Suicidez-vous », adressent certains citoyens français à d’autres, lors de la récente manifestation des gilets jaunes à Paris. C’est condamnable.
La violence qui s’exprime ouvertement aujourd’hui en France, a des origines différentes dans notre pays, et ce, depuis des années.
Preuve que quand un pouvoir public laisse prospéré un comportement diviseur dans son pays, la société le paie tôt ou tard.
Dans le cas d’espèce la faute revient aux responsables politiques, civils et religieux de la France d’hier.
Souvenons-nous, nous responsables associatifs, les acteurs des enquêtes sociétales et les études des universitaires de France n’avaient pas eu, de cesse depuis 2006 à 2015 de rappeler aux responsables politiques, civils et religieux de la France d’hier, de la montée – autres violences - extrêmement inquiétante des comportements discriminatoires donc les communautés, afro-antillaise, Magrébine et juive en France, étaient, et sont toujours victimes dans notre pays.
Des mesures sur le papier ont été adoptées par le pouvoir public pour lutter contre ces comportements discriminatoires du vieux monde.
Mais dans les faits et au fil des années, rien n’a vraiment changé en 2019.
Parce que les sanctions trop timides de notre justice, «cent euros d’amende ou des avertissements », contre les auteurs de comportements discriminatoires, ne pouvaient et ne peuvent pas inquiété les racistes de France.
C’était un peu comme si on disait à ces derniers : « Continuez votre job les petits ! »
Aujourd’hui, comme c’est déjà le cas avec les revendications anciennes des gilets jaunes de France.
C’est au jeune président Français Emmanuel Macron, moins de cinquante cinq ans de vie, et en collaboration avec des responsables politiques, civils et religieux de corriger pour l'intérêt de la France, ces terribles erreurs du passé et du présents.
Sans quoi la France avancera tranquillement vers le mur des souffrances humaines permanentes qui seront, hélas, dommageables pour sa jeunesse.