PEUT-ON VIVRE SANS POURQUOI ?

Pourquoi tant de pandémies ? Pourquoi ces guerres qui se rapprochent de nous ? Et pourquoi ce climat qui semble, à l’image de certains humains, violent, changeant, arbitraire ? Et côté professionnel, pourquoi autant de réformes de la formation professionnelle pour aboutir au vide ? Pourquoi, dans autant de domaines professionnels, on ne trouve plus de main-d’œuvre ?

J’étais à ces réflexions quand j’ai retrouvé un livre de ma bibliothèque, "vivre sans pourquoi" du philosophe Alexandre Jollien. Lui s’est exilé en Asie, entre maître spirituel et enseignements du Christ, pour chercher des réponses à ses pourquoi.

Vivre sans pourquoi pour Alexandre, c'est déjà quitter la dictature de l'après. Dans ses pensées, peut-être la dictature de certains médias avides de vente. Ou, côté entreprises, des actionnaires qui en demandent toujours plus étouffant jusqu’à la sous-traitance. Le résultat ? Un manque général de #motivation des professionnels à travers le monde d’après le dernier sondage de l’institut Gallup. Et c'était en 2018 avant la pandémie !

Vivre sans pourquoi, c’est aussi prendre soin de soi en "corps, âme et esprit" dit le philosophe. Et cette notion d’âme que François Cheng compare au désir d’être et d’aimer plus qu’à l’instinct de vouloir vivre. Il me semble par ailleurs que l’âme contribue à donner du sens à ma vie comme à mon travail. Cet âme qui me permet naturellement de ressentir de l’émoi envers la beauté comme de la fraternité avec autrui. On peut rapprocher cette notion d'un autre enseignement d’Alexandre :

Oser vivre sans être esclave du paraître

Plus loin, vivre sans pourquoi, c’est aussi retrouver une vie « détroussée » de certains artifices. J’ai noté :

Se dépouiller plutôt que remplir

De fait, d’aucun d’entre nous cherche à amasser des « amis » de partout ; sur Facebook bien entendu, et même sur LinkedIn, sait-on jamais !

Considérer l'autre en humanité plutôt qu'en ennemi

On aurait vraiment tous et toutes à y gagner ! Et donc bien sûr en entreprise. En effet, une étude rapportée par l’ UCLouvain - Université catholique de Louvain est claire sur le sujet. Dans les faits, on constate qu’une négociation distributive est perdante, à terme, pour au moins l’une des parties. A contrario, une négociation intégrative ou négociation raisonnée, a une corrélation positive entre les parties.

Se débarrasser de son égo

Beaucoup de problèmes viennent malheureusement de là, d'un ego mal placé.

Apprécier simplement chaque voyage, chaque paysage

Comme #coach professionnel, quand je demande à des clients leurs trois meilleurs souvenirs, le temps de réponse est long comparativement aux plus mauvais. Quand on sait que 90 % du stress est produit par nous ! Apprécier ses #voyages, mêmes symboliques, comme contempler un paysage, aide à mieux vivre... le temps présent.

Vous voulez vivre sans trop de pourquoi mais plus de comment ? Vous pouvez me contacter en MP ou sur mon site internet.

#bonheur #gestiondustress #psychologiepositive #vichy #bienetreautravail #motivation #qvt Dina Scherrer Aline GASSMANN Laurence Fajner 🍋