Tous TRANS genres
Les plus récentes études sur l'obésité qui caractérise l'homme et la femme "occidentaux", revèlent que ce trouble de la santé physique est directement lié à la sur-oestrogénisation de l'être humain, et ce chez les deux genres humains.
L'oestrogène est assimilé à l'hormone féminine tandis que la testosterone est le principal androgène, responsable du caractère masculin. Cependant aussi bien les hommes que les femmes présentent des hormones "mâles" et "femelles". C'est plutôt dans leur rapport, et selon leurs proportions, que prennent forme les manifestations physiques masculines et féminines ainsi que les fonctions maternelle et paternelle.
Le "lot" des femmes
Seule la progesterone est une hormone pro-gestative, permettant la gestation in utero, par les femmes, avec des problèmes croissants de fertilité que nous traiterons dans un autre papier.
La progesterone décline de façon plus naturelle avec la ménopause, et les oestrogènes font de même, non sans avoir donné longuement et très sûrement des taux élevés, sans plus de cycle mentruel, dans l'irrégularité et les phénomènes qu'on reconnait enfin : sauts de température corporelle, sauts d'humeur, sauts d'appétit et prise de poids, sauts du lit et insomnies
Les métro'n hommes
Chez les hommes les niveaux de testostérone diminuent naturellement à mesure de leur vieillissement, mais aussi plus précocément compte tenu des habitudes alimentaires y compris de substances (anabolisants et alcohol, additifs alimentaires), et des habitudes de la vie moderne non naturelle, en présence de perturbateurs endocriniens (plastiques, toxiques).
Quand le taux de testostérone d’un homme est plus faible, il subit également une augmentation proportionnelle des œstrogènes. Ensemble, ces changements hormonaux provoquent des symptômes indésirables.
Saint' hommes et bonnes femmes au bout du compte
Puisque les niveaux de testostérone diminuent, les hommes, habituellement fournis en muscle, prennent du poids, gagnent en tissu adipeux. Ces graisses sont elles-mêmes des réserves de oestrogènes ! Le cercle vicieux se referme.
Recommandé par LinkedIn
Le tissu adipeux est àpres tout un organe sexuel comme les autres. Les seins le sont. Et aussi le ventre, chez ces messieurs comme chez ces dames. Il produit une enzyme ou "hormone" locale appelée aromatase, dont la mission est précisément de convertir la testosterone en oestrogènes pour leurs rôles additionnels dans la regénération des os, limitant les troubles dégénératifs de l'ostéoporose, et des tissus. Les œstrogènes sont impliqués dans le métabolisme du glucose. Des niveaux normaux participent à la réduction du stockage excessif de graisse et à la résistance à l'insuline. Mais si l'insuline augmente, l'aromatase augmente et la production d'oestrogènes se renforce encore davantage.
Un homme de 60 ans a plus d’œstrogènes circulants dans son sang qu’une femme du même âge. Elle a eu sufisamment de pics d'oestrogène pendant la longue période de la ménopause, pour stocker sa propre masse. Chez les femmes, avec la disparition de l'oestrogène en fin de course, c'est la résistance à l'insuline qui s'installe et c'est le métabolisme qui sollicite le foie.
Genre humain aux destins personnels fabuleux
Au final, les uns comme les autres risquent, au bout de leur parcours de vie, le syndrome métabolique et la défaillance vasculaire, si nature ne leur vient pas en aide : nature humaine et écologique.
Magnésium, vitamines B - D - E (légumes oranges, jaunes et verts), oméga 3 et crucifères (choux dans toutes leurs variétés), préservent les tissus, muscles et les os et aident le foie dans la détox. La marche et la danse. La respiration et les expériences tant naturelles que sociales gratifiantes tiennent le stress, tant intrinsèque à ces périodes, purement biologique, que celui davantage existentiel, des événements d'une vie, à sa juste mesure de "lutte", de stimulation et de vitalité.
En vidéo, certains d'entre nous se projettent par delà leurs attributions sexuelles et générationnelles mais la "golden hour" est la même. Lorsqu'ils créent, ils la subliment. Leur savoir gré nous fait honneur, comme ici à Karla Sophia Gascon, reconnue dans Emilia Perez à Cannes, à Madrid il y a quelques jours et à Beverly Hills dans quelques lunes.
L'Esprit Libre EVER MIND Eva Matesanz
Désormais moi-même TRANS disciplinaire Santé physique et morale
Consultations et éducation