Startupers et grands groupes : l’entrepreneur en résidence, médiateur d’une relation passionnée
Dans le complexe jargon des développeurs — qu’il faut désormais bien savoir décrypter si on veut un tant soit peu conserver sa crédibilité dans l’open-space —, la notion d’API prend de plus en plus de place. Une API (pour « application programming interface » en anglais, ou tout simplement « interface de programmation » en français) consiste en un code qui permet à deux programmes logiciels de communiquer.
Côté développeur, l’API définit la manière de rédiger un programme qui sollicite des services auprès d’un système d’exploitation ou d’une autre application. Les API sont mises en œuvre au moyen d’appels de fonction, constitués de verbes et de noms. La syntaxe requise est en général décrite dans la documentation de l’application appelée.
Si les grands groupes et les start-ups étaient des logiciels, une chose est certaine, ils auraient bien besoin d’une API. D’un côté : des organisations puissantes, avec de grandes forces industrielles et commerciales ; mais aux process parfois trop rigides. De l’autre : des structures agiles, promptes à l’innovation, mais faisant trop souvent preuve de naïveté au moment de se lancer sur un marché, et manquant de moyens humains et matériels. Malgré leurs différences, ces deux types d’acteurs essaient de jouer la carte de la complémentarité… Avec plus ou moins de succès. Lire la suite sur notre blog