Passer son diplôme en 2020 ? L'expérience de Valerie Ndawyel.
Bonjour Valérie, peux-tu nous en dire un peu plus sur toi ?
J’ai 26 ans je suis originaire du Congo (RDC)
Pourquoi avoir choisis de faire le MBA DMB ?
J’ai eu un parcours assez pluridisciplinaire. Initialement je faisais de la recherche en histoire puis je me suis re-orientée vers de la communication. Après avoir obtenu mon M2 en communication j’ai travaillé pendant un an comme chargée de communication à l’OIF. Cette expérience a été très enrichissante et formatrice. Mais je me suis aussi rendu compte que j’avais plein de lacunes et surtout que je ne pouvais pas me passer de connaissances en digital pour poursuivre dans cette voie. J’ai donc décidé de reprendre mes études. J’ai été séduite par le programme du MBA DMB qui était suffisamment général pour me permettre de découvrir des domaines variés.
Pourquoi avoir opté pour le part time ?
La reprise de mes études n’a pas été une décision facile à prendre car je pensais directement me lancer dans la vie active après mon master. Le fait de pouvoir continué à travailler tout en me formant était idéal pour moi.
Une expérience marquante cette année ?
On peut parler d’une année marquante dans son ensemble et ce n’est pas encore fini ! Le point positif c’est qu’avec tout ce qu’on a vécu j’ai beaucoup appris sur moi-même.
Qu’est ce qui a été le plus difficile pour toi au cours de cette année ?
La deuxième partie de l’année a été très compliquée pour beaucoup d’entre nous. Il a fallu complètement s’adapter à un nouveau rythme de vie notamment pour suivre les cours, travailler et maintenir un semblant de vie sociale. Je suis contente d’avoir pu être bien entourée durant toute cette période avec mes proches mais aussi la promo du MBADMB dans laquelle j’ai senti beaucoup de bienveillance.
Le MBA touche bientôt à sa fin, tu as prévu quoi pour la suite ?
*rire nerveux* Je pense que je vais me laisser encore un peu de temps pour décider de l’orientation que je souhaite donner à mon avenir professionnel. Ce dont je suis certaine c’est qu’à la fin du MBA et de mon contrat pro, j’aimerais beaucoup rentrer dans ma ville natale Kinshasa pour quelques temps, afin de me ressourcer et profiter de ma famille là-bas. Ce n’est pas encore sûr vu la situation sanitaire actuelle mais je croise les doigts