Notre Terre à tous.
En reprenant précédemment la fin du point 2 où notre seul hôte est malmené par nous les humains. La où le coronavirus nous touche à différents niveaux de notre toute puissance, nous remarquons que nous sommes vulnérables. Au moment où nous restons confinés, que constatons-nous ?
En outre, depuis 25 ans, nous remarquons une accélération de catastrophes naturelles. Ouragan, typhon, sécheresse à répétition dans des zones tempérées, pluies torrentielles, sans parler de la perte de près de 80 % d’espèces d’insectes en près de 30 ans, ou encore la perte des abeilles qui sans elles ne permettront plus la pollinisation, l’agriculture à flux tendu refusant la régénération de nos ressources naturelles, ces quelques caractérisations de souffrance de notre hôte feront, que tôt ou tard, l’entreprise réfléchira à des fonctionnements plus adéquat.
Quelle sera la réaction des entreprises ?
Quelles changements apporteront-elles ?
Quelles seront les outils pour concilier compétitivité et respect de nos ressources ?
Consommer toutes les ressources que la Terre nous apporte annuellement à fin juillet (source : futura-science.com ) est un non-sens. Plus vite nous en prendrons conscience et plus tôt nous pourrons apporter un plus grand respect de nous-mêmes. En terme sophrologique, une reconnexion à la terre est indispensable. Reprenons ancrage !
En conclusion, Ces approches non exhaustives tentent de permettre à nos sociétés, nos familles de prendre un temps de réflexion pour :
- Réfléchir sur nos conditions
- Constater nos super sur-consommations et y remédier
- Prendre conscience des changements à venir possible.
- Penser plus en terme d’opportunités
- Etre acteur de nos potentialités
- (re)-Trouver un lien entre la réalité terrienne et la réalité humaine
- L’utilisation de nos intelligences, et à meilleur escient.
- ….
Les coachs aideront à ces transformations, à ces changements peu ou très importants.