Whaller contre les Gafam

Whaller contre les Gafam

Dans sa dixième édition de l'État de l'art de la transformation interne des organisations (#LeckoT10), le cabinet Lecko consacre une attention particulière à Whaller.

"Whaller se construit petit à petit une place de choix dans l’écosystème. La plateforme concilie maturité fonctionnelle et positionnement pertinent, tout en animant une communauté de 'fidèles' grandissante, atout pour son développement", peut-on lire dans l'étude.

Un peu plus loin, il est écrit que "Whaller s'avère très efficace pour outiller un usage de réseau social autour d'une communauté externe".

Dans ce référentiel, Whaller apparaît clairement comme la voix (la voie ?) française face aux géants américains de la transformation digitale, bien souvent imposés d'Office aux équipes.

Les entreprises, et tout particulièrement les grands groupes si férus d'open innovation (sic), se trouvent là devant un choix pas si cornélien que ça : à compétences technologiques égales, à qui confier leur transformation digitale : aux Gafam tant décriés ou à une entreprise française qui fait aussi bien le job ?

La philosophie verticale de Whaller, qui valorise la subsidiarité au lieu de la transversalité à la mode, pourrait bien achever de les convaincre.

Thomas Fauré, fondateur:

"Nos deux principaux concurrents s'offrent à prix d'or de pleines pages de publicité dans la presse quotidienne. Nous ne pouvons quant à nous que nous offrir des remontants liquides pour nous consoler... Et peut-être aussi puiser dans notre enthousiasme et dans l'huile de coude. Ces trois ingrédients semblent manifestement faire leurs preuves, si l'on en juge à la farandole de retombées médiatiques à laquelle nous avons eu droit depuis quelques semaines. Nous vous avons mis de côté les plus savoureuses. 

Choose France ou choisissons le "Made in France" ?"

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