MA PROCHAINE VENTE D'UN NFT EXCEPTIONNEL PAR FRED FOREST
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MA PROCHAINE VENTE D'UN NFT EXCEPTIONNEL PAR FRED FOREST

ARGUMENTAIRE FONDANT LA VALEUR DES NFT DE FRED FOREST PAR UNE ANTERIORITE SUPERIEURE A TOUT AUTRE ET JE ME DEMANDE ENCORE POURQUOI LE CENTRE POMPIDOU A TU CELA POUR LE NFT DONT JE LUI AI FAIT POURTANT GENEREUSEMENT DON ? ? ?

L’œuvre numérique « Parcelle Réseau » que j’ai vendu en précurseur sous le marteau de Maître Binoche à l’Hôtel des ventes Drouot le 16 Octobre 1996 à deux acheteurs sous forme d’un code (une URL) soit il y a 27 ans déjà leur donnait accès à un serveur d’IMAGINET où ils pouvaient la contempler ou bien la récupérer, selon leur bon vouloir.

LE NFT QUE FRED FOREST VA METTRE EN VENTE EST LE PREMIER NEFT REALISE AU MONDE 25 ANS AVANT BEEPLE AVEC EVERYDAYS

Je suis donc sans conteste possible celui qui le premier a inventé LE CONCEPT de NFT, puisque qu’il n’existera vraiment que 14 ans plus tard, grâce à un homme du nom supposé de Sakoto Satoshi qui l’a établi informatiquement et rendu inviolable en 2008. Quand Fred Forest a mis en vente sa planche numérique « Parcelle Réseau » à l’Hôtel des ventes à Drouot à Paris le 16 Octobre 1996, sa vente s’est établie sur un code numérique que le commissaire-priseur à tendu dans une enveloppe vers le public d’acheteurs. (Voir la photo en-tête de ce post) Ce que personne d’autre à ce jour n’avait fait auparavant c’était donc de mettre uniquement en vente un code qui permettrait à ceux qui le détiendrait d’accéder à l’œuvre qui se trouvait sur le web, c’est-à-dire à ce moment même visible dans la salle des ventes, et en même temps d’une façon paradoxale, simultanément visible et en même temps partout dans le monde entier… Ce qui ne change en rien la nature de l’œuvre- qu’elle soit d’essence illustrative (matérielle) ou sémantique (abstraite), seul diffère son mode d’appréhension. D’ailleurs la mention qui accompagnait également le code vendu dans l’enveloppe, sous forme d’une correspondance adressée aux futurs acheteurs, atteste bien à l’époque de mon entière maîtrise intellectuelle de l’opération. On peut considérer alors en quelque sorte que je suis bien à l’origine du NFT pour avoir « inventé le son concept » (Le terme Inventé est utilisé ici dans son acception étymologique) son concept ayant été dûment utilisé avant même que ce dernier n’existe informatiquement et seulement à partir de 2008 c’est à dite 14 années plus tard, grâce à l’ingénieux Satoshi. Ayant de plus l’avantage de le rendre désormais les code du NFT inviolable. Ce qui met sous caution le fait de prétendre qu’EveryDays ait été l’auteur du premier NFT vendu au monde, selon les affirmations sans prudence de son acquéreur, et à ce prix déraisonnable ? Prix que certains estiment gonflé d’une façon artificielle par ses opérateurs pour obtenir au maximum un effet médiatique.

 Les artistes conceptuels estiment et fondent entièrement leurs œuvres sur son concept et non sur sa matérialité. D’ailleurs quand le concept a été établi ils peuvent en laisser à d’autres la responsabilité de la réalisation matérielle à condition d’en respecter le protocole. J’ai pris soin pour ma part d’en conserver un exemplaire au titre d’exemplaire d’artiste.  Du fait de la négligence de ses acquéreurs qui sans anticiper sur la valeur que pourrait prendre cette œuvre plus tard Parcelle réseau, ne se sont plus occupés de son devenir sur lequel je les  alertais pourtant dans la correspondance qui accompagnait le code lors de sa vente…

On peut dire que les oeuvres de Fred Forest sont hybrides à la fois conceptuelles et matérielles. N’étant plus intéressés que de lever des fonds pour la société n@rt qu’ils montaient, on peut dire que ses acquéreurs ont négligé cette oeuvre rare ne lui portant aucune attention ce dont ils se mordent aujourd'hui les doigts. Surfant par contre sur le succès médiatique de l'achat de parcelle-réseau pour des levers de fonds par millions. Pour ma part en focalisant sur toute mon intuition d’artiste, corroborée par le texte du document que je joignais à l’enveloppe qui contenait le code. (Voir la photocopie de ce document ci-joint en pièce attachée) j’ai attendu jusqu’à ce jour pour en revendiquer l’invention que j’avais faite à l’époque.

Ce qu’il faut retenir ici d’essentiel dans mon propos c’est que c’est moi-même qui ait mis pour la première fois en vente publique en 1996 sous forme d’un code cette œuvre numérique « Parcelle réseau » dont l’antériorité de ce point de vue est indubitable sur tous les NFT produits depuis… Donc manifestement c’est moi qui suis le père du NFT contrairement à ce qu’avance Mr Métakovan, dit aussi Troubadour, acquéreur du Beeple pour un montant astronomique de 69.3 millions de dollars. Beeple artiste dont je reconnais volontiers ici la valeur pour la qualité de ses œuvres et de l’invention qui les animes mais mais qui n’a rien à voir avec la valeur purement fictive et manipulée du marché de l’art. Et conséquence je termine ici en affirmant que le concept de vendre un codage en lieu et place de l’œuvre elle-même m’appartient en propre avec une antériorité de 25 ans sur la vente d’Every Days par Beeple


(Il suffit d’observer la vidéo de la vente de « Parcelle réseau » pour constater que l’objet mis en vente par Maître Binoche est d’évidence l’enveloppe qu’il tient entre ses mains contenant le code d’accès qu’il brandit lors des enchères, alors que l’œuvre « Parcelle Réseau » se trouve en quelque sorte en retrait et marginalisée sur son côté droit. Pour reprendre la suite de mon propos, il faut savoir que la vente initiale de « Parcelle réseau le 16 Octobre 1996 n’était assortie d’aucune close d’abandon et que j’en conservais entièrement tous les droits par devers moi.  que j’avais le droit de procéder à la vente de cet exemplaire d’artiste parfaitement identique à l’original de l’œuvre perdue, comme bien entendu de ce dernier NFT légèrement modifié, dont j’ai fait don récemment au Centre Pompidou et qui est actuellement accroché bien en vue sur ses cimaises…

J’ai donc, dans un premier temps, modifié mon exemplaire d’artiste, je l’ai transformé en NFT et j’ai fait don de ce NFT au Centre Pompidou pour ses collections de cette nouvelle œuvre tirée à partir de l’exemplaire d’artiste de l’œuvre « Parcelle réseau ». Cette nouvelle œuvre fait encore l’objet jusqu’au 22/1/20024 de la première exposition des 18 NFT que vient d’acquérir le Centre Pompidou. https://www.lemonde.fr/culture/article/2023/05/10/les-nft-du-centre-pompidou-exposes-au-c-ur-de-la-collection-permanente_6172856_3246.html   (Voir mon NFT au premier plan du Monde)



Je compte maintenant mettre en vente pour clôturer cette opération l’exemplaire d’artiste parfaitement identique en tous points à l’original perdu de « Parcelle réseau » puisqu’il en est une parfaite duplication.  Après l’avoir transformé bien entendu en NFT. Quand Christie’s en 2021 à vendu l’œuvre de Beeple pour le montant fabuleux de $69.3 million l’acquéreur le bien connu Metakovan s’est empressé de déclarer qu’il venait d’acquérir là le premier NFT et s’en faisait une gloire. Certes il avait acquis sous forme d’un procédé portant le nom de NFT une œuvre numérique dans l’ignorance d’une vente antérieure réalisée 25 ans plus tôt, vendue sous forme d’un concept similaire qui ne portait pas encore le nom de NFT mais qui par contre utilisait également la vente sous forme d’un codage. La seule différence existant étant du fait que la blockchain n’ayant pas encore à cette époque-là été établi informatiquement par de brillants techniciens comme Satochi, le code ayant servi à la transaction (l’URL) pouvait être violé par des informaticiens chevronnés...

J’attends bien sagement l’avis d’historiens de l’art afin qu’ils se prononcent et nous donnent leur avis sur ce sujet. Comme il en a ici pas mal sur Linkedin parmi nous je les remercie d’avance d'apporter leur contribution.

Fred Forest

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