Pourquoi j'ai créé AFIC (Arnaud Farhi Impact Conseil) ?

Pourquoi j'ai créé AFIC (Arnaud Farhi Impact Conseil) ?

Pourquoi créer, après près de 15 années de direction de structures associatives et d’organismes de formation, un cabinet de conseil utilisant l’intelligence artificielle et le Big data pour accompagner ses clients à optimiser leur impact ?

Tout d’abord parce qu’au bout de 15 années, j’avais constaté que si beaucoup de structures de la formation et de l’ESS collectaient des données (chiffres, textes,…), elles en faisaient un usage pour le moins limité.

Combien de financeurs de la formation (OPCO, conseils régionaux, …) perdent un temps précieux à contrôler des justificatifs sans jamais pouvoir analyser les signaux faibles qui permettraient de détecter rapidement les fraudes (ce qui leur permettrait de passer plus de temps au service des entreprises ou des apprenants) ?

Combien de logiciels mis en place par les « têtes de réseau » ou les institutionnels ne se résument finalement qu’à mettre un place un « contrôle as a service » (pour paraphraser le philosophe Michel Puech) et à énerver les structures de terrain sans jamais créer de véritable outil d’intelligence collective qui permettrait enfin que l’expérience acquise par un membre du réseau puisse bénéficier à l’intégralité de celui-ci ?

Combien de structures, destinées à accompagner ou à orienter les personnes les plus vulnérables ne savent comment faire partager efficacement et à large échelle l’expertise de leurs salariés les plus expérimentés ?

Combien d’entreprises sociales dans les SAP, l’économie circulaire, la logistique,… gèrent elles leur activité sans disposer d’algorithmes prédictifs qui sont pourtant utilisés par leurs concurrents ?

Ensuite parce que j’étais et je reste persuadé que les acteurs de l’économie sociale et solidaire étaient les mieux placés pour tirer avantage de l’IA tout en sachant anticiper et négocier dès le départ les évolutions attendues sur l’emploi.

Les premiers accompagnements (présentation des enjeux, ateliers d’innovation, cartographie des données), réalisés par AFIC (dont certains avec mes camarades de promotion du Mastère « Statistiques et Big Data » de Dauphine), l’ont confirmé.

Les acteurs de l’ESS avec lesquels nous avons travaillé sont enthousiastes à l’idée de pouvoir accroître leur impact en travaillant différemment et en aidant leurs salariés à développer, grâce aux algorithmes, de nouvelles compétences.

Contrairement à beaucoup d’acteurs du CAC 40 qui s’étonnent de la faible acceptabilité de leurs premiers produits « IA », ils savent qu’une révolution de ce type ne pourra se faire qu’en anticipant collectivement non seulement les plus-values mais également les problèmes potentiels : biais dans les algorithmes, utilisation inappropriée des données, évolution non anticipée des postes de travail,…

Ils savent également que si ils ne maîtrisent pas ces nouvelles technologies, ils se verront bientôt imposer des pratiques et des outils qui ne correspondent pas à leur vocation.

C’est la raison pour laquelle AFIC ne se contente pas de concevoir des algorithmes et continue à accompagner les acteurs de l’ESS dans leur quotidien. Nous présentons les enjeux, les impacts possibles, mettons en avant les solutions informatiques et algorithmiques possibles et nous faisons émerger des pistes en partant des besoins des bénéficiaires finaux et des acteurs opérationnels.

Si vous êtes intéressés par ce type de démarche, nous sommes à votre disposition.

Agnes PRATS

Directrice chez REFLEX INSERIM/GEIQ FL Provence/IFEP

5 ans

félicitations et au 17septembre!

Rianala Randria

Architecte Web / Data scientist

5 ans

Bravo Arnaud !

Mélanie Lahaix

Change Ressources Humaines BNP PARIBAS

5 ans

Merci Arnaud  ! Chrystelle. Renaud

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