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Comment ne pas réagir face un post reçu il y a quelques jours relatant le comportement de jeunes enfants bantous bercés par cet humanisme ?

"Je suis parce que nous sommes" en résumé.

Ce concept que j'ignorais avant de lire ce message fait écho avec mes réflexions depuis près d'un an sur les risques pour une société humaine de basculer dans le chaos et l'obscurité...et sur la capacité de certaines et certains, dans les pires moments, à s’opposer pour empêcher et résister au pire.

Pour arriver à une position parallèle : « Que sommes-nous et où allons-nous sans fraternité ? »

Pour avancer, je me pose et je vous pose la question : « Que serions-nous sans toutes celles et tous ceux sans lesquels nous ne serions pas ce que nous sommes ? »

« Quelles sont-elles et qui sont-ils ? »

« Comment donner sens à ces gestes pour les relayer et nous renforcer ? »

A bientôt Philippe

Umuntu ngumuntu ngabantu