Révéler la négligence dans le système de santé québécois : Mon expérience
En tant qu'immigrante naviguant dans le système de santé québécois, j'ai rencontré de nombreux défis, mais l'un des aspects les plus préoccupants a été la négligence et le mauvais traitement que j'ai subis de la part du CLSC (Centre local de services communautaires). Cette négligence n'est qu'une partie d'un schéma généralisé de personnes se retournant contre moi parce que mes besoins sont politisés de manière inutile.
Depuis sept semaines, j'ai été activement négligée par le CLSC, malgré un besoin désespéré d'aménagements liés au handicap, notamment en raison d'un crime de genre que je subis actuellement. Personne ne devrait être traqué aussi longtemps que je l'ai été par cet homme que je n'ai jamais fréquenté (Oui, je l'ai vu en personne et oui, j'ai même des vidéos et des preuves de lui sur mon profil. Mes amis du Texas l'ont aussi vu.)
Cette négligence a commencé immédiatement après que j'ai demandé de l'aide pour des aménagements liés au handicap que le CLSC me fournit habituellement pour accéder aux services publics, tels que les Services Québec et mon psychiatre, pour contacter la police de Montréal (SPVM) en raison de ma situation de victime. Au lieu de recevoir du soutien, je suis confronté à de nouvelles restrictions sur mes services en représailles au simple fait de défendre mes besoins. Ces restrictions ont été considérées dans le passé comme la cause d’un événement indésirable de la vie, je ne comprends donc pas pourquoi elles les justifient maintenant.
La réponse du CLSC a été lamentablement insuffisante, marquée par le déni, des réponses superficielles et des tentatives d'éviter leurs obligations déontologiques. Malgré mes tentatives d'engager un dialogue constructif, mes e-mails ont été ignorés ou rencontrés par des plaintes concernant leur volume.
De plus, leurs actions en disent long sur leurs priorités. Au lieu de prioriser les soins aux clients et l'accessibilité, ils ont choisi de me retalié pour avoir osé défendre mes droits. C'est inacceptable.
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C'est inacceptable.
Pire encore, mes expériences ne sont pas uniques. Grâce à mes contacts avec les organisateurs québécois #ActuallyAutistic, j'ai appris l'existence d'un schéma généralisé de travailleurs du CLSC maltraitant les utilisateurs de services autistes. Ce problème systémique doit être abordé pour garantir que les personnes vulnérables reçoivent le soutien et les soins qu'elles méritent.
De plus, l'impact de leur négligence dépasse mes propres souffrances. Mon chien d'assistance émotionnelle (ESA) a également souffert de leurs actions. Elle a dû subir des soins vétérinaires d'urgence plus d'une valeur de 7 000 $ CAD à cause de leur comportement abusif. De plus, je suis désormais déclenchée par les coups à ma porte, résultat direct de leur decision du «swatting» où, tout à coup, répondre à un tel coup a entraîné une intrusion policière forcée chez moi.
En tant qu'immigrante et victime à long terme d'un crime de genre, mes expériences mettent en lumière la nécessité urgente de responsabilité et de réforme au sein du système de santé québécois. L'événement à venir concernant ma sécurité, exacerbé par la psychose dangereuse de l'individu qui me harcèle, souligne l'importance cruciale de traiter ces problèmes de manière rapide et efficace.
Il est temps de tenir le CLSC et le système de santé québécois responsable de leurs actions et de prioriser le bien-être de tous, en particulier des plus vulnérables.
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