Quels sont les problèmes réels et procéduraux dans la mise en œuvre du curriculum. Et quelles sont les solutions possibles pour le surmonter?

Dans l’impératif de la mutation internationale le ministère se lance dans des plans très ambitieux à travers ce penchant curriculum qui est conçu en faite  remarquablement diversifiant vu même discriminant. De ce faite,  soit on collabore ensemble pour maitriser son application réelle en coordination à l’échelle nationale et au niveau régionale, même au niveau de chaque établissement avec les collègues des autres disciplines, soit on se trouve dans le blocage. On est obligé de définir nos programmes, nos méthodes, la pédagogie adéquate  ect…. qui s’adaptent aux conditions et aux moyens concret de chaque établissement et même au niveau de chaque classe, nous sommes incités à introduire des activités à caractère interdisciplinaire. Le problème ici d’intégration des connaissances pluridisciplinaire n’est pas assez facile à assimiler si vite vue nos engagement et une quasi-absence de formation également son application à des situations de la vie réelle est pire. L’issue sur plusieurs domaines malheureusement reste fort limitée en pratique de terrain.  Si on veut que l’interdisciplinarité soit réellement pratiquée, il est essentiel qu’elle soit explicitement prévue au niveau du curriculum. Une telle intégration aux disciplines correspond en effet mieux aux usages actuels de l’informatique et des nouvelles technologies encore mauvais ne sont plus seulement l’affaire de spécialistes (les informaticiens) mais relève de la compétence de tout. Nous sommes incités à proposer des formations dans les différents domaines de la connaissance qui concerne non seulement les aspects cognitifs mais aussi socio-affectifs.

dans ce monde de plus en plus technologique, taisez de dire plus sur la réalité vitale d’équipement des labos non plus sur les moyens de la plupart des élèves supposé avoir inévitablement un PC doté d’une connexion Internet comme minimal point d’appui au développement de nouvelles compétences. Relevons alors la maîtrise des compétences visées par le curriculum n’est pas une réalité dichotomique ce qui  exige une attention continue et en spirale et un travaille pénibles a travers quatre ans au moins.