Tyrans ; Diktats et Nihilismes
Un tyran (du grec ancien τύραννος / túrannos, « maître absolu ») désigne dans l'Antiquité grecque un individu disposant d’un pouvoir absolu, après s'en être emparé de façon illégitime, en général par la force. La tyrannie constitue un phénomène historique capital du fait de la chute de l'aristocratie et de l'accession au pouvoir de la bourgeoisie. Son avènement au VIème siècle av. J.-C. marque en effet un bouleversement économique et social. Pour s'emparer du pouvoir, les tyrans favorisaient une insurrection de leurs partisans armés au bon moment, par exemple à l'occasion d'une fête religieuse dans la cité. On sait comment Pisistrate invoqua le prétexte d'un prétendu attentat contre sa personne pour se faire attribuer la garde personnelle de ses « porte-gourdins » ; d'autres tyrans se constituaient des troupes mercenaires, comme Périandre de Corinthe avec ses « porte-lances ». Tout en se faisant les champions des classes inférieures, les tyrans étaient le plus souvent issus du camp adverse, et ils occupaient une haute magistrature ; Thrasybule, tyran de Milet, avait été prytane ; Cypsélos, tyran de Corinthe, avait été basileus ; Orthagoras, tyran de Sicyone, avait été polémarque, et les tyrans de Sicile, stratèges. Ils s'assuraient quelquefois l'appui de l'étranger. Durant le vie siècle av. J.-C., de nombreux tyrans prirent le pouvoir un peu partout en Grèce, en renversant les gouvernements établis. C'est à cette époque que la Perse commençait ses incursions en Grèce, avec le soutien de tyrans cherchant des appuis pour conserver leur pouvoir. Ainsi Cylon tenta-t-il d'imposer la tyrannie à Athènes avec l'appui des Mégariens, Pisistrate devint tyran avec l'aide des mercenaires amenés par Lygdamis et Lygdamis à son tour rentra à Naxos en vainqueur grâce aux secours demandés à Pisistrate.
La suite de l’histoire démontrera, sous diverses formes, la volonté d’asservir les peuples par la dictature ; au détriment des démocraties.
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QU’EST QUE LA VIE… ? Pour les poètes & poétesses : un recours aux mots. Pour les politiques : un discours de division. Pour les financiers : un discours de soustraction. Pour les philosophes : une interrogation sur le sens de celle-ci. Et pour les humanistes : une volonté, parfois farouche de désarmer l'invective par trop intransigeante envers le discours entre les sciences et les arts.
« La dignité, étant supérieure à tout prix, échappe par définition au calcul économique. À ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel. » J’ai chuté, été trahi, fait de mauvais choix, manqué de discernement, voire été crédule, été confronté à des gredins, nihilistes, de tous bords – tant réels que virtuels – mais je ne me suis jamais tourné vers les extrémismes, qu’ils soient populistes, communautaristes ou conservateurs radicaux, ainsi qu’idéologies complotasses telles nationalismes paroxystiques, amenant trop souvent rancœur puis violences, entre les différentes congrégations et familles.
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Riche, pauvre, connu(e) ou inconnu(e), lorsque la passion déborde, la raison se noie. La vie est comme un livre. Ne saute aucun chapitre et continue à tourner les pages… Tôt ou tard tu comprendras pourquoi chaque chapitre était nécessaire. Trop de logique inhibe l’être sensible… Trop de sensibilité intériorise l’esprit logique. De maintenir l’équilibre entre ces deux états autoriserait juste cette extraordinaire capacité d’être humain dans le Monde Naturel Vivant.
Entre lys & lianes
Hauts hurlements sortis des nuits d’intérieur
Ô cris étouffés de derrière les portes
Porteuses d’aventures nient de ci de là
Non, non, ce n’est point le vent qui claque.
Verbes aux ruines des passages déjà nommés
Visages d’un dieu à la robe couleur de sang
Discours suivi par les démons d’argent
Ils portent le tranchant à la place du buis.
« Nous voulons un monde meilleur ! »
Souverainisme, populisme, nihilisme, poujadisme,
Islamisme, évangélisme, néo-scientisme,
Pragmatismes faxés par des guides de malheur,
Regards attitrés à la virade des égocentrismes.
Retour vers des prises de gardes sans épiques,
Titres versés aux balbutiants sans égards,
Dans le halo des temps kaléidoscopiques,
Confusion des priorités attire vils étendards.
Préface
Souvent le peuple désire sa ruine, trompé par la fausse apparence ; et rien n’est plus facile que de l’entraîner par de vastes espérances et des promesses éblouissantes. Nicolas Machiavel
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Entre liches et billevesées je crains fort que les éminences politiques, médiatiques et financières soient encore vocaliques d’alternance en prieuré de tartufferies politiciennes, dans de délictueux et piètres errements. Sous les masques d’une justice sociale-économique, une république en cache de ses intérêts financiers au détriment des lois sociales-économiques envers son peuple est-elle encore un État de justice démocratique ?
Ou déjà une composite affectée par les errements d’une technocratie dépourvue de sciences humaines ?
Ou alors est-ce les opportunismes de carrière qui font les gredins et le népotisme les privilèges ?
Les politiciens se soucient-ils, encore, du peuple ?
Que pouvons-nous répondre, par quelques rhétoriques sensées, à tous ces calomniateurs et calomniatrices, infectés(es) par les « choses » sans preuve formellement établie, accusant autres de leurs congénères, sexués, sans logique didactique évidente, au rapport d’une sociologie humainement acceptable ?
Qu’ils en bâtissent leurs trésors par une forme clandestine approvisionnée à leur état d’insincérité ?
Que doit-on étudier, de même, à tous ces discours vagues de cette sorte, qui se trouvent dans leurs livres des restitutions… ?
Sans vergogne ni quelques remords, partout, les droits humains sont bafoués et les fausses nouvelles devenues monnaies courantes…
Le problème n’est pas que l’I. A.
La machine humaine est entrée dans une zone obscure avec, trop souvent, un refus d’apprentissage des bases logiques affichées aux langages humains et au sens du et des biens communs…
Le propre de l’histoire et de la mémoire est que tout ce qui est de ce que la connaissance de l’histoire et de la psyché de la mémoire ne recommence point. On ne remplace pas nos décades.
Au marais des psychédéliques
À tous ces godillots de terres brûlées
Exorciseurs de manche à balais tordus
Massacreurs d’images à jeux
Sonneurs à déficience mentale.
Briseurs de communautés et d’espoirs
Suceurs de micros maniaques
Je vous le dis tout haut
Vous n’aurez plus ma voix.
De vous savoir là est un problème,
Comme le destin, l’inattention et la servitude
La droite à bigots et la gauche défroquée
Les mises sur cheval de mauvaise glose.
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Les chantres de coffres à blé noir.
La laïcité, la justice et les coups de pied au cul
La démobilisation des anges de la liberté
Sont des problèmes à cire glissante.
L’homme à cervelle vide comme un bidon
La jeune fille en verve au mur des magazines
Miroir de la belle dame aux appâts mûrs
Psychologues en habits de conversion.
Philosophes tatoués au nombril de leur monde
Usuriers des flux migratoires
Marchands du sang des affaires
Vendeurs de sexe à chimères désunies.
À celles des cœurs battants de peur
Tout cela n’est pas un problème dans le marais des psychédéliques.
Mais à la pensée des idéoles, il n’y a pas pléthore indigente
La lumière des matins arrose les sourires
Le brouillard des songes écarquille les yeux.
Au doigt du réel, la rosée devient tendresse
Et sous les hauts vents, les murmures se pausent
Telles des feuilles venues de la forêt d’allégeances.
Les placiers de grabuges ont déserté le portique des cultures,
Bien leur en a pris
Je n’en ai plus de nouvelles
Et cela me sied à merveille.
Mais vous, chers et chères Idéoles ;
Comment allez-vous ?
La nature même de la vie est une leçon de choses où l’attention est indispensable au maintien de l’équilibre.
Nous ne pouvons pas être dans le présent en regrettant le passé. Ni même en nous demandant pourquoi. Ce qui s’est passé, est passé, et il faut le lâcher, il faut s’en détacher. Nous ne pouvons pas être éternellement des enfants, ni des adolescents tardifs, ni des employés d’entreprises inexistantes. Les faits passent et il faut les laisser partir ! Voici pourquoi, quelquefois il est si important de détruire les souvenirs, offrir les cadeaux, changer de maison, déchirer des papiers, jeter des documents, et vendre ou offrir les livres. Laisser partir, lâcher, se détacher. Dans la vie personne, joue avec des dés pipés. Il faut apprendre aussi bien à perdre qu’à gagner. Il faut laisser partir, il faut tourner la page, il faut seulement vivre ce que nous avons au présent… Le passé est passé. N’attends pas qu’on te le rende, n’attends pas qu’on te reconnaisse, n’attends pas qu’un jour on se rende compte de qui tu es… Lâche le ressentiment. En te branchant sur « ton téléviseur personnel » pour tourner en boucle et ressasser maintes et maintes fois l’affaire, la seule chose que tu peux obtenir c’est te blesser lentement, t’empoisonner et développer de l’amertume. La vie est faite pour avancer, jamais pour reculer. Des fiançailles ou des amitiés qui ne se terminent pas ? Des possibilités de retour arrière ? Vers quoi ? Des besoins d’éclaircissements ? Des paroles qui n’ont pas été dites ? Des silences qui ont tout envahi ? Si tu peux les affronter maintenant et tout de suite, fais-le, sinon, laisse tomber, ferme les chapitres. Dis-toi à toi-même non, ils ne reviendront pas. Mais pas par fierté ou orgueil, seulement parce que toi tu ne cadres plus dans cet édifice, dans ce lieu, dans ce cœur, dans cette pièce, dans cette maison, dans ce bureau, dans ce travail. Toi, tu n’es plus le même que celui d’il y a deux jours, trois mois, un an. Par conséquent, il n’y a plus rien vers quoi revenir. Ferme la porte, tourne la page, ferme le cercle. Paulo Coelho
Des vies cachées
Vous que j’aimerais, au détour des nuits vagabondes, sous des hospitalités de moindre désert, encore, revoir.
Toi, toi et toi, vers vous d’un pas plus lent, qu’auparavant, douce-amère et soudain admirable. Soyez, maintenant, sous la lumière d’une étoile, déjà, chancelante, l’eau, la terre, le feu, l’air, puis le silence des rumeurs.
Il y eût des voix bourdonnantes dans l’ombre des demeures et d’autres, encore, aujourd’hui, aux restes des murailles, avec qui nous élevions quelques poèmes en souvenir des gestes beaux voués aux rivières tumultueuses, avant d’arriver aux termes des flots calmes.
Je ne nierai jamais nos souvenirs, fussent-ils de ceux des oublis par qui les mémoires s’effacent au nom des non-dits fermés à d’autres méandres plus à mêmes d’y comprendre les chemins de désespoir, comme les blessures trop tôt engendrées.
Les choses faîtes comme celles restées en état de pensées, fussent-elles belles, passent sous la meule du temps….
Le poète et la poétesse ne sont pas là que pour être sage, accommodant et charmant. Ils sont, au passé comme au présent, une dissidence agitant les esprits insipides, apathiques ou trop égotiques.
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[Le nihiliste n’est pas celui qui ne croit en rien, mais c’est celui qui fait, constamment un déni de réalité. Il vit, va et vient, sans couleur, comme une ombre errante, sans but, ni pensées analytiques quant à sa position sociale-économique et culturelle dans le monde terrestre, rejetant en permanence la responsabilité de son état sur autres, puis se laisse entraîner, par de vils guides, dans de néfastes histoires…] « Ce nihilisme absolu les rendait tristes, mais ils se raidissaient, quand-même, contre toute idée consolatrice ; ils mettaient un âpre stoïcisme à la nier, voire à détruire toutes pensées de meilleurs augures.»
« La nature, elle-même, est une histoire chaotique, imprévisible et créatrice. Rien n’était écrit, rien n’est, totalement, irrationnel, rien ne manque. L’inique déraison est celle de l’homme voulant façonner le monde terrestre dans le dogmatisme de sa déchéance cultu®elle omnipotente, alors que la nature invente la musique et les poètes, poétesses et versificateurs le silence des mots…» Au vent des émois ; entre libertés & attachements : le temps est la mesure de toutes choses et l’attention est toujours première.
La vie est une rose qui se fane sous la tige où l’on veut s’accrocher éperdument, fut-elle tordue par les murmures envoûtants des émois en espérance battant déjà de l’aile sur les pensées aux parfums subtils de la liberté, sans compromission que tant d’idolâtres détournés de l’éclat des lumières, depuis tant d’années, eussent été bâillonnées par « des fonts baptismaux » dans l’inexpressivité des couleurs de la vie, comme souvent sons sans apprêt… ; ainsi qu’attentions sans après.
D’heurts en demeures ; à tous nos maux
Les premières pages
Michel asti – Auteur Retraité
Si long, si court « Le temps est la mesure de toutes choses »…
Après 40 ans dans la grande cité lyonnaise, à cheval sur deux fleuves, Michel Asti se retrouve, en 2013, par les hasards du destin, en conditions de sérénité idéales pour engager cet exercice d’écriture. Fin 2021 il obtient sa retraite, après 8 ans au RSA, ce qui lui permet d’envisager l’avenir sous de meilleurs horizons, tout en continuant à pratiquer l’écriture, dans un nouveau lieu de résidence.
Les livres de l’auteur
Et sur Le journal d’un RSA-YSTE
Quant à l’objet des sciences sociales, on ne fait qu’accumuler des connaissances sans précédent sur la diversité des langues et des sociétés humaines, avec un effort sans précédent lui aussi, en tant qu’inventaire et conservation du patrimoine culturel à l’échelon mondial, alors que son véritable degré appelle à présent une réflexion théorique afin de penser la diversité de ce patrimoine, dans le temps comme dans l’espace. Nous sommes confrontés au défi de mettre en valeur la diversité culturelle d’aujourd’hui, pour éviter qu’elle ne se réduise à la portion congrue de sa propre incompréhension aseptisée ; voire irrationnelle ou psychotique.
Du même auteur, déjà publiés au LE LYS BLEU - Editions
Le livre est une fenêtre sur le monde