Petite chronique sur les contrats Editeurs + le Licensing en mode indirect (Part 2)

Cet article (sujet largement relayé par ailleurs, depuis) m’évoque donc, également, un point que nous rencontrons régulièrement:

 -> Le mode indirect

Ce sujet concerne notamment les licences de Bases de données, touchées directement OU indirectement par des utilisateurs, machines ou autres processus.

Le concept semble simple, mais la définition reste toujours un peu floue, et chaque éditeur donne sa version comme la notion de « multiplexage ».

 Pour résumer, dès qu’un logiciel est concerné par une action, il doit y avoir une licence correspondante.

Personnellement, j’aime bien évoquer cette autre approche, très concrète :

"si vous débranchez un logiciel intégré en sous-couche dans une opération (souvent une DB, donc), votre action est-elle possible dans la durée ? (Exemple du tableau dynamique, coupé de ses données dynamiques). "

Si la réponse est non, nous sommes alors, dans une situation d’un modèle indirect.

 Bien sûr, un grand nombre d’éditeurs et de licences proposent une version en mode illimité, par core, processeur, sur site, globale, etc. permettant un usage … illimité, donc, dès lors que le socle est licencié. Le corollaire est souvent, alors, un investissement financier important.

 En alternative, pour limiter les coûts, on peut également penser en mode par utilisateurs (ou machines, ou processus, nommés ou non, flottants ou potentiels), la grosse difficulté étant de maîtriser ce nombre très précisément, et de façon pérenne.

 Exemple Illustration Microsoft et SQL :

 Illustration ORACLE :


Là encore, la conclusion reste identique : maîtriser son parc, les principes et règles des licences, permet d’assurer une bonne gouvernance de son parc logiciel et évite de très mauvais surprises le jour où...

Alors, qu'en pensez-vous ? Etes-vous suffisamment sensibilisé?

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