MISE EN CAUSE DE LA VALIDITE DES TESTS "PCR" - Confirmée par Le Journal "Le Monde"
Plainte judiciaire internationale en cours contre l'arnaque des test PCR
Catégorie : Justice et actions en cours
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Le Dr Reiner Fuellmich, avocat spécialisé en protection des consommateurs en Allemagne et en Californie et
membre de la commission d’enquête allemande sur le Covid, a monté un réseau d’avocats internationaux de plus
de 60 pays, pour plaider dans la plus grande affaire de responsabilité délictuelle de toute l’histoire : la fraude du
Covid et le crime contre l’humanité qu’il représente, au sens des tribunaux de Nuremberg.
Nous en arrivons à la partie la plus importante de notre enquête, à savoir que le test PCR part de
prémices qui sont fausses et ne sont nullement étayées par la science.
Nous avons ainsi appris que, contrairement aux dires de MM. Drosten et Wieler et de l’OMS, il ne
renseigne pas du tout sur un quelconque état infectieux qui serait dû à la présence d’un virus, et encore
moins sur une infection qui serait causée spécifiquement par le CoV-2 du SRAS.
Non seulement les tests PCR n’ont jamais été expressément approuvés à des fins de diagnostic , comme
du reste le signalent les notices les accompagnant et comme leur inventeur lui-même, Kary Mullis, n’a eu
de cesse de le répéter, mais ils ne sont même pas faits pour diagnostiquer des maladies.
Autrement dit, et contrairement aux affirmations répétées de MM. Drosten et Wieler et de l’OMS depuis
la proclamation de la pandémie, un résultat positif au test PCR ne signifie absolument pas qu’il y ait
infection.
Lorsqu’une personne est positive, cela ne veut pas dire qu’elle soit en état infectieux, encore moins
qu’elle soit contaminée par l’agent pathogène contagieux du SRAS-CoV-2.
Le CDC américain lui-même en a convenu à la page 38 d’une de ses publications sur le coronavirus et
les tests PCR, datée du 13 juillet 2020 :
1 – “La détection de l’ARN viral n’implique pas nécessairement la présence d’un virus infectieux ou que
le nCoV 2019 soit l’agent causal des symptômes cliniques que présente la personne testée.
2- La réalisation de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement des risques d’infection par le
nCoV 2019.
3- Ce test n’exclut pas que l’infection ait pu être causée par d’autres agents pathogènes bactériens ou
viraux.”
Il n’est toujours pas certain à ce jour que le virus de Wuhan ait jamais été isolé de manière scientifique,
de sorte que personne ne sait exactement ce que l’on recherche par le biais de ce test .
Et ce, d’autant moins que ce virus, tout comme celui de la grippe, mute rapidement.
Les écouvillons PCR prélèvent une ou deux séquences d’une molécule qui, parce qu’invisible à l’oeil nu,
nécessite plusieurs cycles d’amplifications pour devenir lisible. Or, une amplification qui dépasse l’ordre
des 35 cycles donne des résultats dénués de toute fiabilité et de tout fondement scientifique, comme l’a
rapporté notamment le New York Times.
Pourtant, c’est à 45 cycles que sont fixés le test de Drosten et tous les autres tests recommandés par
l’OMS qui lui ont emboîté le pas. Cela répond-il à une volonté de produire le plus grand nombre possible
de résultats positifs et, partant, d’accréditer la thèse d’un phénomène épidémique ?
Le test n’est pas en mesure de distinguer entre matériel inactif et matériel reproductif.
En effet, un résultat positif peut tout aussi bien se produire lorsque le test a simplement détecté un débris
ou fragment de molécule provenant d’un vieux rhume dont le système immunitaire de la personne a
réussi à se débarrasser.
Drosten lui-même déclarait en 2014, dans une interview accordée à un magazine économique allemand
au sujet du prétendu dépistage d’une infection par le virus MERS à l’aide du test PCR, que ce dernier
était tellement sensible que même des personnes en parfaite santé et nullement contaminées étaient
susceptibles d’obtenir un résultat positif.
Dr Reiner Fuellmich, AVOCAT INTERNATIONAL