🎉 9 ans de L'essentiel Radio: une aventure humaine et radiophonique! 🎙️ Depuis 9 ans, L'essentiel Radio informe, divertit et accompagne ses auditeurs au quotidien. Ces dernières années, nous avons relevé de nombreux défis et accompli des choses incroyables: 🚛 Des #reportages immersifs, comme celui où nos journalistes ont suivi les agents dans les camions de saleuses en plein hiver ❄️ 📡 Des tournages en extérieur avec le grand public, qui nous ont rapprochés encore plus de nos auditeurs 🎧 Des moments forts, qui ont marqué notre antenne et notre équipe Cette année a été particulièrement intense, humainement et professionnellement. Comme l’a si bien dit Sam Tabart, directeur de L'essentiel Radio, nous avons traversé des épreuves difficiles, notamment la perte de notre collègue Jean-François Servais, qui restera à jamais dans nos mémoires. Aujourd’hui, nous avons une pensée pour lui. 💙 Merci à vous, auditeurs, partenaires et collaborateurs, de faire partie de cette belle aventure. L'essentiel Radio continue d’évoluer et de grandir avec vous. 🔊 Et vous, quel est votre meilleur souvenir avec L'essentiel Radio? #LessentielRadio #9Ans #Radio #Team #Merci #Émotion #Médias
L'essentiel
Édition de journaux
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À propos
"L’essentiel" est la marque média incontournable des actifs urbains au Luxembourg depuis 2007. Chaque jour, 329 300* lecteurs, internautes, auditeurs, résidents (68% de l’audience) et frontaliers (32% de l’audience) lisent le journal (quotidien le plus lu au Grand-Duché), consultent les 2 sites d’information (1er site d'information du pays) et écoutent, depuis 2016, la radio francophone N°1 du Grand-Duché, L’essentiel Radio (radio la plus écoutée par les résidents étrangers et les frontaliers). Merci également à tous ceux qui nous suivent sur les réseaux sociaux, grâce à vous, nous sommes la 1ère communauté du pays. Fort d'une équipe d'une soixantaine de personnes, nous travaillons quotidiennement à la pérennité de la marque, à la qualité de ses médias et à leurs performances. *Etude TNS ILRES 2020-II et Etude TNS Frontaliers
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- Édition de journaux
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- 11-50 employés
- Siège social
- Differdange, Luxembourg
- Type
- Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
- Fondée en
- 2007
- Domaines
- édition, régie publicitaire, média, distribution et partenariats
Lieux
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Principal
115a, Rue Emile Mark
Bâtiment A, 1535° Creative Hub
L-4620 Differdange, Luxembourg, LU
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Nouvelles
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🇱🇺 En pleine pandémie de #Covid, entre 2020 et 2022, le #Luxembourg avait lancé le Large Scale Testing (LST), avec 17 centres à travers le pays, pour identifier alors un maximum de malades infectés, les isoler et éviter ou limiter le confinement collectif. Lundi, la Cour des comptes a publié un rapport couvrant cette période et estime que «les infrastructures mises en place étaient sensiblement surdimensionnées». Pour la première phase du LST, les 17 centres avaient été conçus pour accueillir jusqu'à 1,8 million de personnes, mais 600 000 prélèvements y ont été effectués. 1,12 million de tests ont été recensés lors de la deuxième phase, pour une capacité d'accueil de 1,43 million de personnes, soit des sites utilisés à 78% de leur capacité. Pour la troisième phase, «l’ensemble des centres de test était dimensionné pour pouvoir accueillir au total 1,33 million d’usagers, toutefois uniquement 0,74 million de prélèvements ont été effectués». C'est 56% de la capacité cette fois. Finalement, indique le rapport rendu public lundi, «à peine 41,64% des personnes invitées à se faire tester ont répondu favorablement» lors de la première phase du LST en 2020. Plus tard, pour les deux autres phases, la Cour des comptes chiffre respectivement à 29,30% puis 31,28% la participation. En forme de bilan, le contrôle effectué note que «l’infrastructure a toujours reposé sur une capacité de test théorique surestimée et n’a pas été redimensionnée en fonction du nombre de tests réellement effectués lors des phases précédentes». Sur le plan budgétaire, la Cour des comptes a constaté que «les contributions financières maximales de l’État retenues au niveau de la convention ou bien des lois de financement n’ont pas été dépassées». La première phase du LST a coûté à l'État et au Luxembourg Institute of Health (LIH) 31,28 millions d'euros pour une contribution maximale fixée à 34,50 millions d'euros. Le rapport dénonce toutefois un «saucissonnage des dépenses» et «trois amendements» qui ont permis de rester dans le cadre légal, alors «qu'une loi spéciale aurait été nécessaire». 🔵 Un article à retrouver sur lessentiel.lu.
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🇱🇺 Les séances de psychothérapie sont remboursées par la Caisse nationale de santé depuis le 1er février 2023. Début février, les Jonk Demokraten réclamaient que les séances effectuées en #téléconsultation le soient également. Mise en place avec la pandémie, l'ordonnance qui permettait les téléconsultations a pris fin le 30 juin 2024. Un groupe de travail a été créé «afin d'étudier les aspects légaux, financiers et technologiques des téléconsultations ainsi que l’utilisation des technologies modernes dans le domaine de la santé pour améliorer la qualité des soins et alléger la charge de travail des professionnels de santé», précise le @ministère de la Santé à L'essentiel . La création d'un cadre légal doit garantir «la sécurité des patients, la confidentialité des données et la qualité des soins», ajoute le ministère, soulignant que les travaux autour de ce cadre légal «sont en cours». De 2020 à 2023, l'assurance maladie-maternité a pris en charge plus de 613 000 consultations dont la très grande majorité concernait une consultation de médecins généralistes (443 919). Au fil du temps, le nombre de téléconsultations a fortement baissé, passant de 257 693 en 2020 à 65 378 en 2023. «Les dispositions en lien avec la pandémie n'ont plus lieu d’être. Ainsi, le ministère de la Santé a proposé d’introduire des actes de "télésuivi"», présente l'Association des médecins et médecins-dentistes (AMMD.lu). Ce télésuivi pourrait s'appliquer dans le cadre de la communication de résultats d’analyses biologiques ou d’examens d’imagerie médicale, ou encore pour des patients pris en charge dans une structure d’hébergement. Le télésuivi s'appliquera «uniquement pour les patients qui ont déjà été vus par le médecin lors d’une consultation précédente». 🔵 Un article à retrouver sur lessentiel.lu.
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🇱🇺 Alors qu'ArcelorMittal a enregistré un exercice 2024 solide au niveau mondial, avec une augmentation de 45% de son bénéfice net pour atteindre 1,34 milliard de dollars, la situation est différente au niveau local. Selon une question parlementaire du député André Bauler (DP), des signes de difficultés économiques se font sentir sur le site de Bissen, qui compte environ 280 salariés. La hausse des prix de l'énergie et la pression concurrentielle internationale pèsent visiblement sur l'usine luxembourgeoise. Dans sa réponse, le ministre du Travail, Georges Mischo (CSV), a confirmé qu'ArcelorMittal, à l'instar de l'ensemble de l'industrie sidérurgique européenne, était confronté à des défis majeurs. L'usine de Bissen n'est pas épargnée. Cependant, aucune décision définitive n'a encore été prise concernant d'éventuelles suppressions d'emplois. Le ministre assure qu'en cas de suppressions, des mesures seraient prises pour limiter autant que possible les conséquences pour les salariés concernés. Des discussions avec la direction de l'entreprise et les syndicats sont prévues au cours des prochains mois afin de trouver ensemble des solutions pour l'avenir du site. «Une première réunion entre des représentants du gouvernement, des salariés et de la direction a déjà eu lieu le 13 février 2025», a précisé M. Mischo. Une approche coordonnée de toutes les parties prenantes est nécessaire pour trouver la meilleure solution possible pour les salariés et l'entreprise. 🔵 Un article à retrouver sur lessentiel.lu.
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🇱🇺 En 2024, la Caisse nationale de santé a détecté près de 265 faux certificats d’incapacité de travail acquis en ligne, impliquant environ 145 assurés. C'est ce qu'indique Martine Deprez, ministre CSV de la Santé, dans une réponse parlementaire. «Certains d’entre eux ont présenté plusieurs certificats d’incapacité de travail frauduleux acquis en ligne, indique Martine Deprez. À ce jour, plus d’une centaine de décisions prononçant des amendes et la nullité des certificats d’incapacité de travail ont été prises, tandis qu’une trentaine de cas sont en cours d’examen». Les certificats d’incapacité de travail frauduleux sont ainsi sanctionnés par la CNS par leur annulation systématique ainsi que par une amende. La nullité du certificat d’incapacité de travail frauduleux est appliquée dans tous les cas, tandis que le montant de l’amende varie en fonction de la durée du faux certificat. Elle s'élève à 200 euros pour une durée inférieure ou égale à trois jours d'incapacité de travail; 500 euros pour une durée supérieure à trois jours d'incapacité de travail; 750 euros en cas de récidive, quelle que soit la durée concernée. En parallèle, la Caisse nationale de santé a déposé des plaintes auprès du parquet en septembre 2024 et en janvier 2025, note Martine Deprez. «Elle maintient également des échanges avec ses homologues des pays voisins pour identifier les responsables et bloquer l’accès aux plateformes numériques offrant ces services frauduleux», ajoute-t-elle. En outre, la CNS envisage d’intégrer le QR code #GouvCheck sur les certificats d’incapacité de travail transmis numériquement par les médecins à la CNS, afin de garantir leur authenticité, dit la ministre, qui précise que le phénomène des certificats d’incapacité de travail frauduleux en ligne n’a émergé «qu’en 2024. Par conséquent, aucune statistique n’est disponible pour les années précédentes». 🔵 Un article à retrouver sur lessentiel.lu.
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🇱🇺 Un accord a été trouvé «avec succès» entre les partenaires sociaux sur un plan social chez Mylar Specialty Films Luxembourg, a indiqué ce mercredi la direction, qui a salué un «dialogue constructif, transparent et mutuellement respectueux dont ont fait preuve toutes les parties durant cette période difficile». 95 des 112 emplois vont être supprimés. Le 15 janvier dernier, cette même direction avait informé l’OGBL et le LCGB ainsi que la délégation du personnel de sa décision d’arrêter la ligne de production 5 «en raison d’un manque de rentabilité». «C'était important pour nous de donner une perspective aux salariés concernés, qu'ils ne restent pas dans l'inconnu», s'est félicitée mercredi Milena Steinmetzer, secrétaire centrale de l'OGBL Industrie, satisfaite d'avoir obtenu des indemnisations et des conditions favorables – notamment pour les plus de 50 ans – et des mesures concernant la formation et le coaching. «Nous allons organiser des séances avec l'Agence pour le développement de l'emploi (ADEM) mais aussi avec les employeurs du secteur qui recrutent et qui pourraient être intéressés par les profils» La fermeture de la ligne de production est prévue le 14 août. Après cette date, seule une poignée de salariés restera pour démanteler le site. Dix-sept personnes restent employées dans les bureaux, notamment pour des activités commerciales. 🔵 Un article à retrouver sur lessentiel.lu.
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👶📰 Les petits reporters en herbe chez L'essentiel ! 🎙️📸 Ce mardi, nos locaux ont été envahis par une joyeuse bande d’apprentis journalistes! 🎉 Nous avons eu le plaisir d’accueillir les enfants de Rockids crèches et foyers de jour pour une immersion au cœur de notre rédaction. 🖊️ Écrire comme un journaliste 📻 Découvrir la magie de la radio 🎥 Observer les monteurs à l’œuvre 🔎 Corriger comme un pro Les #journalistes de demain? Peut-être! En tout cas, une chose est sûre: la curiosité et l’enthousiasme étaient au rendez-vous! 🤩 Un grand merci à Rockids crèches et foyers de jour et à ces jeunes visiteurs pour cet après-midi aussi instructif que ludique. Et qui sait ? Peut-être qu’on retrouvera certains d’entre eux dans nos bureaux dans quelques années… 😉 #LEssentiel #Rockids #Journalisme #Découverte #FutursReporters
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🇱🇺 Un groupe de jeunes, accompagnés par l'ASBL Youth & Work, a dressé un bilan de la vie nocturne dans la capitale, qu'ils ont présenté au collège échevinal. 👉 https://bit.ly/4b7MR0T
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🤔 Que faire à #Luxembourg le soir? Vous sentez-vous en sécurité dans les rues la nuit? Onze jeunes résidents de Luxembourg ont analysé la vie nocturne de la capitale. Des interviews des restaurateurs, barmaids, aux gérants de boîte de nuit et brainstorming, les jeunes, coachés par l'ASBL Youth & Work, y ont travaillé d'arrache-pied. L'idée était de pouvoir faire un bilan et apporter des solutions et des projets au collège échevinal lors d'une rencontre qui a eu lieu le vendredi 14 février. Leurs recherches se sont soldées par un grand sondage proposé à tous les jeunes de la capitale. Sécurité, mobilité, diversité... Plusieurs thèmes ont été abordés et plus de 450 jeunes y ont répondu. Et les retours sont nombreux: «Un sentiment d'insécurité la nuit», «peu de choix en termes d’ambiance», «que des fast-foods ouverts la nuit», «peu de bus à partir d'une certaine heure»... Avec ces retours, les jeunes de Youth & Work se sont creusés les méninges pour apporter des solutions concrètes aux échevins, qui ont décidé vendredi de s'associer au projet, mais de laisser le sondage se poursuivre encore plusieurs semaines pour renforcer la réflexion. Par exemple, concernant la question du manque de diversité de nourriture, «les sondés reprochent aux restaurants de Luxembourg de fermer trop tôt, laissant seulement les fast-foods comme alternatives pour manger le soir», le groupe a pensé à proposer des foodtruck. Pour le point sur l'insécurité, les jeunes imaginent ouvrir un espace dédié aux sorties nocturnes «pour que les jeunes aient un endroit éclairé», explique Ana à L'essentiel. La jeune Roumaine est arrivée il y a quelques mois en provenance de Bucarest et elle a beaucoup à dire sur la vie nocturne à Luxembourg. «Il y a des choses à améliorer, telle que la présence plus importante de lampes dans certains coins de la ville. Chez moi, la ville est plus fêtarde que Luxembourg, il y a des magasins ouverts 24h sur 24, beaucoup plus de fêtes... Le Grand-Duché peut être comparé à l'Angleterre, les gens sont plus stricts et ils ont moins envie de sortir», explique Ana, qui dresse même le constat d'un «cercle vicieux». «Les jeunes de la capitale sortent moins qu'avant la nuit, car il y a une offre restreinte de clubs différents, donc il y a moins de bus, parce qu'il y a moins de fêtards et donc il y a moins de soirées organisées». Par cette enquête au plus proche du terrain et leur initiative, ces onze jeunes espèrent bien faire revenir le reste de la jeunesse dans les rues de la capitale. 🔵 Notre article à retrouver sur lessentiel.lu.
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🇱🇺 «Je passe toujours au frigo partagé avant d’aller faire mes courses pour voir s’il y a un produit à récupérer. J’aurais les moyens de payer l’ensemble de mes aliments, mais je trouve très important de lutter contre le gaspillage», témoigne Marguerite. Ce jour-là, la Differdangeoise repartira avec une bouteille de vinaigre balsamique et une de sauce soja. Dans le Foodsharing point de #Differdange, qui a ouvert le 20 janvier, comme dans ceux d’Esch-sur-Alzette et de Lintgen, chacun peut amener de la nourriture ou en emporter. «Si vous partez en vacances et qu’il vous reste des yaourts, rapportez-les, ça bénéficiera à quelqu’un d’autre», illustre Martin Lecoutère, responsable des points d’échange au #Luxembourg. «D’autres citoyens ont cuisiné et ont encore des restes ou veulent faire une bonne action». En parallèle, «des foodsavers collaborent bénévolement avec l’ASBL. Ils récupèrent des invendus auprès des commerces et supermarchés et les amènent au frigo. Les bénévoles sont essentiels à son fonctionnement», complète @Zenia Charlé, échevine de Differdange. «L’objectif de notre commune est d’atteindre la neutralité carbone, d’ici 2030. Cela inclut de promouvoir le recyclage ainsi que la réduction des déchets alimentaires. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de soutenir l’ASBL», explique-t-elle. «Environ 60% du gaspillage alimentaire a lieu à la maison. Les magasins, eux, ne représente que 10%, souligne Martin Lecoutère. En cinq ans et demi, d'existence au Grand-Duché, nous avons échangé plus de 1 000 tonnes de denrées. Nous cherchons actuellement un endroit dans la capitale pour ouvrir un frigo». Certaines règles sont applicables aux points d'échange. Il est ainsi interdit de déposer de l’alcool ou de la viande ou du poisson non cuits. «Le frigo partagé est basé sur la confiance. Si on voit qu’un aliment n’est plus bon, il faut le jeter. Et il est de la responsabilité de chacun de décider si l’on peut consommer ce que l’on a récupéré», détaille Zenia Charlé. Certains usagers sont encore discrets. «Je prends et je donne», tient à préciser une autre dame croisée au frigo. Elle préfère garder l’anonymat, car «les mentalités peuvent être fermées. Certains me disent «tu n’as pas besoin, pourquoi tu vas là?». J’y vais parce que ça me rend triste de voir des gens mourir de faim dans le monde alors qu’on gaspille autant», conclut-elle. 🔵 Notre article à retrouver sur lessentiel.lu.
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