Pourquoi je voterai pour Guillaume-Olivier Doré

Je ne me suis pas retiré par doute mais par confiance.

Certains le savent, je comptais candidater pour les élections de la French Tech Bordeaux qui se dérouleront dans quelques jours. J’avais un programme, des objectifs, une vision. Mais j’avais surtout une envie puissante de pousser au changement, en profondeur, en capitalisant sur des actions capables d’apporter un réel plus à l’ensemble des acteurs de l’écosystème, qu’importe leurs degrés de maturité.

J’étais prêt à le faire, je me sentais légitime. J’ai toujours ce sentiment. Mais j’ai aussi la chance d’échanger avec beaucoup de personnes, mes proches en premier. Il y en a un en qui j’ai pleinement confiance : Guillaume-Olivier. Non content d’être expérimenté sur nombre de sujets, il a l’habilité nécessaire pour mixer exigence et empathie, rigueur et bienveillance. J’ai la chance d’en bénéficier, avec un plaisir que je partage ici bien volontiers. 

Je ne me suis pas retiré par peur, mais par envie.

Une envie sincère et réfléchie de soutenir Guillaume-Olivier lors de ces élections, pour la simple et bonne raison qu’il a la capacité de cerner les choses, qu’il a considéré mes idées, mes projets, aussi bien dans le soutien régulier qu’il apporte à Obvy qu’aux propositions qui constituaient mon programme pour ces élections. Pas de chichis, pas de promesses en l’air, pas de faux-semblants. Voilà ce qui qualifie un homme de confiance. Des belles promesses, ça flatte l’oreille, mais ça n’a jamais fait bouger les lignes.

L’ambition n’a de sens que si elle peut se muer en résultats perceptibles. Un programme n’a de bon que la sincérité dégagée par celui ou celle qui le porte. N’ayant pas la prétention d’affirmer ce qui est bon ou mauvais pour l’écosystème, je ne partirai pas dans de grandes envolées politico-lyriques. Je pense toutefois savoir ce qu’est le bon sens, et il n’existe pas plus puissant carburant au développement d’une entreprise, d’une ville, d’une région, d’une nation. J’ai donc donné ma confiance au bon sens, tourné le dos à la langue de bois et aux belles paroles. La masturbation intellectuelle n’a jamais soigné les maux les plus profonds. Il n’en résulte pas une « petite mort » mais « un « grand saut » vers des entrailles fétides et assombries par l’ego et l’impertinence.

Je ne me suis pas retiré par crainte, mais par plaisir.

Le plaisir de soutenir quelqu’un qui a une volonté de fer, motivé non pas par les lauriers mais par l’envie pure de construire sur un terrain fertile et propice à l’émergence et à l’envol de talents affirmés ou en devenir. Nous avons un écosystème formidable, fourmillant de pépites qui méritent une réelle dévotion et, mieux encore, d’être entendues.

C’est pour toutes ces raisons que je soutiendrai Guillaume-Olivier Doré.