Actualités Economiques - Madagascar

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Les informations économiques sur Madagascar et le monde dans ses plus importants aspects, les informations sur les innovations et l'économie de demain, les implications géopolitiques dans une économie mondiale interdépendante et en competition systémique.

Industry
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Company size
2-10 employees
Headquarters
Antananarivo
Type
Privately Held
Founded
2024

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  • 𝐌𝐚𝐝𝐚𝐠𝐚𝐬𝐜𝐚𝐫 𝐞𝐬𝐭 𝐚𝐜𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐫𝐨𝐧𝐭𝐞́ 𝐚̀ 𝐮𝐧𝐞 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭𝐞 #𝐬𝐞́𝐜𝐡𝐞𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞, 𝐭𝐨𝐮𝐜𝐡𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐥'𝐨𝐜𝐞́𝐚𝐧 𝐈𝐧𝐝𝐢𝐞𝐧. À Tamatave, seuls 30 mm de pluie ont été enregistrés en décembre, contre 350 à 400 mm habituellement. Les hauts plateaux centraux subissent également cette pénurie, aggravée par une déforestation massive qui perturbe le cycle des pluies. Cette crise a des répercussions majeures sur l’agriculture, dont dépend 80 % de la population. 🟦 Depuis novembre 2024, des incendies ravagent les forêts du Sud-Est, de l’Est et du Nord-Est, détruisant des zones protégées comme le parc national de Ranomafana. Amplifiés par la sécheresse et les pratiques de brûlis, ces feux menacent la biodiversité et les communautés locales. Le manque de moyens rend les efforts de lutte insuffisants, soulignant l’urgence d’une gestion durable des ressources naturelles.

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  • 𝐋'𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐞 𝐦𝐚𝐥𝐠𝐚𝐜𝐡𝐞 𝐬𝐮𝐛𝐢𝐭 𝐮𝐧𝐞 #𝐢𝐧𝐟𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐨𝐲𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝟗,𝟗 % 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐭𝐫𝐢𝐦𝐞𝐬𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟒, 𝐬𝐞𝐥𝐨𝐧 𝐥'𝐈𝐍𝐒𝐓𝐀𝐓 (𝐈𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐭𝐚𝐭𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞). Cette hausse généralisée touche les produits de première nécessité (+10 %), l’alimentation et les boissons non alcoolisées (+12 %), les transports (+11,2 %) et l’ameublement (+18,1 %), la santé (5,7%), la communication (5,2%) et l'énergie (8,3%). Depuis 2020, où elle était de 4,1 %, l'inflation n’a cessé de croître pour frôler les 10 % en 2024. 🟦 Les denrées essentielles sont fortement impactées, à l’image du riz, passé de 2 700–3 200 ariary à 3 600–4 000 ariary le kilo, et de l’huile en vrac qui atteint 10 000 ariary le litre. Cette flambée des prix s'explique par des facteurs multiples : perturbations climatiques, dégradation des routes, coupures d’électricité et fluctuations des prix mondiaux. 🟦 Avec l'augmentation imminente des prix des carburants, la situation pourrait encore empirer. Les experts appellent à des mesures urgentes pour stabiliser les prix et alléger le fardeau des ménages malgaches.

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  • 𝐋𝐞 #𝐬𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫_𝐞𝐱𝐭𝐫𝐚𝐜𝐭𝐢𝐟 𝐚 𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐞́ 𝟑𝟐𝟕,𝟏𝟔𝟏 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐚𝐫𝐝𝐬 𝐝’𝐚𝐫𝐢𝐚𝐫𝐲 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮𝐬 𝐚̀ 𝐌𝐚𝐝𝐚𝐠𝐚𝐬𝐜𝐚𝐫, 𝐬𝐞𝐥𝐨𝐧 𝐥𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐜𝐢𝐥𝐢𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟐 𝐝𝐞 𝐥’𝐈𝐧𝐢𝐭𝐢𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐈𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞𝐬 𝐄𝐱𝐭𝐫𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 (𝐄𝐈𝐓𝐈). Les #sociétés_minières en sont les principales contributrices avec 317,299 milliards d’ariary, tandis que les #activités_pétrolières en amont ont rapporté 1,751 milliard d’ariary. 🟦 Par ailleurs, 8,110 milliards d’ariary ont été alloués aux paiements #sociaux et #environnementaux, soulignant l’engagement des entreprises dans le #développement_durable. 🟦 Conformément à la norme ITIE 2023, le rapport fournit des données fiables sur les revenus, les impacts sociaux et environnementaux du secteur, favorisant une transparence essentielle pour évaluer ses retombées économiques et sociétales.

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  • 𝐋𝐞 #𝐒𝐞́𝐧𝐞́𝐠𝐚𝐥 𝐬’𝐚𝐩𝐩𝐫𝐞̂𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐪𝐮𝐢𝐭𝐭𝐞𝐫, 𝐞𝐧 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟗, 𝐥𝐚 𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐲𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐜𝐞́𝐬 (#𝐏𝐌𝐀), marquant des progrès significatifs en développement économique et humain. Il deviendra ainsi le cinquième pays africain à sortir de cette catégorie après le Botswana, le Cap-Vert, la Guinée équatoriale et Sao Tomé-et-Principe. 🟦 Cette transition fait suite à une résolution adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies en décembre 2024, accordant au Sénégal et au Cambodge une période préparatoire de cinq ans. Les deux pays devront élaborer des stratégies de transition avec le soutien des organismes de l’ONU et de leurs partenaires internationaux. 🟦 Le Sénégal a connu une croissance économique notable, atteignant en moyenne 6 % entre 2014 et 2019, bien que ralentie par la pandémie de COVID-19, la guerre en Ukraine et des tensions politiques locales. Cependant, l’exploitation prochaine des hydrocarbures devrait booster la croissance à 10 % en 2025. Par ailleurs, l’indice de développement humain (IDH) du Sénégal est passé de 0,371 en 1990 à 0,517 en 2022. 🟦 La catégorie des PMA, créée en 1971, est basée sur trois critères : le revenu national brut par habitant, l’indice du capital humain et l’indice de vulnérabilité économique et environnementale. Depuis sa création, huit pays ont quitté cette liste. Actuellement, 44 pays restent classés comme PMA. 32 d'entre eux se trouvent en Afrique, dont Madagascar.

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  • 𝐌𝐚𝐝𝐚𝐠𝐚𝐬𝐜𝐚𝐫 𝐧'𝐚 𝐞𝐱𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞́ 𝐪𝐮𝐞 𝟓 𝐤𝐢𝐥𝐨𝐬 𝐝'#𝐨𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥'𝐨𝐛𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟 𝐚𝐦𝐛𝐢𝐭𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝟔 𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐱𝐞́ 𝐩𝐚𝐫 𝐥'𝐄́𝐭𝐚𝐭, 𝐞𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟒. Malgré la levée de la suspension des exportations en mars 2023 et l'octroi d'agréments à six opérateurs pour une durée d'un an, ces derniers ont rencontré des difficultés majeures. L'une des principales contraintes était le prix élevé de l'or proposé localement, supérieur au prix du marché international, rendant la collecte d'or difficile. 🟦 L'État avait imposé aux opérateurs de respecter leurs engagements sous peine de retrait d'agrément, avec l'exigence d'exporter au moins 15% des volumes prévus. Cependant, le faible volume exporté illustre les défis de la filière, bien que le taux de rapatriement des devises issues des exportations légales atteigne 88,42%. 🟦 Pour les cinq prochaines années, Madagascar vise une exportation annuelle moyenne de 15 tonnes, en s'appuyant sur une exploitation industrielle et artisanale.

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  • 𝐁𝐀𝐒𝐄 𝐓𝐎𝐋𝐈𝐀𝐑𝐀 𝐄𝐍𝐂𝐇𝐀𝐍𝐓𝐄𝐑𝐀 𝟐𝟎𝟐𝟓 ? Il y a quelques jours, nous avons demandé à nos followers sur Actualités Économiques – Madagascar de partager leurs perceptions de l’année 2025. La nouvelle année aura l’avantage de ne pas être une année électorale, favorisant ainsi une #stabilité_retrouvée. D’ailleurs, l’État prévoit une croissance économique de 5 % dans la Loi de Finances. C’est peu, dira-t-on, mais c’est aussi mieux que rien… D’emblée, il ne faut pas oublier que les causes des #soubresauts_économiques mondiaux demeurent. Nous ignorons si la guerre à #Gaza prendra fin bientôt, malgré des annonces optimistes sur les négociations en cours. Il en va de même pour la guerre en #Ukraine. Ces deux conflits ont provoqué une forte #inflation : le premier en raison du surcoût causé par les perturbations dans la circulation sur le #canal_de_Suez, le second en perturbant énormément les approvisionnements en blé et en autres matières premières. Mais surtout, l’éventuelle arrivée de #Donald_Trump Jr. pourrait réserver des surprises dans un climat d’incertitude totale. Quelle sera la conséquence mondiale de cette guerre commerciale avec la #Chine, qui est un consensus bipartisan aux #États_Unis ? Pour Madagascar, une #embellie semble cependant se profiler. Les investissements directs étrangers (#IDE), bien qu’ils aient chuté ces dernières années (119 millions de dollars seulement en 2023), offrent une excellente nouvelle : #Base_Toliara. Le démarrage de la phase de construction des infrastructures nécessaires à l’exploitation de l’ilménite à Berano par Base Toliara promet d’augmenter le flux de dollars dans l’économie locale et sur le marché interbancaire de devises. Avec un volume d’investissement dépassant les 500 millions de dollars, c’est une excellente nouvelle dont les bienfaits seront suffisamment palpables, comme cela a été le cas pour #QMM et #Ambatovy à l’époque.

  • 𝐐𝐮𝐚𝐭𝐫𝐞 𝐞𝐬𝐜𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐧𝐚𝐯𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐨𝐧𝐭 𝐞𝐮 𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐚𝐮 #𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐝’#𝐄𝐡𝐨𝐚𝐥𝐚 𝐞𝐧 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟒, 𝐥𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝟐𝟎𝟐𝟒-𝟐𝟎𝟐𝟓. Cette dernière s’étendra de décembre à juillet, une période élargie par rapport aux années précédentes, et acceuillera pas moins de 10 navires. Le MS Hebridean Sky a inauguré la saison avec une double escale les 6-7 et 23-24 décembre, suivi du Dumont d’Urville le 18 décembre et du Crystal Symphony le 30 décembre. 🟦 En 2025, des navires prestigieux comme le PS Silver Spirit (16 janvier), l’Europa (3 mars), le MSC Explora (26 mars) et l’Amadea (1er avril) sont attendus. La saison se clôturera avec le Blue Dream Star les 9 mai et 25 juillet. 🟦 Cette saison met en avant des nouveautés telles que des escales prolongées sur deux jours, permettant aux touristes de mieux découvrir les richesses de Fort-Dauphin et de la région Anôsy. Depuis son inauguration en 2009, le port d’Ehoala a accueilli 73 navires et environ 50 000 passagers, renforçant sa position comme porte d’entrée stratégique pour le tourisme maritime à Madagascar.

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  • 𝐋𝐚 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐥𝐨𝐠𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐢𝐧𝐬𝐮𝐟𝐟𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐞 #𝐌𝐚𝐝𝐚𝐠𝐚𝐬𝐜𝐚𝐫_𝐎𝐢𝐥 𝐫𝐞́𝐯𝐞́𝐥𝐞́ 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐞́𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐧𝐜𝐢𝐩𝐚𝐥 𝐨𝐛𝐬𝐭𝐚𝐜𝐥𝐞 𝐚̀ 𝐥'𝐮𝐭𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥'#𝐡𝐮𝐢𝐥𝐞_𝐥𝐨𝐮𝐫𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐓𝐬𝐢𝐦𝐢𝐫𝐨𝐫𝐨 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐚 #𝐉𝐢𝐫𝐚𝐦𝐚. Selon le ministre de l'Énergie, Olivier Jean-Baptiste, la compagnie ne peut assurer les besoins des centrales thermiques, estimés à 15 camions par jour, avec seulement une dizaine de camions adaptés. Le trajet de plus de 400 km entre Tsimiroro et Antananarivo, dont 250 km de routes en mauvais état, complique davantage les livraisons. En outre, l'huile lourde, trop visqueuse, nécessite un traitement avant utilisation, selon toujours le ministre. 🟦 De son côté, Madagascar Oil avait déjà évoqué que la capacité de paiement incertaine de la Jirama constitue un autre frein. En 2022, Madagascar Oil avait proposé une station de transfert à Tsiroanomandidy pour améliorer le transport, mais des efforts restent nécessaires pour surmonter ces défis logistiques et techniques, souligne le ministre.

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  • 𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞́𝐭𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 #𝐦𝐢𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐮𝐱_𝐜𝐫𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐬’𝐢𝐧𝐭𝐞𝐧𝐬𝐢𝐟𝐢𝐞, 𝐧𝐨𝐭𝐚𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 #𝐄́𝐭𝐚𝐭𝐬_𝐔𝐧𝐢𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐚 #𝐂𝐡𝐢𝐧𝐞. Face aux menaces de tarifs douaniers américains, la Chine a renforcé ses contrôles d’exportation sur les matériaux à double usage et limité les expéditions d’éléments clés comme le #gallium et le #germanium. Ces restrictions compliquent les chaînes d’approvisionnement américaines, mais des initiatives comme la production de gallium par Rio Tinto au Canada, ainsi que les efforts des producteurs nationaux et des pays alliés, visent à combler ce manque. 🟦 La Chine, qui domine la production de #graphite, essentiel pour les #véhicules_électriques et le stockage d’énergie, représente un risque majeur alors qu’elle durcit ses règles d’exportation. Bien qu’aucune interdiction totale ne s’applique encore au graphite ou aux terres rares, ces mesures montrent la volonté de Pékin de répondre à d’éventuelles sanctions commerciales américaines. Les experts estiment que cela pourrait entraîner une hausse des prix des matériaux critiques et une plus grande volatilité des marchés dans les années à venir. 🟦 Plus largement, les pays occidentaux cherchent à réduire leur dépendance aux chaînes d’approvisionnement chinoises et des BRICS. Cependant, ce processus sera long et complexe. La sécurisation des ressources en minéraux critiques s’inscrit dans des stratégies géopolitiques plus vastes, les nations utilisant leur contrôle sur ces matériaux comme levier stratégique.

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