Pourquoi et comment réussir sa transformation culturelle (quand les 3/4 d'entre elles échouent...)

Pourquoi et comment réussir sa transformation culturelle (quand les 3/4 d'entre elles échouent...)

J’ai souhaiterais partager avec vous, une de mes convictions profondes que j’éprouve en observant les transformations qui sont menées dans les entreprises depuis plus de 15 ans. J’ai envie de dire bienvenue en absurdie !

Aucune de ces transformations ne respecte les besoins physiques, le cycle du vivant, ou les besoins humains fondamentaux. Faut-il rappeler que 7 des 9 limites planétaires sont déjà dépassées ..

Une organisation devrait davantage s’appuyer sur le désir vital de ses membres et non pas se soumettre aux exigences de court terme, de rentabilité, de performance ou d’efficacité, alors que celle-ci se fait au prix de souffrances, de désengagement ou de dégradation de notre espace vital… J’ai pu observer que 95 % des transformations demandées sont absurdes ou insensées.

Leur échec conduit souvent à revenir à la situation antérieure, ainsi on passe d’un logique de mutualisation/ transversalité /matricielle à un retour aux silos. On cherche à transformer une culture managériale tournée vers l’humain et au bout de quelques années, on assiste à un retour en force du micro management avec des objectifs purement quantitatifs, à très court-terme : « bienvenue dans le monde d’avant » 

Pour illustrer ces phénomènes, j’aborderai quelques exemples qui illustrent les raisons de ces impasses.

Que les transformations soient organisationnelles, technologiques ou culturelles :

elles ne s’appuient pas sur le vécu et les désirs des contributeurs dans l’exercice de leur métier,

elles ne tiennent pas compte les limites physiques de nos écosystèmes,

elles n’intègrent pas les facteurs temporels inhérents aux évolutions.

Je compléterai par des témoignages et des exemples qui montrent que d’autres chemins sont possibles – et absolument nécessaires - pour produire des transformations inspirantes et désirables, tout en respectant ce qui s’impose à nous.  

Doit-on être réaliste ? pragmatique ? défaitisme ou idéaliste ?

Je vous propose de développer une méthode qui permet, en 5 étapes, de conduire une transformation culturelle de manière idéale, et qui soit désirable, durable et cohérente pour l'ensemble des contributeurs et parties prenantes.

Vincent Bosq-Bousquet

Architecte d’Histoires : J’aide les entrepreneurs atypiques à structurer leurs idées pour rendre leur approche magnétique et attirer naturellement les bons clients grâce à l'Atypique Branding.

2 mois

Oui 95% des transformations échouent, malheureusement à cause de tous ces points. De mon côté je tente de rester factuel et analytique, tout en restant tragique, car le tragique est le propre de l'humanité.

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