Un nouvel eldorado caché sur le marché du test ?

Nous pouvons aujourd’hui diviser le test de manière académique comme nous le montre ISTQB et le marché : test technique, test de performance, test fonctionnel, test automatisés certain y inclut même les tests de sécurité. Aujourd’hui concentrons-nous sur l’automatisation, c’est là que se trouve ce nouvel eldorado.

Qu’est-ce que l’automatisation avec un grand A ?

Si nous allons chercher sur Wikipédia, l’automatisation permet de jouer à volonté des tests de régression à la suite de la livraison d'une nouvelle version d'une application.

L'automatisation d'un test n'a de sens que si le test répond à un certain nombre de critères :

•  Le test est systématique : il doit être exécuté à chaque nouvelle version de l'application.

•   Le test est répétitif : il est présent dans de nombreux scénarios de tests.

•   Le test est automatisable : il est techniquement possible de faire jouer le test par un robot.

Ce que n’indique pas Wikipédia c’est que même avant le début de ma carrière (j’ai commencé en 2009) sur le marché du test, les prestataires et éditeurs évangélisaient les acteurs de l’économie au sujet l’automatisation promettant les différents ROI aux acteurs qui franchissaient le pas.

Cette évangélisation du sujet a bien pris sur le marché francophone et ceux-ci sous de multiples formes.il y a pourtant un regret que nous pouvons avoir sur ce sujet c’est la dérive du test automatisé vers les développeurs. En effet certaines solutions devenues trop techniques pour qu’un testeur en gère le suivi de bout en bout, situation accentuée par le nombre insuffisant d’automaticien polyvalent sur le marché. Il est donc difficile aujourd’hui de lutter contre cette dérive.

Les automaticiens, ce nouvel Eldorado …

Personnellement, je ne passe pas une semaine ces derniers mois à observer les différentes ESN ou même certains clients finaux rechercher avec plus au moins de succès des automaticiens.

Les testeurs avec des compétences techniques peuvent clairement considérer la voie de l’automaticien comme une voie viable à l’avenir pour leur carrière.

Quand à elle , la qualité logicielle doit déjà faire face à réduction des budgets de validation annuels et les échecs de certaines solutions d’automatisation, non utilisables par des testeurs, ou générant des besoins de maintenance massifs

Si nous additionnons à ces obstacles et limitations financières, les propositions d’avantages salariaux exponentielles pour ces profils automaticiens devenu rares et pourtant nécessaire pour déployer l’automatisation, risquons nous pas de briser les vertus de celle-ci et de par la mettre en danger la qualité logicielle.

D’autres routes mènent à l’automatisation

Heureusement une solution à cette pénurie de profil, quoiqu’encore minoritaire, existe sur le marché. Ce sont les solutions d’automatisation no-code qui doivent permettre au testeur d’automatiser avec peu ou sans compétences techniques.

 Aujourd’hui, une solution made in France se démarque par sa précision, son efficacité, et sa pérennité, en effet même moi simple commercial arrive à automatiser avec Agilitest ! Amis testeurs, êtes-vous à relever le défi d’une telle solution ?