a pas mis fin aux accusations portées contre le peuple juif ; l’affaire al-Dura fait écho aux accusations de meurtre rituel et trouve sa réplique dans l’affaire de l’hôpital al-Ahli Arabi à Gaza. Les mêmes slogans sont martelés par les foules abruties.

« Plus jamais ça ! », s’écriait-on après la Shoah. A cette fin, on scellait dans le marbre de la conscience universelle, dans les lois dont l’humanité voulait bien se doter, la qualification de crimes contre l’humanité et l’on mettait sur pied un organisme, l’Organisation des Nations Unies, dont la tâche était de prévenir guerres et génocides. Mais quelle tache de boue sur le concept d’humanité que cette abominable cause palestinienne, formulée en des termes qui ne laissent aujourd’hui plus de place au doute : « From the River to the Sea ! » ; il s’agit tout bonnement de rendre judenrein le territoire historique des Judéens ! Les instances censées dire la morale et le droit ont été détournées par des êtres méprisables, soufflet suprême à toute vérité, à toute justice. Et c’est fini, l’ONU a sur la joue cette souillure, l’histoire écrira que c’est sous ses auspices qu’un tel crime a pu être commis.

Puisqu’ils ont osé, j’oserai aussi, moi. La vérité, je la dirai, car j’ai promis de la dire, si la presse, régulièrement saisie, ne la faisait pas, pleine et entière. Mon devoir est de parler, je parlerai pour ceux qui ne veulent pas être complices.  « Pour Sion je ne me tairai point ; pour Jérusalem je ne prendrai point de repos, jusqu'à ce que son salut paraisse, comme l'Aurore, et sa délivrance, comme un flambeau enflammé. » Mes nuits seraient hantées par le spectre des innocents qui expient là-bas, en Europe et en Amérique, torturés par la calomnie, les crimes qu’il n’ont pas commis.

Et c’est à vous, sœurs et frères, que je la crierai, cette vérité, de toute la force de ma révolte d’honnête homme. Pour votre honneur, je suis convaincu qu’à l’heure des réseaux sociaux vous ne pouvez plus l’ignorer. Et à qui donc dénoncerai-je la tourbe malfaisante des vrais coupables, si ce n’est à vous, qui avez gardé propre la conscience que ces scélérats quotidiennement salissent?

 

 

La vérité d’abord sur la renaissance d’Israël sur sa terre.

Cette terre, le peuple d’Israël y a vécu, il l’a mise en valeur. De Jérusalem, David a fait la capitale de son État et jamais, durant les années d’exil, elle n’a prospéré comme depuis que ses enfants y sont revenus.

Rétablissons les faits. Je ne vous ferai pas l’injure d’évoquer plus en détail Abraham, Isaac et Jacob, tant la Bible a été traduite et diffusée à travers le monde. C’est à Jérusalem que Salomon édifia le Temple que détruisit plus tard Nabuchodonosor. A l’époque d’Esdras et Néhémie, un second Temple y fut bâti. Les rois hasmonéens le purifièrent des profanateurs hellénisés avant que les légions romaines ne l’incendient, contraignant le peuple juif à l’exil.

Jamais durant ce terrible exil, les Juifs, où qu’ils fussent, n’oublièrent la promesse du Retour sur la terre de leurs ancêtres.

A partir du 19e siècle, leur Retour se fit massif et s’accompagna du développement sans précédent d'un territoire laissé en friche. En parallèle, un nationalisme arabe prit son essor, qui bien vite fit appel au Jihad, constitutif de l’islam.

Dans la seconde moitié du 20e siècle apparut l’idée d’une Nation arabe palestinienne en sorte que la cause palestinienne s’insérât à merveille dans la grille de lecture post-coloniale. Elle se forgea dans le terrorisme et la haine, n’apportant que larmes et sang. Les Romains avaient adopté le terme de Palestine, en référence aux antiques Philistins, pour renommer la terre d’Israël dont ils avaient cru pouvoir faire disparaître le peuple ; jusqu’à la proclamation de l’État d’Israël, le gentilé Palestinien désignait les Juifs qui y revenaient ; nul État autonome portant le nom de Palestine n’avait jamais existé. Les représentants de cette cause, qui se firent connaître au monde par le meurtre des innocents, s’assurant de la sorte une forme de légitimité assise sur l’assassinat, notamment d’enfants, prirent alors le nom de Palestiniens. Lorsque des territoires leur furent octroyés, dans le cadre d’accords négociés ou par suite d’un retrait unilatéral comme à Gaza, ils devinrent rapidement des foyers de terreur. De violentes autocraties s’y instaurèrent, fondées sur l’éducation à la haine et la répression de toute contestation interne.

Dans le conflit opposant en Israël les descendants des Hébreux et les conquérants arabes, pour lesquels ces terres, tout comme l’Andalousie ou le sud de la France, font partie de la Maison de l’Islam, le reste du monde, à conquérir, portant le nom de Maison du Glaive. Les seules divergences entre les différents groupes se revendiquant de cette idéologie meurtrière porte sur la stratégie à adopter à court terme, non sur les objectifs : soumettre l’Europe par la violence brute, ou par des moyens plus doux ; détruire Israël, par étapes ou en l’attaquant directement coûte que coûte. Lorsque ces gens parlent de paix, ils se réfèrent à un monde totalement islamisé, dans lequel certains groupes seraient tolérés en tant que citoyens de seconde catégorie. Lorsque les Juifs parlent de paix, ils font référence au monde pacifié et divers qu’appellent les Prophètes d’Israël.

Or, ces gens s’autorisent à mentir, leur morale ne se recoupant pas avec ce qui porte ce nom parmi les hommes et les femmes de bonne volonté. Il se trouve que ce qu’ils nomment taqîya rencontre un accueil pour eux inespéré parmi les élites intellectuelles d’un Occident fatigué, dont la post-modernité préfère le narratif à la vérité. Leur manière de concevoir le monde, basée sur le complotisme et la binarité, rencontre un terrain propice là où les faits ont perdu leur consistance au profit des fake news, des accusation incantatoires. Au malaise qu’éprouvent les révisionnistes musulmans à se confronter à un peuple conservant la mémoire d’un passé préislamique se conjugue le vertige provoqué, en Occident, par la survie d’un tel peuple. Israël témoigne de l’impensable, à savoir de l’existence d’une vérité immuable. Ainsi, il s’offre à tous en miroir, laissant entrevoir une alternative à la démission de la pensée : il renvoie l’Europe à sa situation avant que les Lumières ne se retournent dans l’obscurantisme du discours woke, contraignant le progressisme à de douloureuses apories ; il place le monde arabo-musulman face à la violence qui le hante depuis qu’il se présente comme remplacement et aboutissement de ce qui lui préexiste.

 

Voilà donc, chers sœurs et frères, le contexte idéologique qui explique comment l’erreur prospère; et les preuves morales, la situation dans les pays arabes, la liberté dont jouissent tous les citoyens israéliens, le continuel cri d’innocence qui s’élève d’Israël, envers et contre ses nombreux détracteurs, achèvent de montrer ce peuple, le peuple d’Israël, comme une victime des extraordinaires imaginations d’une clique malfaisante, de la situation de désarroi moral où l’Occident se trouvait après la mort des idéologies, de la chasse aux « sales sionistes », qui déshonore notre époque.

 

 

Et nous arrivons à l’affaire du 7 octobre 2023.

Je ne ferai pas l’historique des massacres ni ne décrirai par le menu leur déroulement. Je ne m’attarderai pas sur les multiples crimes de guerre, sur les crimes contre l’humanité commis par l’organisation génocidaire ‘Hamas, dont la charte est facilement accessible. Je ne dirai pas ici comment l’armée israélienne tente d’éviter les dommages collatéraux alors que, par essence et vocation, la Cause palestinienne, inventée sous sa forme actuelle à Moscou dans les années 1960 mais dont les fondements idéologiques sont à chercher chez Amin al-Husseini, cible le Juif en tant qu’il est juif, assassinant fièrement le nourrisson comme le vieillard.

 

Voilà donc, vous qui n’avez pas perdu la foi en l’homme, l’affaire de la Palestine: une manière peu élégante de poursuivre la Shoah. Depuis bientôt un siècle, nous pouvons suivre heure par heure la belle besogne. J’abrège, car ce n’est ici, en gros, que le résumé de l’histoire dont les brûlantes pages ont déjà été écrites tout au long. Et nous avons donc vu les petits propagandistes qui se donnent le nom de journaliste conduire leurs pseudo-enquêtes scélérates d’où les coquins sortent transfigurés et les honnêtes gens salis. Puis, sont venues les organisations soi-disant humanitaires.

 

 

Pendant ce temps, pendant que les dictateurs arabes se réjouissaient de laisser pourrir dans des camps de réfugiés leurs « frères palestiniens », que dans le silence ils les exterminaient parfois, qu’ils écrasaient leur propre population, que s’épanouissait dans un misérabilisme constitutif l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), organisme spécialement conçu pour que le problème palestinien ne puisse connaître d’autre solution que la disparition d’Israël, certaines organisations faussement humanitaires laissaient en souffrance les populations qui auraient tant eu besoin de leur aide.

Et c’est un crime encore que de s’être appuyé sur la presse immonde, que de s’être laissé défendre par toute la fripouille de l’Europe, de sorte que voilà la fripouille qui triomphe insolemment, dans la défaite du droit et de la simple probité. C’est un crime d’avoir accusé de troubler la paix du monde ceux qui le veulent généreux, fait de nations libres et justes, lorsqu’on ourdit soi-même l’impudent complot d’imposer l’erreur, devant le monde entier. C’est un crime d’égarer l’opinion, d’utiliser pour une besogne de mort cette opinion qu’on a pervertie jusqu’à la faire délirer. C’est un crime d’empoisonner les petits et les humbles, d’exaspérer les passions de réaction et d’intolérance, en s’abritant derrière l’odieux antisémitisme, dont la vieille Europe ne cessera de mourir, si une fois pour toute elle ne s’en guérit point. C’est un crime que d’exploiter l’humanitaire pour des œuvres de haine, et c’est un crime enfin que de faire de la post-vérité le dieu moderne, lorsque toute la science humaine est au travail pour l’œuvre prochaine de vérité et de justice.

Cette vérité, cette justice, que nous avons si passionnément voulues, quelle détresse à les voir ainsi souffletées, plus méconnues et plus obscurcies ! Je me doute de l’écroulement qui doit avoir lieu dans l’âme de ceux qui en Occident ont la nostalgie du vrai, et je crois bien qu’il finiront par éprouver des remords, dont celui de n’avoir pas su désigner le mal, le 7 octobre 2023, sans aussitôt renvoyer dos à dos les protagonistes, se réfugiant dans le relativisme moral, abdiquant face au sabre de l’islam, adoptant le terme d’islamophobie pour justifier les pires ignominies commises au nom de l’islam.

L’Occident aurait pu être le grand honnête homme, l’homme de la vie loyale, convaincu que la vérité se suffirait à elle-même, surtout lorsqu’elle lui apparaissait éclatante comme le plein jour. Et c’est de cette sérénité confiante qu’il s’est si cruellement sevré, prêt à sacrifier Israël à sa folie. Je dis que cela est un crime de plus et que ce crime soulèvera la conscience universelle. Décidément, les instances où devrait se dire le droit international se font une singulière idée de la justice.

Telle est donc la simple vérité, chers amis, et elle est effroyable, elle restera pour l’humanité une souillure. Je me doute bien que la plupart d’entre vous estimez n’avoir aucun pouvoir en cette affaire, que vous êtes les prisonniers de la bien-pensance et de votre entourage. Vous n’en avez pas moins un devoir d’homme, auquel vous songerez, et que vous remplirez. Ce n’est pas, d’ailleurs, que je désespère le moins du monde du triomphe. Je le répète avec une certitude plus véhémente: la vérité est en marche, et rien ne l’arrêtera. C’est d’aujourd’hui seulement que l’affaire commence, puisque aujourd’hui seulement les positions sont nettes : d’une part, les génocidaires, incapables de concevoir l’altérité si ce n’est comme une cible à abattre, qui ne veulent pas que la lumière se fasse ; de l’autre, les Fils d’Israël qui ont tant de fois donné leur vie pour qu’elle soit faite. Quand on enferme la vérité sous terre, elle s’y amasse, elle y prend une telle force d’explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle. « La Vérité germera de la Terre, et la Justice est observable des Cieux. » On verra bien si l’Occident ne vient pas de se préparer, pour plus tard, le plus retentissant des désastres.

 

 

Mais cette lettre est longue, vous que j’appelle mes sœurs et mes frères, en vérité en non en taqîya, et il est temps de conclure.

 

J’accuse Yahya Sinwar et ses complices d’avoir été les ouvriers diaboliques de l’œuvre néfaste, qui a culminé le 7 octobre 2023, œuvre néfase qui porte le nom de ‘Hamas, branche palestinienne des Frères musulmans. Je les accuse d’avoir rendu l’humain aussi vil, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables.

 

J’accuse Mahmoud Abbas dit Abou Mazen d’avoir contribué à forger une contre-identité basée sur la haine des Juifs et de la vérité.

 

J’accuse le président de la dictature islamique d’Iran, Ebrahim Raïssi, ainsi qu’Ali Khamenei, son Guide de la Révolution, d’avoir créé un environnement régional basé sur des fantasmes génocidaires, en mobilisant un argumentaire eschatologique qu’ils cachent aux idiots utiles en Occident. J’accuse l’émir du Qatar, Tamim ben Hamad Al Thani, d’avoir laissé croire que la vérité peut se monnayer.

 

J’accuse António Guterres, secrétaire général des Nations unies, de s’être rendu complice, sciemment, d’une des plus grandes iniquités du siècle et d’avoir contribué à discréditer à jamais l’ONU.

 

J’accuse Catherine Mary Russell, directrice exécutive du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), d’avoir fermé les yeux sur l’endoctrinement des enfants de Gaza au Jihad. J’accuse Philippe Lazzarini, Commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) de s’être rendu complice du même crime ainsi que d’avoir couvert la participation de collaborateurs de cet office à des crimes de guerre, y compris dans les locaux qui lui sont affectés.  Lui sans doute par passion antisioniste, elle peut-être par cet esprit de corps qui fait des bureaux de l’ONU l’arche sainte, inattaquable.

 

J’accuse Mirjana Spoljaric Egger, présidente du Comité international de la Croix-Rouge, de ne pas avoir tiré les leçons du comportement désastreux de cette institution pendant la Seconde Guerre mondiale et, en prenant ostensiblement partie pour le ‘Hamas, d’avoir trahi les idéaux de Henry Dunant.

 

J’accuse d’antisémitisme et de mensonges les dirigeants d’autres organisations prétendument humanitaires, comme Amnesty International, Médecins Sans Frontières ou la kyrielle d’organisations féministes silencieuses face au viol massif des Juives.

 

J’accuse les oulémas, incapables de concevoir que l’autre puisse coexister, qui croient que le Créateur peut se rétracter et obligent les masses à vivre dans le complotisme et la haine. J’accuse les artisans du dialogue interreligieux incapables de nommer le mal.

 

J’accuse les progressistes qui, troquant Marx pour Saïd et, en faisant d’Israël la figure du mal, réduisent les Arabes à un anachronique essentialisme et effacent l’histoire comme le présent.

 

J’accuse certains journalistes dont le nom ne mérite pas d’être mentionné de mener dans la presse une campagne abominable, pour égarer l’opinion et cacher les faits.

 

Moi qui n’ai aucun goût pour l’anaphore, j’accuse ici les intellectuels qui ont patiemment construit toutes les théories permettant au mensonge de se propager ; je les accuse d’avoir décrédibilisé ce terme, celui d’intellectuel, et l'espérance que Zola y avait liée.

 

Moulant depuis Jérusalem mes mots dans les siens, je lui rends ici publiquement hommage, lui dont le courage, parce qu’il refusait de prendre le deuil de la vérité, continue partout à nous illuminer.

 

En portant ces accusations, je n’ignore pas que je me mets sous les différents articles des juridictions de circonstance, qui punissent les délits de diffamation. Et c’est volontairement que je m’expose, sachant qu’au Tribunal de l’Histoire, nos détracteurs ont déjà perdu.

 

Quant aux gens que j’accuse, je préfère ne pas les connaître, ne jamais les voir. J’éprouve pour eux le plus grand dégoût. Les institutions qu’ils représentent ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Et l’acte que j’accomplis ici n’est qu’un moyen révolutionnaire pour hâter l’explosion de la vérité et de la justice.

 

Je n’ai qu’une passion, celle de la lumière, au nom de l’humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n’est que le cri de mon âme.

 

 

Veuillez agréer, chers amis en vérité, l’assurance de mon profond respect.

 

 

 

Joël Hanhart, le 29 novembre 2023

Puisse cette lettre être lue par le plus grand nombre ! Je crains que non car personne ne se soucie de la vérité. Zola est mort. L’antisemitisme est de retour . Il ne faudra que compter sur nous même cette fois-ci

Eric MARION

Chef de Projet Immobilier with 1894-Immobilier #Immodecaractère #propriété #RealEstate #SouthFrance -

3 mois

Merci Monsieur🙏. Puissiez vous être lu et cette lettre transmise aux derniers sages ou esprits éclairés pour qu'à leur tour ils puissent la soumettre à ceux qui nous gouvernent..🤞

Joubert Raphaëlle

Journaliste d'entreprise | Presse régionale l | Editorial | scripts vidéos | Interviews | prête-plume | Sport Santé, Santé, Ecologie, Protection sociale...

4 mois

Bravo à vous! Vous devriez proposer cette lettre ouverte aux journaux de portée internationale.

Henri Derhy

Retiré de la vie professionnelle pour une nouvelle étape de bonheur et de détente

9 mois

Excellent !

Henri Derhy

Retiré de la vie professionnelle pour une nouvelle étape de bonheur et de détente

1 ans

Brillantissime ! Tout y est !

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